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Aliénor tome 1 sur 2
EAN : 9782845635142
396 pages
XO Editions (01/09/2011)
3.84/5   240 notes
Résumé :
1154. Divorcée de Louis, ce roi de France dévot qui n'avait pas su l'aimer, Aliénor d'Aquitaine fait son entrée dans la cité de Londres au côté de son nouvel époux, Henri Plantagenêt. Les acclamations de joie fusent dans le pays tout entier pour cette reine ensorcelante. Incroyablement belle, raffinée, Aliénor envoûte tous ceux qu'elle croise, hommes comme femmes.

Désormais, c'est un empire à sa mesure qu'elle entend diriger! Et elle possède pour cel... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (32) Voir plus Ajouter une critique
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1154 : le règne des lions. 1154 est l'année du mariage d'Aliénor avec le roi d'Angleterre Henry II Plantagenet. Petit à petit s'imposent à la branche Plantagenet d'Angleterre trois blasons : un lion pour l'Aquitaine, deux pour la Normandie, et trois pour l'Angleterre. Un immense territoire qui va de l'Ecosse aux Pyrénées ! Ce sont des lions (ou léopards, ou « cats » ) passants, avec la langue bleue. Je les vois encore sur les écussons des gendarmes aquitains, sur notre drapeau normand, et sur la poitrine des joueurs anglais de rugby.
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On reprend Aliénor où on l'a laissée avec Clara Dupont-Monod dans « le roi disait que j'étais diable » :
après « s'être débarrassée » du roi de France Louis VII, elle va épouser le roi d'Angleterre Henry II. Celui-ci, contrairement à Louis VII de France, est un homme viril, dont le tempérament est à la hauteur de celui d'Aliénor.
D'ailleurs, dans cette seconde vie d'Aliénor, le roi et la reine se partagent le pouvoir équitablement : la reine a le sceau du roi. Souvent, elle dirige sur le continent quand il dirige en Angleterre et vice-versa.
Comme Robert Merle, Mireille Calmel a introduit, auprès d'Aliénor, un personnage de son imagination dans son roman historique : Loanna de Grimwald, bretonne issu de la lignée de Merlin, druide du roi Arthur. Ce n'est pas ce que je reproche au roman, puisque maintenant, je comprends les pouvoirs de druides : après avoir été forcée par Henry, Loanna lui révèle que ses deux premiers fils mourront, punition divine.
Non, ce qui n'est toujours pas clair dans ma tête, c'est la période anglaise de « l'Anarchie », quand, suite à la mort de Guillaume sur la Blanche Nef, le roi de souche normande Henry premier d'Angleterre nomme sa fille Mathilde future reine en titre du royaume, et qu'Etienne de Blois s'interpose, offrant à l'Angleterre une guerre civile ( L'Anarchie ) d'une dizaine d'années, avant que le fils de Mathilde, le futur Henry II ne s'impose. Cependant, comme Mathilde a épousé un Plantagenet, la branche normande se transforme en branche angevine !
Mais je dois dire, au débit de « nout'Guillaume » (Le Conquérant ) que j'adore comme de nombreux Normands, que sa conquête de l'Angleterre nous a surement valu plusieurs siècles de déboires que je ne développerai pas ici, notamment dû au statut bâtard des duchés de Normandie et d'Aquitaine : en effet, bien qu'Anglais, ils devaient rendre hommage au roi de France.
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Mireille Calmel, fascinée comme Clara Dupont Monod et moi-même par Aliénor, a amené ce qu'on pourrait appeler du « fantastique », mais que je nomme maintenant du « spiritisme » : il y a dix ans, je n'aurais pas accroché à cette partie du livre ; maintenant, c'est différent : )
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Suite directe du « Lit d'Aliénor », sans doute le cycle le plus célèbre de la prolifique auteur Mireille Calmel, « Le règne des lions » nous entraine à nouveau sur les traces de la célèbre duchesse d'Aquitaine et de son amie et confidente, Loanna de Grimwald. Ça y est, enfin, Aliénor est parvenue à se libérer de son encombrant premier mari, le roi de France Louis VII, et a épousé en seconde noce son plus grand rival, le jeune et fougueux Henri II. Voilà donc notre duchesse reine d'Angleterre, un statut et un pouvoir dont elle compte bien se servir pour peser politiquement, non seulement à l'échelle du royaume mais aussi de toute l'Europe. le début du roman est malheureusement assez laborieux tant on peine à rentrer dans l'histoire qui se contente presque dans la première partie de relater le quotidien de la cour, les allers et retours à n'en plus finir entre l'Angleterre et la France et les révélations concernant la famille de Loanna qui, au final, n'apportent pas grand chose à l'intrigue générale
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La seconde partie du roman offre fort heureusement au lecteur un regain d'intérêt et rompt un peu la monotonie initiale du récit : de nouveaux personnages apparaissent ainsi sur le devant de la scène, à commencer par l'ambitieuse et séduisante Rosamund Clifford, tandis que l'histoire comme les relations entre les protagonistes se complexifient (notamment au sein du couple royal). En ce qui concerne le style, s'il est au départ quelque peu difficile de se re-familiariser avec l'écriture de Mireille Calmel et l'abondance de termes propres au vocabulaire médiéval, la lecture se fait encore une fois plus aisée dans la seconde partie de l'ouvrage qui se lit, somme toute, assez rapidement. Un retour très mitigé, donc, en espérant que le second volume saura se montrer plus convainquant. Mireille Calmel est une auteur dont j'ai toujours apprécié les romans, mais ces derniers temps ceux-ci se révèlent hélas en dessous des premiers et ont une fâcheuse tendance à aborder encore et encore les mêmes thèmes.
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J'ai toujours eu beaucoup de plaisir à retomber dans un roman de Mireille Calmel. Toujours la même magie au coin des pages, le même souffle... Une fois n'est pas coutume, elle nous offre un beau mélange entre les légendes arthuriennes et L Histoire.

