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Commissaire Salvo Montalbano tome 3 sur 13

Serge Quadruppani (Traducteur)
EAN : 9782266142687
256 pages
Pocket (01/03/2002)
3.99/5   180 notes
Résumé :
Un retraité poignardé dans un ascenseur, un pêcheur tunisien mitraillé au large de Vigàta, une flamboyante prostituée, un colonel nain, une vieille institutrice en chaise roulante... et un enfant abandonné. C'est en ronchonnant, comme à son habitude, que le commissaire Montalbano va tenter de trouver le lien qui relie tous ces personnages, d'autant que, pour la première fois, il doit se frotter aux Services secrets, incarnation d'une Italie occulte et malfaisante. M... >Voir plus
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Un voleur de goûter ?? Qui a osé voler les chocos BN ou ceux du Petit Écolier ???

Heureusement que le commissaire Montalbano veille et qu'il va déployer ses policiers dévoués pour mettre la main sur le voleur de goûter !

Oui, dit ainsi, ça parait risible, un voleur de goûter, arrêté par des policiers, on devrait en rire si la situation n'était pas aussi grave.

C'est ce que j'ai aimé dans cette enquête de Montalbano : le côté risible de la chose qui cache en fait la partie immergée de l'iceberg et cette émotion qui en ressort par tout les pores de la peau, même si notre commissaire amateur de bonne cuisine ne le remarquera pas tout de suite.

Pour ma deuxième incursion en Sicile, sur les terres de Chouchou, je dois dire que j'ai été gâtée par l'auteur qui m'a mis en scène une enquête qui n'est pas simple, doublée d'une autre qui n'a, à priori, aucun rapport avec la première, mais qui, par un subtil jeu du scénario, va se retrouver greffée avec le mort dans l'ascenseur qu'on a retrouvé planté d'un couteau.

Oui, après le planté du bâton, on a aussi le planté du couteau… Et on apprendra qu'il peut y avoir un rapport entre un sexa-génaire mort dans l'ascenseur de son immeuble, un couteau planté dans son corps et la mort en mer d'un marin tunisien, embarqué sur un bateau sicilien et abattu par une vedette de l'armée tunisienne.

Salvo Montalbano, c'est une institution à lui tout seul, cynique, un peu fou, utilisateurs de traits d'esprits, un véritable estomac sur pattes, un commissaire qui se plait tellement bien là où il est dans la ville portuaire de Vigatà qu'il serait prêt à tout pour y rester.

L'auteur profite aussi de son personnage pour nous présenter un portrait au vitriol de la Sicile et de l'Italie, en général, que cela concerne la politique, les policiers, l'administration, l'armée, la corruption, les immigrés, le racisme bête et crasse…

Sans vouloir laver plus blanc que blanc, l'auteur nous brosse juste le portrait de la société telle qu'elle est, sans vouloir la réformer ou donner des leçons, mais ça marche et l'immersion dans le milieu est complète, car, en plus de nous décrire la vie telle qu'elle est en Sicile, la traduction joue aussi beaucoup et le fait d'avoir des mots siciliens ou italiens dans le texte ajoute du piment dans le récit.

L'enquête, sans être trépidante, est prenante, on prend plaisir à suivre notre commissaire dans son enquête, ne manquant jamais de s'arrêter pour manger ou pour bougonner sur certains de ses adjoints, soit parce qu'ils sont trop cons, soit parce que ce sont des jolis coeur et que sa copine l'apprécie un peu trop.

Mélangeant habillement les enquêtes et la découverte de la vie en Sicile, l'auteur développe aussi ses différents personnages, nous faisant entrer dans leur vie privée, à tel point qu'on en arriverait presque à se ficher de l'enquête tant la vie de Montalbano est riche en événements.

Un roman policier épicurien, qu'on déguste comme un goûter lorsqu'on est affamé. Je ne sais pas quand j'aurai le temps de revenir à mon commissaire sicilien, mais je sais que lorsque je lirai le suivant, ce sera avec le sourire d'une qui sait qu'elle va passer un bon moment en compagnie de vieux amis tout autour d'une table chargée de mets qui mettent l'eau à la bouche.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Un début fatiguant avec un ascenseur qui monte et descend avec un macchabée dedans et qui enquiquine les locataires qui essaient de ne pas le voir !
Un Montalbano quelque peu survolté qui répond mal poliment à Livia, lance son encrier sur Catarella, s'attrape avec un mouflet avé un pistolet à eau, brutalise verbalement des témoins et extorque des informations de manière honteuse. le vent de Sicile ! ça énerve !
Et puis Montalbano souffre du syndrome de Peter Pan

