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EAN : 9782070466603
384 pages
Gallimard (05/06/2015)
3.85/5   292 notes
Résumé :


Cette édition présente les deux principaux récits de Lewis Carroll, Alice au pays des merveilles (1865) et De l'autre côté du miroir (1871), qui en est la suite. Le premier est l'histoire d'un rêve : animaux fantastiques, changements de taille, animation d'objets, toutes les ressources du merveilleux s'y déploient.

Dans le second, plus moderne encore, la petite fille accomplit un voyage «derrière le miroir», dans un pays fabriqué comm... >Voir plus
Que lire après Les Aventures d'Alice au pays des merveilles - Ce qu'Alice trouva de l'autre côté du miroirVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (35) Voir plus Ajouter une critique
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Alice s'ennuie. Alors, elle rêve.

La petite fille regrette lors du premier chapitre que le livre de sa soeur ne comporte ni images ni dialoques. En conséquence, elle crée son propre livre d'images et de dialogues (des dialogues qu'elle s'adressera à elle-même, parce qu'elle parle tout le temps toute seule). Alice, c'est une enfant solitaire, qui peuple son monde d'amis imaginaires. Elle fait partie de ces enfants qui rejouent les comportements des adultes dans ses jeux, qui ne sont que des simulations de la réalité – ainsi se retrouve-t-elle trop grande dans la maison du Lapin Blanc (qui a les dimensions d'une maison de poupée, mais elle se projette à l'intérieur – parce qu'elle est cette poupée). Elle joue à la poupée avec le bébé de la Duchesse mais elle l'abandonne avec toute la méchanceté dont une enfant est capable – dès qu'elle se rend compte qu'il ressemble un peu trop à un cochon, à son goût. Enfant gourmande (elle trouve que la boisson qui porte l'étiquette "Bois-moi" a le goût de tarte aux cerises, de tartine beurrée, de tout ce qu'elle préfère) , elle joue à la dînette, et prend le thé avec ses amis imaginaires. Alice, elle ne joue pas aux cartes mais elle se construit un château de cartes, qu'elle détruit ensuite. Elle joue encore au croquet avec la Reine (et les règles du jeu sont insensées – en tout cas, personne ne les respecte et c'est la confusion générale). Mais ne joue-t-elle pas contre elle-même ? En effet, il est dit au premier chapitre "qu'une fois même elle s'était donné des tapes pour avoir triché dans une partie de croquet qu'elle jouait toute seule ; car cette étrange enfant aimait beaucoup à faire deux personnages. « Mais, » pensa la pauvre Alice, « il n'y a plus moyen de faire deux personnages, à présent qu'il me reste à peine de quoi en faire un. »

Oui, les enfants agissent comme des fous et c'est ce que j'aime chez eux. le monde serait merveilleux si nous pouvions faire ressortir notre âme d'enfant en société (sans être classé dans la catégorie des fous, sans être interné). En tout cas, moi, je ne me prive pas de parler toute seule, parfois. J'aime bien me gronder, aussi.
Alice est impertinente, qu'elle le fasse exprès ou non. Alice est maladroite. Elle fait des remarques déplacées.

Elle s'offusque des propos des autres mais elle-même, elle contredit ses interlocuteurs, elle coupe la parole aux autres - tout le temps - , comme la Reine coupe les têtes. Elle tranche aussi la question, dès qu'elle s'en pose une ( et ses conclusions sont toujours drôles). Ses leçons qu'elle récite, elle les sort à tort et à travers. Mais elle a de l'imagination la petite, elle invente. (Elle ne s'arrête pas sur l'aveu de son ignorance). Elle préfère autant jouer avec les mots. C'est une bavarde oui, elle meuble une conversation à elle-seule, et surtout, elle ne s'arrête jamais de parler, et elle pousse la logique à l'extrême dans ses divagations. Et c'est ainsi que les homonymes génèrent le non-sense. le non-sense n'est pas dénué de logique – encore faut-il pouvoir suivre la logique d'un enfant ou la logique d'un fou. On joue sur une chose et sur son contraire (ainsi la folie du chat est-elle diagnostiquée selon la non-folie du chien) ou on mélange les causes et les effets. Elle demande même à un moment si elle n'est pas devenue une autre fille (qu'elle connaît), qu'elle trouve bête, et étant donné qu'elle ne se souvient plus de ce qu'elle a appris à l'école, elle se dit que logiquement, elle doit être devenue cette autre fille, puisqu'elle est bête, elle aussi (voilà comment Carroll applique le syllogisme). Les aphorismes de morale de la Duchesse sont très drôles aussi :