On retrouve les personnages du Lit d'Aliénor : la douce Loanna, l'endiablée Aliénor... Ce roman prend la suite de l'histoire qui a fait vraiment connaitre Mireille Calmel. C'était donc avec le même plaisir que j'ai replongé dans l'univers qui m'avait happée il y a plus de 10 ans et qui m'avait fait adorer cette auteur.

Mais cette fois-ci, j'ai eu plus de mal à accrocher au roman. Passés quelques pages, j'ai vite été gagnée par une certaine lassitude. L'impression de ne pas voir où vraiment l'histoire va aller, qu'il s'agit d'une suite du Lit d'Aliénor, certes, mais sans véritable but. Arrivée à la moitié du roman, une trame un peu plus solide s'est dessinée et j'ai raccroché les wagons. Mais avec cependant une impression de "déjà-vu". Rosamund n'est qu'une nouvelle Béatrice de Campan, Aliénor trompe le manque de son époux avec un amant... Rien de très original, au final...

On ne peut pas être systématiquement ravis par l'un de ses auteurs fétiches. Cette petite déception ne m'empêchera pas de continuer à suivre cette auteur qui, par ailleurs, garde toujours une plume empreinte de magie et de poésie.
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Il est des livres qui vous marquent. Ceux qui vous emportent, vous transportent, et vous laisse, la dernière page tournée, hors d'haleine et pleine d'impatience d'en savoir plus.
Dans cette catégorie de livres, une des Reines inconstestées, pour moi, est Mireille Calmel!

Découverte à l'aube de mes vingt années avec le magnifique Lit d'Aliénor, puis confortée par son puissant Bal des Louves, puis La Rivière des Âmes, je n'ai eu aucune hésitation à la retrouver, la re-découvrir quand j'ai découvert cette suite!

