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Critique de Marti94
Comme beaucoup de babéliophile, je classerais ce livre dans les romans cultes. Cependant, je me souviens d'une petite déception à l'époque où je l'ai lu (il y a longtemps) car il avait tellement été encensé par mes proches que je m'attendais à une sorte d'ovni. Heureusement, je ne me suis pas fait envahir par les martiens et ce livre m'a profondément touchée.
L'histoire se déroule à Oran, ville plutôt calme sur la côte algérienne. Pourtant, la ville ne tarde pas à être perturbée par un mal inconnu que le docteur Rieux finit par diagnostiquer : la peste. Des cadavres de rats apparaissent et alors que les habitants croient à une mauvaise plaisanterie, les premiers cas humains commencent. Alors que les uns nient le mal et d'autres tentent de le combattre, ce dernier semble incurable. La peur finit par s'incruster insidieusement dans les coeurs et les âmes des habitants d'Oran.
Le Nobel de littérature réussit à nous faire ressentir l'atmosphère pesante d'une ville claquemurée sur la peur et le silence, encerclée de charniers : il semblerait que la peste, pour Camus, soit le fascisme.
Challenge Nobel illimité
L'histoire se déroule à Oran, ville plutôt calme sur la côte algérienne. Pourtant, la ville ne tarde pas à être perturbée par un mal inconnu que le docteur Rieux finit par diagnostiquer : la peste. Des cadavres de rats apparaissent et alors que les habitants croient à une mauvaise plaisanterie, les premiers cas humains commencent. Alors que les uns nient le mal et d'autres tentent de le combattre, ce dernier semble incurable. La peur finit par s'incruster insidieusement dans les coeurs et les âmes des habitants d'Oran.
Le Nobel de littérature réussit à nous faire ressentir l'atmosphère pesante d'une ville claquemurée sur la peur et le silence, encerclée de charniers : il semblerait que la peste, pour Camus, soit le fascisme.
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