Pour comprendre Montalbano il faut retenir trois choses Il est amoureux de Livia la génoise qui n'est pas toujours moelleuse, il est de type sanguin, et pour un rien il éclate avec grossièreté et surtout il a un régime alimentaire sicilien. Comme les deux premiers critères échappent à l'entendement restent ses menus
Les menus de l'ogre Montalbano
-les antipasti en amuse-gueule à grignoter: noix américaines grillées
des pois chiches et des graines de courge.
- les primi, les premiers plats (à ne pas confondre avec les antipasti, les hors-d'oeuvre)
De la farine, de la farine et encore de la farine c'est énergétique on comprend donc son comportement atrabilaire
les spaghettis à l'encre de seiche.
des pâtes aux brocolis
spaghettis aux palourdes
spaghettis aux clovisses
pâtes à la Norma avec les aubergines frites et ricotta salée.
Cannolis
Les pâtes au crabe
pâtes à l'huile et à l'ail, des olives, du caciocavallo
pâtes à la 'ncasciata voir recette ici: https://www.ilquadrifoglio-paris.fr/pasta-ncasciata-de-linspecteur-montalbano/
- Les secondi, les deuxièmes plats, de la viande ou du poisson.
Du poisson , du poisson et encore du poisson oui il y a beaucoup de mer en Sicile :
du germon (thon) à l'aigre-doux
paupiettes de thon.
du merlan à la sauce aux anchois.
sardines a beccafico
un demi-kilo de rougets frits à point.(rougets de roche)
sardines en saumure
thon en boîte
sauté de clovisses en chapelure,
turbot au four à l'origan et au citron caramélisé.
loup farci en sauce au safran
koftas :  poisson, oignon, piment, oeuf battu, sel, poivre, chapelure, beurre cumin et coriandre.

boeuf braisé
roulé de veau (brusciuluni)
- Les contorni, garnitures de légumes, se servent indépendamment.

le tout à l'huile d'olive même si Camilleri ne le précise pas car ça c'est le régime crétois

AAAh « le délicat équilibre entre l'anchois et l'oeuf battu »

Ah j'oubliai le gâteau au chocolat amer avec sauce à l'orange et la cassata sicilienne glacée.
Ah aussi la coucourde (courge) qui lui sert de cerveau

L'intrigue ? ah oui… euh … Je vous laisse découvrir ...Mais c'est un très très bon cru.Sous des aspects goguenards Camilleri nous parle des rapports père/fils, père/fils adoptif, homme /femme, amitiés/collègues de travail/supérieurs, immigration, racisme, philosophie bref de tout: il en parle platement (comme Ernaux) et ne s'étend pas mais en dit suffisamment pour nous contenter.
Un très bon cru !
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N°1572 - Août 2021

le voleur de goûterAndrea Camilleri – Fleuve noir.
Traduit de l'italien par Serge Quadruppani et Maruzza Loria.

Le titre évoque l'enfance, l'école, les cours de récréation. On n'en est cependant pas si loin.
Pourtant il s'agit d'une enquête policière où Salvo Montalbano est confronté au meurtre d'un sexagénaire poignardé dans l'ascenseur de son immeuble. Inévitablement la veuve interrogée parle de lettres anonymes, découvre la double vie de son mari avec la marque de l'inévitable mafia . Dans le même temps, il est question d'un marin tunisien tué à bord d'un bateau de pêche sicilien mitraillé par une vedette de la marine tunisienne. Ajoutez à cela du terrorisme, du rapt, de la prostitution, du chantage, de l'adultère et du trafic de matières illicites, sans parler, et pour la première fois des Services secrets, et vous saurez l'intrigue et les rebondissements d'un bon polar. Il fait d'ailleurs montre à cette occasion d'une ruse hors du commun où le bluff tient un grande place pour parvenir à ses fins.

J'ai toujours été intrigué par Livia et son éternel éloignement dans le nord de l'Italie. Un peu malgré lui Montalbano aura une image de ce que peut-être la vie durable de couple avec un enfant, le petit François, ce qui n'a pas été sans le perturber quelque peu. Cet attachement soudain de sa compagne à ce petit garçon qui par la suite deviendra officiellement orphelin, est révélateur et génère sans doute chez lui quelque chose comme une obligation de partage de Livia ou chez elle une fibre maternelle inconnue ou volontairement occultée jusque là de la part du commissaire. J'ai toujours été étonné de la solitude de ce policier, sans doute entretenue par lui et que maintenant il souhaite interrompre définitivement en se mariant et en adoptant.