On retrouve donc Aliénor, divorcée de Louis, Roi de France, et remarier avec Henri d'Angleterre, dont elle est éprise et à qui elle donne de nombreux héritiers, donc Richard, qui sera plus tard connu comme Richard Coeur de Lion.
Toujours suivie par Loanna, héritière des dons de Merlin et enfant de Brocéliande.
Les deux donzelles ont grandies, et sont toutes deux parvenues à leurs fins : Aliénor comme Reine d'Angleterre et Loanna, d'avoir réussie à porter Henri sur le trône.
Loanna a également donné deux héritiers à son époux. La belle Eloïn, qui a héritée de sa mère ses dons, et le petit Goeffroy.
Mais les choses se compliquent, avec deux caractères aussi fort qu'Aliénor et Henri. Sans compter que, dans l'ombre, rode toujours le Balafré qui, ce jourd'hui, semble s'intéresser de trop près à la jeune Eloïn, portrait craché d'un amour perdu.
Loanna devra faire preuve de courage, de malice et d'abnégation pour permettre à l'Angleterre de perduré tout en protégeant les siens et ceux qu'elle aime

Une fois de plus, j'ai été transportée dans l'univers de Mireille Calmel. Je me suis vue dans la Cour d'Amour, au siège de Toulouse, en Brocéliande, ai frissonné de crainte pour Loanna, de respect devant Aliénor, grande Reine, et Henri, Roi puissant. J'ai été émue aux larmes devant le chagrin d'Aliénor à la perte son enfant.

Je tiens à remercier chaleureusement Mireille Calmel, que je considère comme une grande dame de la littérature française. Elle réussit l'exploit de nous replonger dans le passé, de découvrir l'Histoire avec un grand H, tout en mêlant fantastique et amour et tout cela noué de telle manière qu'on ne peut que croire que c'est ainsi que les choses se sont passées.
Merci de cette écriture fluide et efficace, de l'évidence du temps passé à vous documenter pour nous restituer notre passé au plus près de ce qu'il fut. de rendre cette leçon d'histoire si attrayante et vivante!

Vous l'aurez compris, je suis convaincue. Une convaincue de Mireille Calmel, une convaincue de ce livre, qui est un gros coup de coeur pour moi!
Maintenant, me reste à patienter avant de retrouver Eloïn, Loanna, Aliénor, Richard et découvrir ce qu'il va advenir d'eux (Pitié, Mme Calmel, ne nous faites pas attendre trop longtemps!)
Lien : http://vanytheque.fr/?p=2029
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Comme j'avais adoré le lit d'Aliénor, j'avais assez hâte de lire la suite. Voilà qui est fait et mon seul regret c'est de ne pas avoir le tome 2 sous la main. Au début j'ai eu un peu peur car je n'accrochais pas, le démarrage était assez long et je l'avoue je m'ennuyais. Il ne se passait vraiment rien, mais bientôt l'intrigue a vraiment démarré et je dois dire que je n'ai pas été déçue. Quelle femme cette Aliénor, traversée par des malheurs, elle réussit toujours à se relever, elle ne se laisse pas faire et elle a vraiment une grande présence. Son caractère la rend très attachante même quand elle se montre un peu capricieuse. Je l'adore tout simplement. J'ai totalement détesté Henri, à côté d'elle je l'ai trouvé vraiment lamentable, lâche même par moment, stupide le plus souvent. Certes il a de bons agissements, mais il est terriblement égoïste, il m'a vraiment énervé la plupart du temps, et ce qu'il fait à Loanna est tout simplement impardonnable. Après tout ce qu'elle a fait pour lui... D'ailleurs on a aussi le droit à l'histoire de Loanna, c'est un personnage fictif, une femme qui possède la magie et l'amour, et qui adore Aliénor et ferait tout pour l'Angleterre. J'aime beaucoup son histoire d'amour avec Jaufré dans ce tome là. Et sa relation avec ses enfants, j'ai adoré autant sa fille que son fils. J'aime beaucoup Loanna, elle aussi c'est une femme forte et qui fait de son mieux pour aider Aliénor et Henri. Ce tome m'a tiré des larmes je l'avoue et la fin m'a perturbé. Il est composé d'intrigues et d'histoire d'amour également, de guerre et de vengeance. C'était vraiment bien et entraînant même si ça m'a serré le coeur par moment. J'ai très envie de lire la suite, même si je crains que cette histoire ne se termine pas vraiment bien.
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
De mémoire d'homme, jamais pareille tempête n'avait ébranlé le port de Barfleur. Depuis un mois déjà, poussée par le noroît, elle s'écrasait en une pluie drue sur les toits de schiste, battait à les briser les mâts des vaisseaux entassés dans la rade, fracassant les vagues jusqu'au pied de l'église et du petit castel qui la jouxtait. Les habitations de granit voyaient leurs portes barrées solidement pour empêcher l'écume invasive, et leurs habitants, pourtant coutumiers des caprices de la Manche, n'en finissaient plus d'éponger l'eau infiltrée aux relents de marée. On rapportait même que des poissons frétillaient sur les pavés, au milieu des lichens, branches et immondices que les rouleaux exubérants déposaient. Le vacarme était tel qu'on avait renoncé à parler, le brouillard si dense, qu'on refusait de se déplacer. De sorte que la cité autant que le port se voyaient envahis par une foule de gens et d'animaux de bât, prisonniers involontaires d'éléments en furie, qui attendaient d'embarquer pour l'Angleterre.

