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Rebecca Kean tome 6 sur 8
EAN : 9782290079553
J'ai lu (29/03/2017)
4.41/5   267 notes
Résumé :
Un coup de fil en pleine nuit augure rarement une bonne nouvelle. Quand c’est pour apprendre qu’un petit rigolo a décidé de faire mumuse avec un sort interdit depuis des lustres, je commence a perdre mon sens de l’humour. Et si, en plus cette démonstration vise a éliminer un à un les chefs de clans officiant sur mon territoire, autant vous dire que je voit carrément rouge!
Avec tout cela, on voudrait que j’exerce avec un peu plus de sérieux mon rôle de reine ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (64) Voir plus Ajouter une critique
4,41

sur 267 notes
Epique, passionnant, drôle et intense.

Ayant fait le tour d'un peu tous les groupes, on s'attaque cette fois-ci à des sous-ensembles. Des factions suprémacistes genre KKK, qui considèrent la race magique comme supérieure et veulent asservir les humains.

L'auteur parvient à se renouveler et maintient tension et suspense. le bébé de Beth, l'armée des Vikaris et surtout on avance sur le mystère Raphaël mais aussi les origines de Rebecca.

Une série réellement aboutie. Si on m'en propose des similaires, je suis preneur.
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Quel sixième tome étrange ! J'ai l'impression que Cassandra O'Donnell est partie dans tous les sens, en abordant une pluie de sous-intrigues, sans rien conclure. Une choses est sûre, on n'a pas le temps de s'ennuyer : tout s'enchaîne avec frénésie ! Combats, révélations, actions, discussions, déclarations, … À peine on termine un chapitre qu'on embraye sur quelque chose d'autre, parfois sans aucun lien. Les chapitres courts ajoutent également du rythme, ce qui peut paraître une bonne chose… Cependant, je n'aurais pour une fois pas ce ressenti : à peine une scène se terminait, je songeais « déjà ?! ». C'était vraiment trop rapide. Les pages ont défilé à toute allure et je me suis presque sentie biaisée par l'auteure ou la maison d'édition en constatant que j'étais arrivée au bout du livre… 280 pages contre 600 pages d'habitude et une enquête qui est loin d'être achevée. Que s'est-il passé ? L'oeuvre est-elle coupée en deux ? Et pourquoi trouver autant de coquilles ou de fautes ? (N'y avait-il pas de relecteur ?) Y a-t-il une raison à ne pas indiquer certains dialogues ? (Oubli de la ME ?) Pour quelles raisons la ponctuation de certains dialogues était exagérée alors que ce procédé n'était pas utilisé dans le début de la série ? (Ex : Stop !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!) J'ai été déçue par cette surenchère de points d'exclamation ainsi que par les dialogues moins savoureux. Certes, l'humour est toujours présent néanmoins, je l'ai trouvé répétitif, très orienté sur la torture et moins drôle que dans les autres volets.

J'ai bien conscience que mon avis n'est pas très favorable, d'autant que j'ai eu la sensation de lire quelque chose de brouillon et de bâclé… Mais certains passages ont tout de même su m'intéresser. le cas de Beth, la meilleure amie de Rebecca, m'a par exemple beaucoup plu. Je suis curieuse de découvrir son futur, notamment avec cette belle surprise qui l'attend ! La pauvre va devoir surmonter bien des épreuves, surtout maintenant qu'elle a eu connaissance d'un drame. D'ailleurs, ce qu'elle a traversé est exactement ce qui m'a déplu dans cette suite : c'est annoncé brutalement et en une phrase. La réaction des protagonistes est assez minime et vite écourtée (ici ou de façon générale). Je m'attendais à quelque chose de plus vif et de plus long, surtout avec la tumultueuse louve qui a l'habitude de démarrer au quart de tour ! Peut-être que l'auteure donnera davantage de la place aux émotions de la belle garou dans le septième opus… (Je l'espère !)

L'enquête de Rebecca fut intéressante, intense et pleine de suspense. J'appréciais cette idée d'attaques de masse ainsi que le mouvement des Opperste, des anti-humains extrémistes considérant les hommes comme du bétail. On sent que le récit gagne en noirceur ! Les affaires engendrent des pertes dans tous les peuples, les personnages s'entre-déchirent, les trahisons sont légion, … On a passé un cap. de son côté, Rebecca est plus perdue que jamais et se concentre principalement sur sa mission ainsi que son nouveau rôle. En effet, suite à ce qu'elle a vécu avec les Vikaris, la voici à présent Reine, avec des responsabilités et des sorcières à son service. le peu que j'ai vu m'a plu même si, encore une fois, on aurait pu détailler davantage le lien entre les sorcières de guerre ou bien les différentes lanceuses de sort qui sont à peine présentées. Rebecca m'a agacée avec ses multiples relations amoureuses et ses hésitations. Elle est avec personne et tout le monde en même temps… J'avoue ne pas adhérer à ces choix volages et incertains. Au moins, sa fille Leo qui est en plein triangle amoureux a su se décider ! Certes, les choses vont se compliquer, surtout après l'une des révélations finales toutefois, elle avait moins joué sur les deux tableaux que sa mère. (Et encore, je n'ai pas fait mention de Maurane qui va tomber amoureuse de l'un des courtisans de la belle…)

