Malheureusement je n'ai pas réussi à me passionner pour ce livre. l''histoire n'est pas mauvaise, l'écriture non plus mais je n'ai pas aimé les personnages ni les dialogues. leur manière de s'exprimer ne me convenait juste pas. C'est dommage, le livre aurait pu être intéressant si j'avais réussi à me projeter, à m'investir mais je suis rester de marbre face aux protagonistes.
J'ai toujours une certaine tristesse face à ces situations et je l'avoue, aussi de la déception.
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pour la 3 e fois le booker prize?
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Mon sauveur? Une meurtrière. C'est même pire que cela, car si je m''étais un jour éloigné d'elle, je restais un Bones, et tous les noirs et blancs, si clairs ce matin là à New York, étaient destinés à être du mouillé sur du mouillé, à séchage lent, ambigus, marée changeante entre beauté et horreur.
Elle avait volé la peinture et la toile de son patron. Elle n'avait aucun sens de la couleur - dans ses mains la palette était criarde. Elle était fière d'elle même.
je suis retourné depuis, à ce coin où nous nous avons officiellement déclaré notre intention criminelle sans réserve. On aurait du y apposer une plaque.
J'ai envie qu'on m'aime, qu'on se souvienne de moi avec tendresse et je serais un idiot de me montrer nu devant vous, mais ai-je jamais fait autre chose?
Elle n'avait pas de poigne, pas d'attaque, pas de gout, pas de talent. Elle était, en bref, écœurante.
Peter Carey au Sydney Writers' Festival en 2010. Discours de clôture sur les médias, la démocratie et le niveau d'alphabétisation.