Moi, Loanna de Grimwald, dernière descendante des grandes prêtresses d'Avalon, dans l'équipage du futur monarque Henri Plantagenêt et de son épouse, Aliénor d'Aquitaine, j'étais de ceux-là.

Aliénor. Ma duchesse. Mon amie. Celle auprès de qui j'avais été placée l'année de nos quinze ans avec une mission : rendre un roi légitime à l'Angleterre. Un roi formé aux enseignements druidiques et dans l'ombre duquel justice, équité et droiture pourraient s'exprimer. Pour le bien et l'unité d'un royaume. Pour la grandeur d'un empire à réinventer.

C'est la mère d'Henri, dame Mathilde, surnommée l'emperesse, qui, à la mort de son père, eût dû régner. Hélas, la prenant de vitesse par d'odieuses concessions aux barons et prélats, son cousin Étienne de Blois avait été couronné. Dès cet instant, une lutte sans merci les avait opposés. Une lutte dans laquelle j'avais pris plus que ma place lorsque ma mère, druidesse et conseillère de l'emperesse, avait compris qu'il faudrait nouer alliance avec l'Aquitaine pour venir à bout de l'usurpateur. Ce jour-là j'étais devenue la dame de compagnie d'Aliénor, décidée à la suivre au couvent jusqu'à ce qu'Henri, qui n'avait alors que quatre ans, soit en âge d'épousailles. C'était compter sans Étienne de Blois. Le père d'Aliénor avait été assassiné, ses dernières volontés détournées, ma duchesse contrainte d'épouser Louis de France. Lors, quatorze années durant, je n'avais reculé devant rien pour détruire ce premier lit et la ramener à l'Angleterre.