« Soyez ce que vous voulez paraître ; » ou, si vous voulez que je le dise plus simplement : « Ne vous imaginez jamais de ne pas être autrement que ce qu'il pourrait sembler aux autres que ce que vous étiez ou auriez pu être n'était pas autrement que ce que vous aviez été leur aurait paru être autrement. » »

Lewis Carroll, il ne fait pas dans le traité d'éducation, c'est plutôt de la non-éducation.
Il suffit de s'intéresser aux différentes branches de l'Arithmétique de la Tortue : "l'Addiction, la Distraction, la Mochification et la Dérision". C'est tout l'art de Carroll. Alice est dans l'addiction, étant donné qu'elle boit tout le contenu de la bouteille, et surtout, qu'elle n'a de cesse de consommer du champignon, elle est la distraction incarnée (elle qui divague sans cesse), les personnages autour d'elles sont tous caricaturaux et surtout, il y a de la dérision (et de l'auto-dérision). Il n'est pas raisonnable, le maître du non-sense. C'est comme un traité de conversation pour jeunes filles qui font la révérence (même lorsqu'elle chutent) mais de conversation décousue, sans queue ni tête ou plutôt sans "corps ni tête" ou que de tête, comme le Chat du Cheshire, ou que de sourire.

P.S : Etant aussi instable qu'Alice, et n'ayant pas encore relu "De l'autre côté du miroir", il est fort possible que j'édite ma critique pour ajouter quelques paragraphes de plus concernant l'envers des Aventures d'Alice au Pays des Merveilles. Vous ne vous étonnerez pas de cette anormalité - c'est normal.
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**Cet avis de lecture concerne uniquement le tome 2 des aventures d'Alice, "Ce qu'Alice trouva de l'autre côté du miroir".**

C'est avec le même plaisir qu'il y a quelques années -lorsque j'ai fait la connaissance littéraire d'Alice - que j'ai retrouvé cette enfant de sept ans, véritable prêtresse de l'imagination. Avec cette suite de ses aventures au Pays des Merveilles, on replonge dans un bain de fraîcheur et d'élucubrations facétieuses en passant "à travers le miroir" de sa chambre.

Le récit est structuré comme le précédent à la différence près que plusieurs des personnages loufoques qu'Alice rencontre au Pays des Merveilles nous sont déjà familiers, à l'instar de la Reine Rouge. L'imagination fertile d'Alice et de Lewis Carroll m'a offert une parenthèse fantaisiste pleine d'humour et de gentils délires qui m'ont fait sourire et fait briller les yeux de malice, que demander de plus ?

La traduction que j'ai lue est le travail de Pauline Pucciano, un excellent travail.


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Avec "Alice au pays des merveilles", et, sa suite, "De l'autre côté du miroir", Lewis Carroll, s'impose comme un génie !
C'est vraiment un chef-d'oeuvre, ou plutôt deux chefs-d'oeuvre, que nous rédige ici ce grand maître, de l'absurde.
Les personnages hauts en couleur et charismatiques, de l'originalité, un rythme parfaitement cadencé, des descriptions acides, un style à toute épreuve, un peu d'absurde dans "Alice au pays des merveilles", et beaucoup, dans "De l'autre côté du miroir" : tout concoure à faire de ces deux romans de très grandes oeuvres, où le célèbre auteur britannique, s'impose comme un des plus grands auteurs de sa nation ( et de son siècle ! ). Et, comme s'il ne suffisait pas, de livrer deux des plus grandes oeuvres britanniques du XIXème siècle, par la seule forme, Lewis Carroll, nous livre aussi deux contes philosophiques, d'une incroyable profondeur, avec un questionnement crucial, au centre : qu'est-ce que la réalité ?...
Et, puis, il y a toute la poésie de ces contes, dans les situations, parfaitement racontées par Lewis Carroll, qui s'avère être un très, très grand maître, du récit.
Je devine aussi parfois, sous l'absurde, une assez violente satire de moeurs.
Bref : deux chefs-d'oeuvre !
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Alice au pays des merveilles, c'est l'histoire d'un bouquin au charme fou... au sens propre du terme !

Oubliez toute notion de logique et de rationnel avant d'ouvrir ce livre, car sinon, vous vous retrouverez aussitôt sur le carreau. Les aventures d'Alice, déjà fort extraordinaires en elles-mêmes (tomber dans un terrier de lapin aux parois couvertes de placards, rétrécir au point de se retrouver à nager dans ses propres larmes...), s'enchaînent en effet sans que l'on ne sache trop comment, nous emportant avec Alice dans ce pays moins merveilleux que prodigieusement bizarre, où l'absurde règne en maître et où les habitants semblent tous avoir un sacré grain.
La première partie, voyage dans les recoins les plus tordus des lointaines contrées de l'imaginaire est donc un pur régal d'un bout à l'autre.