Le soufflet est également retombé avec l'intrigue concernant Baetan. Si j'ai adoré en apprendre plus sur son rôle et que j'attendais avec impatience sa petite virée à Gerlead, j'ai vite déchanté en constatant qu'encore une fois, ce passage s'était interrompu d'un coup. Je ne m'attarderais pas non plus sur le fameux pacte avec la démone dont j'avais parlé dans mon avis du T5, qui a apparemment eu lieu sans qu'on le sache. Cette affaire était pourtant si prometteuse et intrigante ! La visite aux Enfers aurait pu gagner en approfondissement. Or, même si j'avais deviné ce que mijotait Baetan, j'ai regretté qu'on ne sache rien de plus, car on a enchaîné sur un autre sujet : l'annonce de la nature du beau vampire (encore une fois prévisible) ! C'est assez honteux, parce que ce qu'il s'y passe a un rapport direct avec le titre… Trop d'intrigues nuisent à l'intrigue principale. Vous l'aurez compris : première grosse déception avec cette saga… Rassurez-vous, je lirai quand même la suite, mais pas en septembre. J'ai besoin de digérer ces nombreux regrets.
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Pour moi, cette série est synonyme de détente. Ce n'est pas compliqué à lire, c'est divertissant et sympa.
Ce tome ci m'a apporté ce que j'attendais. En outre, on en apprend beaucoup plus sur la vrai nature de Rebecca et des personnages principaux qui l'entourent.
Mais comme toujours, c'est vraiment l'univers dans lequel elle évolue qui m'intéresse, avec toutes les lois et les coutumes régissant les êtres surnaturels.
Bref, une bonne lecture en attendant la fin de la série qui apparemment, n'est plus très loin.
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Bon !

Rebecca Kean est ma saga préféré. Au moins, comme ça, c'est posé. Alors la joie incommensurable que j'ai eu à l'annonce de sa sortie et les déceptions lors de ses reports peuvent être vaguement imaginé. Et c'est par rapport à l'affection que je porte à cette histoire que ma "déception" me laisse moi-même assez hagard.

Déjà, l'éditeur qui après avoir tant galérer avec ce tome avant sa sortie, a galéré avec également DANS SON CONTENU ! Regardez, le changement de style, pourquoi ? le plaisir que ça fasse tâche dans la bibliothèque ? Ce n'est pas grave ? Soit. Quasiment 200 pages de moins comparés aux tomes précédents pour le même prix. Toujours pas grave ? Soyons tolérants et avalons cette pilule, même si vu comment ça se termine on a l'impression qu'il a été scindé en deux, l'enquête n'étant même pas terminé ! PAR CONTRE, les nombreuses FAUTES de ponctuations de toutes sortes (tirets de conversations manquants ou au mauvais endroit, virgules mal placées, points portés disparus et les moult points d'exclamation, qui dépassant déjà deux, faisaient franchement vilain, je dis stop quoi.) Il me semble qu'ils sont censés corrigés les fautes de l'auteur non ? L'erreur est humaine ok, mais après tout ce temps, nous, pauvres lecteurs qui achetons, sommes en droit de demander le minimum.

Voilà, c'était les points dérangeants. Pas que ça m'est mise en rogne, mais ça me titillait quoi.

Maintenant, l'histoire. J'ai aimé ce tome car c'est Rebecca Kean, car il est bien, car j'aime les personnages, mais je n'ai pas ressenti la soif que j'avais lors de mes précédentes lectures. Il me donne aussi un goût de livre en dessous des précédents, surtout du 5 en fait qui avait littéralement tout fait péter.

Je ne pense pas que ça soit la "faute" de l'auteur. le style est toujours aussi plaisant, les comparaisons aussi limpides, la trame de l'histoire intéressante, de l'humour saupoudrée partout, bien que moins. Une culture en "béton" pour les peuples et les personnages individuellement. Mais j'avais la sensation qu'il manquait quelque chose, quoi je ne sais pas, pour me faire sauter au plafond ou me dire "IL ME FAUT TOUT DE SUITE LA SUITE". Bon, ça, ça fait un moment que les livres n'ont plus vraiment cet effet sur moi. Passons.

