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Le protectorat de l'ombrelle tome 3 sur 5
EAN : 9782253169741
432 pages
Le Livre de Poche (13/11/2013)
4.25/5   312 notes
Résumé :
Une histoire de vampires, de loups-garous et d’imprévus. Alexia est indiscutablement LE scandale de la saison londonienne : après les événements inattendus survenus en Écosse, elle est retournée vivre chez ses parents. La reine Victoria n’a d’autre choix que de l’exclure du Cabinet fantôme, et la seule personne qui pourrait expliquer quelque chose, Lord Akeldama, a inopinément quitté la ville. Pour couronner le tout, Alexia se fait attaquer par une coccinelle mécani... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (87) Voir plus Ajouter une critique
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Ah, cette chère Alexia. C'est toujours un réel plaisir de suivre ses aventures. Je ne me lasse pas du tout de l'univers de Gail Carriger qui a su encore une fois me charmer avec ce tome trois qui se détache un peu des deux tomes précédents, mais qui garde tous les éléments que j'adore dans le Protectorat de l'ombrelle. En le finissant d'ailleurs, je n'ai eu qu'une envie : continuer avec le tome quatre (ce que je suis en train de faire, d'ailleurs), notamment pour savoir ce qu'il va advenir d'Alexia et de son désagrément embryonnaire.

La fin du tome deux nous avait laissé avec une Alexia assez désemparée et déboussolée. Il était assez difficile de la voir comme cela, mais connaissant notre héroïne, il était clair que cet état n'allait pas durer très longtemps. Et c'est avec plaisir que la mordante lady Maccon reprend du poil de la bête et décide malgré les dangers de partir à la recherche de la vérité concernant son état, la cause de tous ses soucis. Dès les premières pages, nous nous doutons que l'action va être prépondérante et que l'on ne va pas s'ennuyer. Les vampires sont décidés à éliminer Alexia, d'une part, et d'autre part, notre chère comtesse veut partir en Italie pour rencontrer les Templiers (de grands fanatiques religieux qui luttent contre le surnaturel). Aventures, actions et palpitations garanties. Du coup, on ne s'ennuie pas du tout une seule seconde.

Mise à part le départ d'Alexia de Londres, le grand changement dont je faisais allusion plus haut et que nous voyons deux "histoires" se dérouler en parallèle. Lyall, resté à Londres, a lui aussi une enquête à mener et un Alpha malheureux à gérer. Et j'ai vraiment apprécié de voir ces deux intrigues se dérouler en parallèle l'une de l'autre. Lyall prend de plus en plus d'ampleur au fil des tomes. Et outre le fait que c'est un personnage que j'aime beaucoup et cela depuis le début, je trouve que l'auteur a su lui donner une vraie place dans cette histoire. Il n'est pas seulement un personnage secondaire, plus maintenant du moins, il est très souvent au centre des intrigues et devient un personnage incontournable. On se demande même comment la meute pourrait survivre sans lui. Il en est la tête pensante et le plus remarquable, c'est qu'il se contente tout à fait de cette position, et je pense qu'il ne l'échangerait pour rien au monde malgré les tracas que cela suscite.

Alexia est, elle, toujours aussi divine. J'adore vraiment son caractère, sa façon de voir les choses et d'agir. Elle est déroutante à certains moments, pétillante et sarcastique, s’accommodant de tout d'une façon déconcertante. Et je l'adore pour tout cela. Même avec son désagrément embryonnaire comme elle appelle son futur enfant, elle n'en reste pas moins adorable. Pourtant, ce terme pourrait paraître choquant, mais venant d'elle, c'est drôle et je pars du principe que quand on donne un surnom à quelque chose ou à quelqu'un, c'est qu'on y attache de l'affection quelle qu'elle soit. D'ailleurs grâce à lui, nous en apprenons encore plus dans ce tome. Sur le paranaturel comme sur le surnaturel. Chaque tome a son lot de révélations, et plus nous avançons, plus il est facile d'appréhender tout ce qu'il se passe et comment, le surnaturel a été amené à "coexister" avec le non-naturel. Nous n'apprenons pas forcément des choses très appréciables (le fanatisme religieux y étant pour beaucoup), par certains moments, mais cela fait partie d'un tout.