Je me souviendrai toujours de son regard vers moi à l'heure de son hyménée avec Henri. Dans ses prunelles d'un vert sombre que j'avais si souvent vu briller, l'étincelle de la victoire avait, un instant, occulté celle de l'amour. Aliénor tenait enfin sa revanche contre ce roi dévot dont elle venait de divorcer. Forte de leur bonheur, j'avais quitté les nouveaux mariés pour rejoindre Jaufré Rudel, mon époux, que, pour mener ma mission, j'avais trop de fois dû sacrifier. Cette liberté, chèrement gagnée, n'allait pourtant pas sans concessions. En le choisissant, lui, j'avais dû abandonner la magie. Des pouvoirs qui étaient miens à ma naissance ne me restait que le don de double vue. Qu'importe ! Un amour sans âge m'habitait. J'avais rallié Blaye, une petite Eloïn à mon sein. Deux années s'étaient ainsi écoulées, nourrissant notre complicité tandis que Jaufré se vouait à sa famille, mais aussi à sa seigneurie avec justice et humilité, faisant ma fierté et grandissant ma flamme. Deux années d'un accord parfait dans lequel mon troubadour à la voix abîmée avait achevé de se guérir d'anciennes blessures. Il y avait eu la naissance de notre Geoffroy, les courriers échangés avec la maison Plantagenêt, le bonheur d'apprendre qu'Aliénor avait accouché d'un petit Guillaume. Et puis la nouvelle nous était parvenue. Malade et vaincu par la bravoure d'Henri sur le terrain, Étienne de Blois l'avait reconnu comme héritier légitime du trône. L'Angleterre était enfin à nous ! J'eusse dû m'en réjouir, mais, à l'instant même où Étienne de Blois s'éteignait, une vision m'avait dressée sur ma couche : Aliénor face à Henri, l'épée au poing, l'œil noir et rancunier. Derrière eux, submergée par une mer sanglante, l'Angleterre disparaissait.

« L'aigle de l'alliance brisée se réjouira en sa troisième nichée. De Richard renaîtra l'espoir oublié. » avait prophétisé une voix jaillie d'outre-tombe dans le silence de la nuit. Celle de mon aïeul, le druide Merlin, le conseiller du légendaire roi Arthur.

J'avais éclaté en sanglots dans les bras de mon troubadour tandis que son timbre rauque, noueux, s'était imposé à son tour :

— Nous serons là, toi et moi, pour empêcher cette déchirure. Et si nous ne le pouvons, alors nous préparerons les êtres que nous aimons à l'affronter. Je n'ai plus peur, Loanna. Plus rien ni personne ne pourra nous séparer. Dès demain, je confierai Blaye à Girard Mestre et, avec nos enfants, nous reprendrons notre place à la cour. Ensemble.

— Ensemble, avais-je répété.

Il serait ma terre, toujours, où que le destin me veuille entraîner.

Voilà pourquoi, ce 7 décembre de l'an de grâce 1154, j'étais en cette salle du castel de Barfleur, face à lui et à ce plateau d'échecs, à attendre que la tempête se soit calmée pour embarquer.

Ma tâche auprès d'Aliénor et d'Henri n'était pas achevée.
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-- Mes beaux seigneurs, soyez les bienvenus dans ma modeste demeure... J'ai pour vous plaire ce jourd'hui quelques...
Il suspendit son discours en reconnaissant au bras d'Aliénor les lions d'Aquitaine brodés d'orfroi. Il allait, comme le petit palefrenier, s'embarrasser de courbettes. Henri le lui interdit d'un regard terrible. L'homme se reprit aussitôt, racla sa gorge.
-- Bien, bien, bien. J'ai une table là-bas qui fera, je crois, votre affaire.
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Les coutumes sont parfois cruelles au coeur d'une mère, mais elles forgent le caractère des dames et je veux parier que vos filles l'ont assez bien trempé pour d'une contrainte faire une destinée.
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"La magie est toujours tienne, Loanna. Souviens-toi. Rien ne se crée, tout se transforme. Tu voulais n'être qu'une femme aux côtés de Jaufré, tu l'es devenue. Mais en reprenant ta place auprès d'Henri et Aliénor, c'est cette part rejetée de toi que tu as rappelée. J'ai toujours été et resterai toujourrs à ton cöté..."
Merlin.
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Seuls ceux qui comptent en nos cœurs ont le pouvoir de nous blesser. Souviens-toi, ma fille, que la haine naît autant de jalousie que d'amour contrarié.
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