Comme toujours, le style fluide fait de ce roman un agréable moment de lecture.
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Retour à Vigatà, petit port sicilien, à la fin des années 90. Les Italiens paient encore leur loyer en centaines de milliers de lires. Et Montalbano, le commissaire de la ville, est confronté à deux événements : le meurtre d'un sexagénaire dans l'ascenseur de son immeuble ; la mort par fusillade en mer d'un marin tunisien sur un bateau italien. Se focalisant sur le meurtre, il découvre l'existence d'une maîtresse, Karina, femme d'origine tunisienne. Puis celle de son fils, François, qu'il accueille chez lui. Livia, l'amie de Montalbano, s'attache très vite à l'enfant. Soudain, il comprend que les deux affaires sont liées… et tout de s'emballer très vite !
Ce qui fait l'attrait des enquêtes de Montalbano est la critique sociale de l'Italie contemporaine. Au fil des pages, sont égratignés le parti nationaliste de la Ligue du Nord, Pippo Baudo et la RAI, la politique d'immigration et Lampedusa, les fonctionnaires et la corruption passive de certains d'entre eux, la raison d'état, etc. Ces romans ne sont pas politiques : ils ne font que le triste constat de l'état actuel de la patrie de l'humanisme. Un pays où la vie d'un enfant est l'enjeu de magouilles terroristes et politiciennes.
Au milieu de la toile d'araignée, se trouve donc Salvo Montalbano, 44 ans, plus ou moins en bonne forme. Un homme au grand coeur, avec un sens de la droiture assez particulier, présentant une intelligence pratique soutenue par un sens de la logique assez aigu. Mais, en amour, il fait souvent preuve de mauvais foi ; il est jaloux ; il peut faire preuve d'arrogance, au point d'en devenir négligent. Et surtout, jamais, au grand jamais, quelles que soient les circonstances, il ne néglige son estomac. Tout cela, fortement souligné par la verve de son langage haut en couleurs, en fait un homme méditerranéen plutôt attachant, à la base même du succès de la série. Même si d'autres personnages de second plan (et récurrents) sont tout aussi mémorables, comme l'inénarrable Cattarela, le séduisant Mimi Augello ou le méticuleux Fazio, Salvo Montalbano est le véritable moteur de toutes ces enquêtes.
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Troisième enquête de Montalbano, avec important approfondissement du "décor" de la ville de Vigata.

La troisième enquête du commissaire Salvo Montalbano, publiée en 1996, est surtout l'occasion pour Andrea Camilleri de préciser un bon nombre d'éléments-clé de l'environnement de son héros atypique. On voit ainsi se développer la relation filiale / fraternelle avec son supérieur le questeur, son refus acharné de toute promotion qui risquerait de l'éloigner de sa ville de Vigata adorée, sa rivalité mi-amusée mi-agacée avec son adjoint Mimi Augello, ses démêlés réguliers avec ses collègues trop bavards ou trop ouverts aux petites ou grandes corruptions, sa quasi-addiction à la bonne chère, en tous lieux et en toutes circonstances, sa relation compliquée avec sa "fiancée" génoise,...

Du coup, l'enquête compliquée menée dans ce roman en devient (presque) secondaire, même si elle est l'occasion de passer en revue certains problèmes d'immigration et de prostitution, et surtout d'aborder l'ambiguïté des relations entre les services spéciaux italiens et leurs homologues tunisiens...

"Dans son sommeil, à l'évidence, une partie de sa coucourde avait continué à besogner sur l'affaire Lapecora, au point que vers quatre heures du matin, il s'était levé et avait commencé à farfouiller fébrilement dans ses livres. Tout d'un coup, il se souvint que celui qu'il cherchait lui avait été emprunté par Augello parce qu'il avait vu à la télévision le film qui en avait été tiré. Il l'avait depuis six mois et il ne s'était pas encore décidé à le rendre. Il s'énerva.
- Allô, Mimi ? Montalbano, je suis.
- Oh mon Dieu, qu'est-ce qui fut ? Qu'est-ce qui se passa ?
- Tu l'as encore le roman de le Carré qui s'appelle "L'appel du mort" ? Je suis sûr de te l'avoir prêté.
- Mais bordel ?! Il est quatre heures du matin.
- Eh bê ? Je veux que tu me le rendes.
- Salvo, écoute quelqu'un qui t'aime comme un frère, pourquoi tu te fais pas hospitaliser ?
- Je le veux tout de suite.
- Mais je dormais ! Calme-toi, demain matin je te l'apporte au bureau. Maintenant, je devrais me mettre le caleçon, commencer à le chercher, me rhabiller...
- Je m'en fous complètement. Tu le cherches, tu le trouves, tu te prends la voiture, en caleçon si tu veux et tu me l'apportes."
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Citations et extraits (33) Voir plus Ajouter une citation
L'enfant qui vint lui ouvrir, dans l'appartement voisin, avait au maximum quatre ans et louchait louchement.

- Qui es-tu étranger ? demanda-t-il
-Je suis un policier, dit Montalbano en souriant et en se forçant à entrer dans le jeu.
-Tu me prendras pas vivant, annonçant le gamin et il tira sur lui un coup de son pistolet à eau, le cueillant en plein front.