Un tome donc très agréable à lire, avec des crises de fou rire, de l'action, de l’impertinence, et même si la fin ne laisse pas tellement de surprise, il n'en reste pas moins que les intrigues sont très bien menées et que Gail Carriger sait toujours autant me charmer avec son style très original.
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Après une fin aussi abrupte et surprenante que celle du précédent volume, autant dire que j'attendais avec une certaine impatience de me plonger dans la suite des aventures de la détonante Alexia Tarabotti. le plaisir escompté ne fut toutefois pas vraiment au rendez-vous, et ce pour une simple et bonne raison : l'un des principaux attraits des deux premiers tomes tenait avant tout à l'alchimie régnant entre Alexia et le personnage de Lord Maccon, loup-garou de son état et, accessoirement, mari de notre héroïne. Or, une fois séparés, nos deux tourtereaux semblent avoir perdu une bonne partie de ce qui faisait leur charme, et c'est donc avec impatience (et un peu d'agacement) que l'on attend leurs retrouvailles, non pas par pure aspiration romantique mais surtout pour les voir enfin reprendre du poil de la bête (et c'est le cas de le dire...). Alexia, notamment, semble avoir perdu, à défaut de sa combativité, du moins une partie de ses capacités de réflexion et de son légendaire bon sens : notre héroïne se contente ici de se laisser embarquer par les événements, sans jamais chercher à prendre les devants. Cette petite faiblesse aurait pu aisément être compensée par une intrigue bien menée, seulement celle-ci ne s'est guère plus emballante en raison de problèmes de rythme et d'un final qui laisse grandement à désirer.

Mais peut-être suis-je un peu trop dure, car il y a évidemment également de bonnes choses dans ce troisième volume, notamment cette petite touche d'humour anglais qui faisait la saveur des tomes précédents et que l'on retrouve ici intacte. Quant aux personnages, puisque Lord et Lady Maccon semblent incapables de se débrouiller correctement l'un sans l'autre, c'est aux rôles secondaires qu'il revient ici de se distinguer. Et justement, certains d'entre eux se débrouillent tout à fait honorablement, à commencer par le professeur Lyall, le seul qui parvient à véritablement se démarquer par son efficacité et son caractère typiquement anglais. Les performances de Floote, le discret valet d'Alexia, et du professeur Trouvé, inventeur français rencontré lors de leurs péripéties et un peu farfelu, ne sont cela dit pas à négliger. Autre point positif : le fait que soit enfin abordé de façon plus précise des thématiques importantes telles que la nature des paranormals ainsi que leur place dans les différentes civilisations de l'histoire, ou encore les relations entretenues entre loups-garous / vampires et les humains dévoués à leur service (les portes-clés pour les premiers, les drones pour les seconds)

« Sans honte » occupe la place centrale dans la série de Gail Carriger et malheureusement cela se sent un peu trop : difficile de se départir de l'idée que l'on a essentiellement affaire ici à un tome servant uniquement de transition. Espérons que le quatrième et pénultième volume du « Protectorat de l'ombrelle » se révélera plus convaincant et que notre héroïne aura d'ici là retrouvé la totalité de sa forme. Affaire à suivre...
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Chassée, humiliée et profondément en colère contre son idiot de mari, Alexia est bien décidé à prouver à cette andouille que l'enfant est bien de lui, partant ainsi pour l'Italie, pays du délicieux pesto, armée de son ombrelle astucieuse et d'acolytes fidèles et dissemblables, une horde de vampires à ses trousses.

Ce tome 3 reprend cette ambiance hybride que j'aime tant : steampunk bit lit, dans un monde victorien, avec un humour so british. L'action reste très enlevée, sans longueurs, avec un rythme plaisant. La narration alterne entre Alexia et Lyall ( mon 2e préféré), nous offrant ainsi une vision complète de l'enquête à nous lecteurs, avec au passage des personnalités qui ne manquent pas de sel. Ah Alexia, sa vision du monde et sa langue acérée! Gail Carriger étoffe son monde, que ce soit l'aspect steampunk comme celui ( et c'est surtout celui-ci) des paranaturels avec la grossesse miraculeuse d'Alexia. On découvre donc des réponses à nos questions, tout en nous en posant des nouvelles.

Je suis littéralement tombée amoureuse de cette série et je me mets derechef sur le tome 4!
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*spoilers tome 2*

Sale temps pour lord et lady Maccon… Jetée à la porte par son loup-garou de mari pour cause de « désagrément embryonnaire », Alexia Maccon est devenue la risée de toute la bonne société londonienne et a été forcée, en sus, de réintégrer le logis familial aux côtés de sa mère et de ses soeurs décérébrées. Bien décidée à prouver à son crétin d'époux qu'il est dans son tord et que le marmot en gestation est bien de lui (tâche difficile puisque aucun surnaturel n'a jamais pu se reproduire, aussi loin que remontent les archives lupines), elle se voit forcée de quitter l'Angleterre pour des contrées bien plus barbares, à savoir la France et l'Italie. A Londres, lord Maccon, quant à lui, affronte la situation de la façon la plus mature qui soit, c'est-à-dire en ingurgitant des quantités phénoménales d'alcool afin de rester bourré vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Ajoutez à ce joli tableau des vampires surexcités bien décidés à faire la peau à Alexia, de féroces templiers italiens en chemise de nuit, des coccinelles géantes tueuses, ainsi qu'un petit chien bouffeur de coussin, et vous devinez sans peine que ce troisième tome du « Protectorat de l'ombrelle » ne sera pas de tout repos.