La seconde, en revanche, casse en partie la magie de l'ouvrage.
« De l'autre côté du miroir » n'est pas sans posséder des atouts propres, c'est certain (comme le passage dans le train ou avec la brebis), cependant, cette deuxième partie du récit se trouve totalement dépourvue de la fluidité de la première, qui gommait le côté décousu des pérégrinations d'Alice. A chaque fois que la fillette franchit un ruisseau, paf ! changement de décor ! Adieu donc spontanéité et tout effet de surprise ; ne reste que l'absurde. Mais là où « Alice au pays des merveilles » possède un côté « naturel », avec « De l'autre côté du miroir » transparaît le sentiment constant que Carroll, par crainte de ne pas en faire assez, a au contraire été trop loin. Les dialogues, auparavant comiques, sont désormais franchement laborieux à suivre ; et si les protagonistes sont plus perchés que jamais, ils apparaissent aussi très fades, comme si, au delà de leurs traits de folie respectifs, il n'y avait rien derrière. Et que dire de ces multiples poésies et chansons parodiques semées un peu partout, fortement lourdingues à la longue !

On sent clairement les sept ans ayant séparé la rédaction des deux textes, même si à l'origine, la genèse en était contemporaine.

Pourtant, malgré cette suite en demi-teinte, le charme qui se dégage de l'ouvrage reste lui intact, empreint de cette originalité et de cette folie tantôt douce, tantôt furieuse omniprésente. Au final, même si la seconde partie s'avère parfois laborieuse voire ennuyeuse à lire, le tout n'en reste pas moins unique en son genre.
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En temps que grande fan des films de Tim Burton et du dessin animé Disney, j'avais très envie de découvrir l'histoire originale de Lewis Carroll. Et je ne suis pas déçu, j'ai pu retrouver ce monde si louche et ses personnages loufoques et étonnants. Certains personnages sont totalement inconnus, comme la duchesse, ou la simili-tortue. L'histoire est tout simplement absurde tout comme la plupart des dialogues, ce qui est totalement logique avec la fin qui indique que tout n'était qu'un rêve. Et c'est ce qui fait de ce roman un classique.
Le style est tout de même assez spécial et on se perd un peu dans l'absurdité des dialogue, c'est une lecture du XIXeme siècle donc je n'ai pas l'habitude, je suis sortie de ma zone de confort et c'était très intéressant.
Et j'ai également beaucoup apprécié les illustrations du texte qui aide à visualiser certaines créatures !
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Citations et extraits (25) Voir plus Ajouter une citation
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Ici, je voudrais pouvoir vous répéter tout ce qu'Alice avait coutume de dire en commençant par son expression favorite : « Faisons semblant. » Pas plus tard que la veille, elle avait eu une longue discussion avec sa sœur, parce qu'Alice avait commencé à dire : « Faisons semblant d'être des rois et des reines. » Sa sœur, qui aimait beaucoup l'exactitude, avait prétendu que c'était impossible, étant donné qu'elles n'étaient que deux, et Alice avait été finalement obligée de dire : « Eh bien, toi, tu seras l'un d'eux, et moi, je serai tous les autres. » Et un jour, elle avait causé une peur folle à sa vieille gouvernante en lui criant brusquement dans l'oreille : « Je vous en prie, Mademoiselle, faisons semblant que je sois une hyène affamée, et que vous soyez un os ! » Mais ceci nous écarte un peu trop de ce qu'Alice disait à Kitty. « Faisons semblant que tu sois la Reine Rouge, Kitty ! Vois-tu, je crois que si tu t'asseyais sur ton derrière en te croisant les bras, tu lui ressemblerais tout à fait. Allons, essaie, pour me faire plaisir ! » Là-dessus, Alice prit la Reine Rouge sur la table, et la mit devant Kitty pour lui servir de modèle ; mais cette tentative échoua, surtout, prétendit Alice, parce que Kitty refusait de croiser les bras comme il faut. Pour la punir, Alice la tint devant le miroir afin de lui montrer comme elle avait l'air boudeur... « Et si tu n'es pas sage tout de suite, ajouta-t-elle, je te fais passer dans la Maison du Miroir. Qu'est-ce que tu dirais de ça ? « Allons, Kitty, si tu veux bien m'écouter, au lieu de bavarder sans arrêt, je vais te