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Critique de Alvano
Livre verbeux et élitiste. C'est pour la grammaire française que je le note deux étoiles, mais l'intention est pédante, le texte alambiqué, l'auteur est psychologiquement délabré.
Le style aussi, m'a paru d'un académisme presque indigeste, comparé à des auteurs beaucoup moins connus comme Henri Barbusse : L'enfer, publié 40 ans plus tôt ; j'avais le sentiment d'une régression de la langue française. Trop de phrases abusent des pronoms relatifs et des adverbes, non pour communiquer une émotion comme Proust, mais pour exprimer des considérations générales glaciales, arides, laides.
Il commet en outre l'erreur, insupportable chez un écrivain, de décrire plusieurs fois la même chose avec des mots différents, je me suis même demandé si ce manque de simplicité, qui porte presque à la logorrhée, était volontaire, connaissant son goût pour l'absurde.
Cependant je me suis servi du livre, pour recenser tous les cas d'emploi du subjonctif, car il avait l'air de s'ennuyer autant que moi, et s'amusait sans doute à nous montrer l'étendue de son savoir en grammaire. de même, il utilise un grand nombre de locutions. le roman m'aura au moins servi à cela ! Merci à lui.
Je ne le recommande à personne, du fait de sa lourdeur et du pessimisme d'homme-corbeau, qui s'en dégage. On dirait un agent payé par les ténèbres pour diffuser son aura malsaine à la société. J'ai déjà éprouvé cette impression de nihilisme batailleur et abject, dans l'étranger. A ne voir que l'absurde, on a une fin prématurée et absurde, c'est ce que je retiens du parcours personnel de cet auteur.
Le style aussi, m'a paru d'un académisme presque indigeste, comparé à des auteurs beaucoup moins connus comme Henri Barbusse : L'enfer, publié 40 ans plus tôt ; j'avais le sentiment d'une régression de la langue française. Trop de phrases abusent des pronoms relatifs et des adverbes, non pour communiquer une émotion comme Proust, mais pour exprimer des considérations générales glaciales, arides, laides.
Il commet en outre l'erreur, insupportable chez un écrivain, de décrire plusieurs fois la même chose avec des mots différents, je me suis même demandé si ce manque de simplicité, qui porte presque à la logorrhée, était volontaire, connaissant son goût pour l'absurde.
Cependant je me suis servi du livre, pour recenser tous les cas d'emploi du subjonctif, car il avait l'air de s'ennuyer autant que moi, et s'amusait sans doute à nous montrer l'étendue de son savoir en grammaire. de même, il utilise un grand nombre de locutions. le roman m'aura au moins servi à cela ! Merci à lui.
Je ne le recommande à personne, du fait de sa lourdeur et du pessimisme d'homme-corbeau, qui s'en dégage. On dirait un agent payé par les ténèbres pour diffuser son aura malsaine à la société. J'ai déjà éprouvé cette impression de nihilisme batailleur et abject, dans l'étranger. A ne voir que l'absurde, on a une fin prématurée et absurde, c'est ce que je retiens du parcours personnel de cet auteur.