Dans la droite lignée de ses deux prédécesseurs, « Sans honte » s'avère un roman aussi réjouissant que dénué d'ambition. A défaut d'être surpris ou réellement emporté par le scénario, on profite avec plaisir de la plume enlevée de Cail Carriger et, surtout, de la galerie de personnages tout à fait sympathiques qu'elle a réussi à créer. Bien qu'Alexia Maccon reste le personnage principal de la série, les protagonistes secondaires prennent de plus en plus d'importance et c'est eux que je prends le plus de plaisir à retrouver roman après roman. Ce tome-ci, c'est le professeur Lyall qui est à l'honneur, ce dont je ne me plains pas puisque l'élégant et efficace Beta de lord Maccon est devenu au fil des volumes mon personnage préféré. Ledit lord étant hors de combat pendant la majeure partie de l'histoire pour cause d'ébriété, c'est sur ce bon professeur que retombent toutes les charges de la meute de Londres. Et la moindre des choses est de reconnaître qu'il n'hésite pas à payer de sa personne, allant jusqu'à froisser plusieurs noeuds de cravates et même, dans une mémorable occasion, à patauger jusqu'au cou – ou jusqu'à la truffe, c'est selon – dans les eaux nauséabondes de la Tamise. La classe, quoi !

Pour conclure, « le Protectorat de l'ombrelle », c'est marrant, léger, plutôt bien écrit et ça ne vous grillera pas les neurones : mangez-en !
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Londres sous l'ère de Victoria,

Lady Alexia Maccon a quitté son mari. L'Alpha de la meute des loups-garous et quatrième comte de Woolsey, lord Conall Maccon, l'en a pratiquement contrainte en refusant de reconnaître l'enfant qu'elle porte. Hélas… d'après les écritures, une paranaturel et un surnaturel ne peuvent pas enfanter.
Depuis deux semaines elle loge chez son beau-père, sous les feux des critiques hystériques de sa mère et des conversations stupides de ses demi-soeurs. « le désagrément foetal » comme elle le nomme est une véritable énigme qui fait jaser toute la bonne société sur une hypothétique inconvenance qu'elle aurait commise hors de la couche maritale. L'affaire prend de telles proportions, qu'Alexia se voit également démettre de ses fonctions du Cabinet Fantôme de la reine Victoria. Rejetée par Conall, et forcément de la meute, abandonnée par lord Akeldama qui a disparu on ne sait où, menacée de mort par les vampires de la ruche de la comtesse Nadasky, pourchassée par une horde de coccinelles mécanisées en bombes, elle réunit quelques uns de ses amis proches et fidèles pour leur dévoiler ses plans. Elle part en Italie… (pays des mâles Italiens, du café, du pesto… de tutti quanti… mais aussi fief des Templiers).
Approuvé par le professeur Lyall, Bêta de la meute, qui est de plus en plus inquiet pour son Alpha repu de formol (il n'y a que ce breuvage qui peut le saouler), par Floote, le mystérieux-ancien valet de feu son père, et par Geneviève Lefoux, inventrice Française au service de l'Ordre de la Pieuvre de Cuivre, le voyage est décidé à l'unanimité…

« – Lady Maccon, comment osez-vous montrer votre visage ici ? Prendre le thé d'une façon aussi voyante en compagnie d'un (elle fit une pause), d'un carton à chapeau agité… Dans un établissement respectable, fréquenté par des femmes honnêtes, convenable et d'excellente réputation.. Vous devriez avoir honte ! Honte de simplement marcher parmi nous (….) Vous devriez être en train de ramper aux pieds de votre mari et de le supplier de vous reprendre. »

Au manoir de Woolsey, juste avant d'être enfermé dans les geôles souterraines du château par le professeur Lyall qui ne sait plus comment faire pour le sortir de sa dépression, Conall demande à son Gama le commandant Channing Channing des Chesterfield Channing de surveiller Alexia et de la protéger de tout danger.