dire tout ce que je pense de la Maison du Miroir. D'abord, il y a la pièce que tu peux voir dans le Miroir... Elle est exactement pareille à notre salon, mais les choses sont en sens inverse. Je veux la voir tout entière quand je grimpe sur une chaise... tout entière, sauf la partie qui est juste derrière la cheminée. Oh ! je meurs d'envie de la voir ! Je voudrais tant savoir s'ils font du feu en hiver vois-tu, on n'est jamais fixé à ce sujet, sauf quand notre feu se met à fumer, car, alors, la fumée monte aussi dans cette pièce-là... ; mais peut-être qu'ils font semblant, pour qu'on s'imagine qu'ils allument du feu... Tiens, tu vois, les livres ressemblent pas mal à nos livres, mais les mots sont à l'envers ; je le sais bien parce que j'ai tenu une fois un de nos livres devant le miroir, et, quand on fait ça, ils tiennent aussi un livre dans l'autre pièce. « Aimerais-tu vivre dans la Maison du Miroir, Kitty ? Je me demande si on te donnerait du lait. Peut-être que le lait du Miroir n'est pas bon à boire... Et maintenant, oh ! Kitty ! maintenant nous arrivons au couloir. On peut tout juste distinguer un petit bout du couloir de la Maison du Miroir quand on laisse la porte de notre salon grande ouverte : ce qu'on aperçoit ressemble beaucoup à notre couloir à nous, mais, vois-tu, peut-être qu'il est tout à fait différent un peu plus loin. Oh ! Kitty ! ce serait merveilleux si on pouvait entrer dans la Maison du Miroir ! Faisons semblant de pouvoir y entrer, d'une façon ou d'une autre. Faisons semblant que le verre soit devenu aussi mou que de la gaze pour que nous puissions passer à travers. Mais, ma parole, voilà qu'il se transforme en une sorte de brouillard ! Ça va être assez facile de passer à travers... » Pendant qu'elle disait ces mots, elle se trouvait debout sur le dessus de la cheminée, sans trop savoir comment elle était venue là. Et, en vérité, le verre commençait bel et bien à disparaître, exactement comme une brume d'argent brillante.
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À l'instant suivant, Alice avait traversé la glace et sauté avec agilité dans le salon du Miroir. La toute première idée qui lui vint, ce fut de regarder s'il y avait du feu dans la cheminée, et elle fut ravie de constater que l'on y entretenait un feu bien réel et tout aussi ardent que celui qu'elle avait laissé dans l'autre salon. "De sorte que j'aurai chaud ici autant que là-bas, se dit Alice : davantage même, puisqu'il n'y aura personne pour me réprimander si je m'approche de la flamme. Oh ! Comme ce sera drôle, lorsque l'on me verra dans la glace et que l'on ne pourra pas venir m'attraper !"
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– Dans cette direction-ci, répondit le Chat, en faisant un vague geste de sa patte droite, habite un Chapelier ; et dans cette direction-là (il fit un geste de sa patte gauche), habite un Lièvre de Mars. Tu peux aller rendre visite à l’un ou à l’autre : ils sont fous tous les deux.

– Mais je ne veux pas aller parmi les fous. Fit remarquer Alice.

– Impossible de faire autrement, dit le Chat. Nous sommes tous fous ici. Je suis fou. Tu es folle.

– Comment savez-vous que je suis folle ? demanda Alice.

– Tu dois l’être, répondit le Chat, autrement tu ne serais pas venue ici.

Alice pensait que ce n’était pas une preuve suffisante, mais elle continua :

– Et comment savez-vous que vous êtes fou ?

– Pour commencer, dit le Chat, est-ce que tu m’accordes qu’un chien n’est pas fou ?

– Sans doute.

– Eh bien, vois-tu, continua le Chat, tu remarqueras qu’un chien gronde lorsqu’il est en colère et remue la queue lorsqu’il est content. Or, moi je gronde quand je suis content, et je remue la queue quand je suis en colère. Donc, je suis fou.
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- Mon Dieu, mon Dieu ! Tout est si bizarre aujourd'hui ! Alors qu'hier tout s'est déroulé comme d'habitude. Je me demande si j'ai été transformée pendant la nuit. Réfléchissons : étais-je bien la même quand je me suis levée ce matin ? Il me semble en effet me rappeler que je me sentais un peu différente. Mais si je ne suis plus la même, une question s'impose. Qui puis-je bien être ? Ah, voilà la grande énigme !
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