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EAN : 9782930424538
355 pages
Editions Fortuna (01/01/2011)
4.38/5   4 notes
Résumé :

Ce livre, aujourd’hui épuisé et introuvable, la communauté Findhorn en souhaitait la réédition. Pour notre plus grande joie, nous avons été choisis pour ce faire. La renommée de cette communauté, l’immense succès en libraire de La Petite Voix, nous prouve l’utilité de rééditer ce livre. Un complément indispensable et une suite incontestable de La Petite Voix. Eileen Caddy... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
L'autobiographie d'Eileen Caddy, une des fondatrices de la communauté de Findhorn, en Ecosse, en 1962, une vie de soubresauts, d'épreuves, de moments de colère, de doute, racontée avec simplicité et honnêteté.
Alors qu'elle a 16 ans, après la mort, en l'espace de deux ans, de ses deux parents, elle perd son jeune frère qui souffrait de crises d'épilepsie.
Elle se marie, à 19 ans, avec Andrew Combe, officier de la R.A.F.
Elle aura cinq enfants qui vont combler sa vie - du moins pendant un temps.
Plus tard, son mari et elle, après avoir vécu en Amérique, partent en Irak. Son mari lui présente un jeune homme, Peter Caddy qui intrigue tout de suite la jeune femme, par sa pertinence, son intelligence et son "intérêt passionné pour toutes choses".
Peu à peu, Eileen Caddy va devenir une véritable disciple de Sheena, la femme de Peter Caddy - et traverser des épreuves terribles, des remises en question douloureuses...
On assiste à la naissance de la communauté, à l'aventure que représente une telle entreprise, on partage, là encore, les interrogations d'Eileen, on partage ce qui en elle devient clair, inspiré et... lumineux!
Une lecture qui m'avait ravie mais qui date de plus de trente ans, que je n'ai pourtant pas oubliée!
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Je rendis visite pour la première fois à la Fondation Findhorn en 1974 pour un week-end. Je n'étais pas du genre «spirituel» mais j'étais certainement à la recherche de quelque chose. Ayant quitté ma maison en Afrique du Sud avec une tristesse accablante à cause de la séparation qui règne à tous les niveaux de cette société, je rêvais d'une utopie idyllique où chacun aurait une unité et un idéal communs. Quelle puissance cela pourrait générer ! Je ne savais pas comment créer l'harmonie que je désirais dans mon monde, c'est pourquoi j'allais la chercher ailleurs.


Ma première impression de la communauté grandissant à Findhorn fut celle de 150 personnes qui voulaient également vivre en harmonie, et avaient décidé de la créer eux-mêmes. Aussi y restai-je un week-end... puis quelques semaines... Puis un an, qui s'étendit à dix... et plus.


Ce qui m'apparut d'abord comme un groupe de personnes vivant ensemble d'une façon heureuse et agréable s'avéra être beaucoup plus. Le mode de vie de la communauté était très actif : des repas végétariens délicieux étaient présentés deux fois par jour dans une cuisine d'une propreté irréprochable ; le centre communautaire était immaculé; des jardiniers labouraient, plantaient et désherbaient dans les magnifiques jardins potagers et d'agrément; d'autres personnes travaillaient dans les pièces réservées à l'artisanat ou dans le secteur de l'édition où se trouvaient une chambre noire et une machine à imprimer; la communauté avait déjà publié plusieurs livres. Elle était aussi sur le point de construire un nouveau Hall pour accueillir le nombre croissant des membres et visiteurs. Et il y avait quelque chose de spécial dans l'endroit que je ne pouvais définir, une sorte de magie.

Dans ma quête de l'harmonie, j'avais posé le pied sur un chemin qui allait me conduire dans des mondes bien au-delà de mes rêves, vers une nouvelle compréhension de l'Être, et du sens même de la vie.
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Un jour, Peter me fit le récit de sa première leçon spirituelle, alors qu'il était tout jeune : "Mon père, malgré sa discipline de vie très stricte, était malade depuis quelque temps. Il avait consulté tous les docteurs, homéopathes, ostéopathes, susceptibles de l'aider à se débarrasser de ses rhumatismes articulaires. Finalement il entendit parler de Lucille Butterby, une guérisseuse spirituelle qui était aussi medium. Il m'emmena avec lui à leur première rencontre. Un chef indien américain parla à travers elle, ce qui m'impressionna infiniment. Plus tard, on me demanda si j'avais des questions. "Comment puis-je gagner le match de boxe demain à l'école ?" demandais-je. Tout le monde se mit à rire mais le chef indien continua de parler par l'entremise du medium : Regarde ton adversaire droit dans les yeux et tu sauras quand il va te frapper." Je fis ce qu'il avait dit et ça marcha! Je compris alors que le monde spirituel existait, parce que j'en avais eu une preuve concrète".
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La vie est très passionnante et très excitante mais tu dois avoir le désir de t'aventurer dans le nouveau avec une foi et une confiance absolues
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La Petite voix. Comment l'utiliser? Comment s'en servir pour grandir sur son Chemin. Le bien-être est un état normal.
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