Dans la Sicile des années soixante-dix, Giovanni, un garçon de onze ans, découvre la télé et essaye de comprendre les secrets qui l'entoure. Starsky et Hutch se mêlent à l'imaginaire du gamin pour l'aider dans sa solitude et le monde des adultes qu'il peine à comprendre...
J'ai longtemps attendu que l'intérêt de ce roman sicilien se révèle à moi. le résumé parle de non-dits, on y reste longtemps et ça devient peu plaisant à lire. le style est simple mais je suis restée à côté, les choses peines à être dites... Gros bof pourtant, un roman dans la Sicile, j'avais de l'espoir !
Un roman que j'aurais pu abandonner (j'ai espéré...), heureusement qu'il ne faisait que 200 pages.
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Il verrait cette grosse boîte sans couleur marcher à l'envers, rapetisseer, et ces drôles de trous d'où s'échappent des brins de paille se refermer. La boîte en carton sabs ciykeyr se transformerait en un petit paquet brillant, un cadeau pour lui.
Puis le fil repartirait en avant : Un baiser à papa, d'abord. Quest-ce que c'est ? Ouvre-le. Oh, c'est beau ! Maintenant tu viens à table, tu jouerais avec après. La voix de son père avec bien des années en moins, l'enthousiasme d'un Giovanni avec des tonnes de naïveté en plus : quand les morts ne marchaient pas et les vivants ne mourraient pas.