L'échauffourrée qui suivit fut brève et tandis que le mouflet désarmé commençait à pleurer, Montalbano, avec la froideur d'un tueur à gages, lui tirait en plein visage, le trempant comme une soupe.
-Que se passe-t-il ? Qui est là ?

La maman du petit ange, Mme Gulotta n'avait rien à voir avec la petite mère de la porte à cpoté. Comme première mesure, la dame flanqua une solide torgnole à son fils puis prit le pistolet que le commissaire avait laissé tmber à terre et le balança par la fenêtre.
-Voilà, comme ça, on a fini de s'emmerder avec ça !

Avec des hurlements déchirants, l'enfant s'enfuit dans une autre pièce.
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Trente ans auparavant, Villaseta consistait encore en une vingtaine de maisons ou, mieux, de masures, rangées en deux files égales le long de la route provinciale, à mi-chemin entre Vigàta et Montelusa. Mais durant les années du boum économique, à la frénésie immobilière (laquelle semblait la base constitutionnelle de notre pays :«L'Italie est une république fondée sur le travail des promoteurs ») s'ajouta le délire routier et donc Villaseta se retrouva au point d'intersection de trois voies rapides, d'une route à quatre voies, d'une dénommée « bretelle », de deux provinciales et de trois interprovinciales. Après quelques kilomètres de paysages touristiques caractérisés par les glissières de sécurité opportunément peintes en rouge - là où avaient été tués juges, policiers, carabiniers, douaniers et même gardiens de prison-, certaines de ces routes réservaient à l'insouciant voyageur étranger la surprise de se terminer inexplicablement (ou trop explicablement) contre le flanc d'une colline désolée au point de susciter le soupçon que jamais pied humain ne s'était posé là. D'autres, d'un coup, allaient finir en bord de mer, sur une plage de sable fin et blond, sans maison en vue ni bateau à l'horizon, entraînant promptement la chute de l'insouciant voyageur dans le syndrome de Robinson.
Villaseta, qui, depuis toujours, obéissant à un instinct primaire, disposait des maisons sur les côtés de toute route qui se présentait, devint en peu de temps un gros bourg étendu et labyrinthique.
- Va me trouver cette via Garibaldi, maintenant! gémit Fazio qui était au volant.
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(...) Alors j'ai compris ce que vous, dottore, vous attendiez de moi, et je l'ai fait.
-Et qu'est-ce que je voulais de toi?
-Que je fasse du scarmazzo, du bordel, du bruit. (...) Ce n'était pas ça que vous vouliez?
Montalbano se sentit gagné par l'émotion. Ça, c'était l'amitié sicilienne, la vraie, qui se base sur le non-dit, sur l'intuition : à un ami, on a pas besoin de demander, c'est l'autre qui, de manière autonome, comprend et agit en conséquence.
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Alors seulement,le professeur,du tranchant de la fourchette,coupa en deux une boulette et s'en porta une moitié en bouche. Montalbano n'avait pas encore exécuté le geste. Pintacuda mastiqua lentement,ferma à demi les yeux,émit une espèce de gémissement.
_Si on se la mange à l'article de la mort,on est même content d'aller en enfer,dit-il doucement.
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En toute sincérité, Fazio aurait voulu répondre qu’à son avis, le commissaire était fou de naissance, mais il ne dit rien et fixa la fenêtre.
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Vidéo de Andrea Camilleri
Certains personnages ont la vie dure, traversant les années comme si auteurs et lecteurs ne pouvaient pas les quitter. Harry bosch, le fameux détective de L.A., est de ceux-là, créé en 1992 par Michael Connelly. Deux ans plus tard, Andrea Camilleri donnait naissance à son fameux commissaire sicilien Montalbano. Que deviennent-ils ? Leurs nouvelles aventures, qui viennent de paraître, valent-elles encore le coup ? Quant à Don Winslow, l'auteur de la fameuse trilogie La griffe du chien, il publie un recueil de six novellas dont deux remettent en scène les héros de ses plus anciens romans. Alors ? On a lu, on vous dit tout.
Incendie nocturne de Michael Connelly, traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Robert Pépin, éd. Calmann-Lévy. Le manège des erreurs d'Andrea Camilleri, traduit de l'italien (Sicile) par Serge Quadruppani, éd. Fleuve noir. Le prix de la vengeance de Don Winslow, traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Isabelle Maillet, éd. Harper Collins. Vous avez aimé cette vidéo ? Abonnez-vous à notre chaîne YouTube : https://www.youtube.com/channel/¤££¤36Abonnez-vous20¤££¤4fHZHvJdM38HA?sub_confirmation=1
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Andrea Camilleri est né en Sicile en 1925. Il s'est mis au polar sur le tard, avec un très grand succès. C'était en :

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