Accompagnée de Geneviève, toujours habillée en homme, et de Floote, Alexia va chercher les explications de sa grossesse auprès de l'Ordre du Temple. L'Italie lui préserve des surprises… mamma mia !

« L'Italie ?
- le creuset des opinions antisurnaturelles, cracha le professeur Lyall.
- le cloaque du fanatisme religieux, ajouta Tunstell.
- Les Templiers.
Ce dernier mot était de Floote et il le murmura. »

Ce troisième tome est digne des précédents. L'écriture folle de l'auteur, humour et loufoqueries, me ravit chaque fois. Plus que l'histoire qui se développe, ce sont les extravagances des mots-fleurs. Gail Carriger jardine méticuleusement son scénario. Je me délecte alors des noms des personnages (Channing Channing des Chesterfield Channing, ou Emmet Wilberforce Bootbottle Fips, Fips pour les intimes, ou…), de leurs caractères extravagants, des situations absurdes, de toutes les machineries bizarres qu'elle crée, des réparties, de l'ambiance victorienne aromatisée de so style et de fantaisie… C'est sûr, elle doit être apparentée à lord Akeldama !
Nous sommes embarqués sur le Continent et découvrons les moeurs des autochtones avec les coquineries des Français et les goûts sauvages des Italiens pour le café et l'ail ! Si les vampires craignent ce condiment, les loups-garous redoutent le basilic. L'entourage habituel d'Alexia se restreint un peu car elle laisse son imbécile de mari qui pédale dans sa tête, sa meilleure amie Ivy devenue Madame Tunstell, la meute… Lord Akeldama est absent, la présence de lord Ambrose, vampire au service de la comtesse Nadasdy, est juste esquissée… mais l'histoire dévoile un peu plus de la personnalité ambiguë de Geneviève Lefoux et celle impénétrable de Floot le valet.
Je ne suis pas déçue par ce volet et je lirai sans aucun doute le suivant… « Sans coeur ».
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critiques presse (1)
Elbakin.net
06 juillet 2012
Ce troisième tome, mené tambour battant, tient toutes ses promesses et plus encore.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Citations et extraits (29) Voir plus Ajouter une citation
Alexia sentit que c'était le moment d'opposer une protestation de principe « Vraiment, je crois que je suis sur le point de développer une névrose. Y a-t-il quelqu'un ici qui ne veut pas m'étudier ou me tuer ?
Flotte leva une main hésitante.
« Ah, oui, merci Floote.
- Il a aussi Mme Tunstell, madame, suggéra-t-il avec espoir, comme si Ivy était une sorte de prix de consolation.
- Je remarque que vous ne mentionner pas mon mari des beaux jours.
- Je soupçonne, madame, qu'en ce moment il a probablement envie de vous tuer.
- Bien vu.
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Les loups-garous considéraient leur forme d'immortalité comme une malédiction. A chaque fois qu'il se métamorphosait, Lyall se demandait si elle n'en était pas une et si les vampires n'avaient pas fait un meilleur choix. La lumière du soleil pouvait certes les tuer, et ils passaient leur temps à courir après des gens pour boire leur sang, mais ils pouvaient le faire confortablement et avec style. Entre la nudité et la tyrannie de la lune, être un loup-garou manquait essentiellement de dignité.
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Il s'avéra que c'était une livre entière de thé, dans une jolie petite boîte en bois.
"Je me suis rappelé cette horrible chose que j'avais entendu sur l'Italie." Ivy, submergée par un excès d'émotion, se tamponna le coin de l'oeil avec son mouchoir. "Ce que j'ai entendu... Oh, je peux à peine en parler... J'ai entendu dire qu'en Italie ils boivent... (elle s'interrompit) du café." Elle frémit délicatement. "C'est si abominablement mauvais pour l'estomac." Elle serra la main d'Alexia avec ferveur dans les siennes, avec le mouchoir humide. "Bonne chance."
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- Randolph, je vous préviens, vous allez avoir un choc : je suis un loup-garou.
- Oui, monsieur le comte.
- De deux cents ans.
- Oui, monsieur le comte.
- Une grossesse, vous devez le comprendre, n’est pas possible dans ces circonstances.
- Certainement pas pour vous, monsieur le comte.
- Merci, Randolph, vous m’aidez beaucoup.
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Le visage de Mme Loontwill était celui d'une jolie femme qui avait vieilli sans s'en rendre compte ; il se plissa en une grimace dont Alexia pensa qu'elle signifiait l'inquiétude maternelle. Au lieu de quoi elle la fit ressembler à un pékinois atteint de problèmes gastriques.
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