Citations sur Les chroniques d'Alvin le Faiseur, tome 1 : Le Septième.. (44)
Celui qui touche un salaire pour prêcher la parole de Dieu ne devrait pas critiquer les autres, ceux qui cherchent à gagner leur vie en révélant la vérité.
Un rêve qui revient avec insistance cherche à te dire la vérité.
Le fou ne voit pas le même arbre que le sage.
C'était comme ça en ce temps-là, voyez-vous. Les gens prenaient conscience des ennuis de leur prochain aussi vite que s'il s'agissait des leurs.
En persistant dans sa folie, le fou devient sage.
"Révérend Thrower, fit une petite voix derrière lui, perçante et criarde comme seule une voix d'enfant sait l'être, c'est-y pas un genre de charme, de bénir un morceau d'bois ?"
Même s’il parvenait le plus souvent à garder un visage impassible pendant la classe, et donc à recevoir moins de raclées, le dimanche restait l’épreuve la plus terrible de toutes parce que, cloué à son banc inconfortable, il devait écouter le révérend Thrower alors que la moitié du temps il se retenait d’éclater de rire à se rouler par terre, et que l’autre moitié ça le démangeait de se lever pour crier : « Jamais j’ai entendu une grande personne dire une chose aussi bête ! »
Si on casse quèque chose en morceaux et qu'on casse encore les morceaux en morceaux, on n'arrive pas à rien, dit Alvin. On a juste plein de p'tits morceaux.
(p. 171)
Le dimanche matin, conclut-il, a été inventé pour donner aux pécheurs un avant-goût du premier jour d'éternité en enfer.
Mais Al savait, pour en avoir fait la douloureuse expérience, que les filles te balançaient des coups de pied quand t'étais à terre et qu'elles te tombaient dessus à plusieurs dès qu'elles en avaient l'occasion.