Je n'ai pas trouvé le début long à démarré et je ne me suis pas ennuyer par contre. Il s'agissait de poser les éléments pour dérouler l'histoire et c'était fait de manière intelligente. Bien qu'il manquait Leo et Raphael à l'appel au début et que Bruce soit totalement absent de ce tome, chose assez chagrinante concernant ce dernier, là aussi, je n'ai pas été ennuyée. Bon, j'ai trouvé ça dommage la manière de "l'éjecter" et de le "remplacer" par Ali mais voilà.
D'ailleurs, j'attends toujours les explications de tous ces liens. Ok, pour Raphael, mais Ali et Bruce ? J'ai mes hypothèses mais je veux le lire.
Un truc me faisant être mi figue mi raisin c'est que je n'ai pas été surprise dans ce tome par les révélations, ou encore les événements.

Le truc c'est que, j'ai tout vu venir. J'ai tout deviné. Et vous en conviendrez que ça gâche donc la partie "suspense" ou l'effet "claque" du livre.

Bon, sinon, Rebecca est toujours aussi froide, bien qu'il y ait une fissure qui se crée. Leo elle, semble faire sa crise d'adolescente et bien que je sois assez "empathe" j'arrive juste pas à saisir comment on peut aimer amoureusement plusieurs personnes. Les désirer, je veux bien tenter de concevoir, mais les aimer, non. Donc les triangles voir quatuor amoureux, je vote pas pour du tout. Fin, bon, je m'étais fait une raison mais là...Vu comment Leo a réagi à certaines choses...C'est assez disproportionné.

Il faut aussi souligné, vu comment certaines choses ont été expédiées, que je n'ai ressenti aucune émotion pour les différentes pertes ou encore désagréments qui arrivaient dans la vie des personnages.

Etonnament,j'aime bien Ariel. Même si je suis plutôt du côté de William, j'aime l'arrogance et la froideur d'Ariel et p'tet que je pourrai changer de jeu de mains plus tard.
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Cassandra O'Donnell Rebecca Kean. Pour adulte.
Cette critique concerne les 7 1ers opus de la série.
Je vais parler des plus, des moins et je ferai une conclusion.
Les moins de cette série :
- le sujet est trivial une sorcière, des loups-garous, des vampires, des sorciers,…, l'Amérique, un job de tueur,...
- le style littéraire : au ras des pâquerettes – genre roman « de gare » : j'avais l'impression pour les 3-4 premiers romans de lire un script pour une série de télé càd : quasi aucune description, aucun recul (à part celui des flingues), de l'action de aàz. Ce style perdure, il faut juste s'y habituer.
- Surtout dans les premiers tomes,… : des erreurs de traductions,…j'imagine soit un robot-traducteur réservé à l'édition, soit un ado…ex. : « aux grands mots les grands remèdes » (…enfin cette faute-là il m'a fait sourire)…vous voyez ce que je veux dire ?
- de nombreuses fautes de français, des coquilles, des incohérences de récit, qui me sortent complètement du fil pendant quelques secondes. Mais bon, je suis sorti du « flux »: soit j'essaie de comprendre et de résoudre les incohérences, soit cela me choque (les traductions, la grammaire,...) et je me pose des questions sur ce que j'ai en main…et si je vais continuer à lire.
- Les passages pornos qui n'apportent rien d'intéressant
- La violence permanente un peu trop marquée genre kill bill
- le côté « j'aime l'Amérique, ses série télé, son Coca Cola, Ses Macdo, etc… » (principalement les 1ers tomes).: qui quand je lis cela me donne juste envie de gerber…
Mais la critique la plus marquée je la réserve aux éditeurs qui font de moins en moins bien leur job me semble-t-il, ex. : pourquoi avoir attendu tant d'année avant de traduire les 1ers tomes de ces romans qui font le buzz en Amérique depuis 2005 ? Et …EST-CE QU'UN ADULTE, LITTERAIRE, RELIT les textes (erreurs de grammaires, de traduction,…) ?
Et surtout aux éditeurs américains : sont-ils trop peu cultivés/ intelligents/logiques/ que pour ne pas relever les incohérences dans un récit aussi basique ? Je reviendrai sur cette observation de plus en plus répétitive à l'occasion d'une prochaine critique relative à un certain John Scalzi pour sa série du "vieil homme et la guerre" (Editions TOR: et là ça va saigner 😊).
Les plus :
- Je n'ai pas trouvé utile de relever des exemples d'incohérence / erreurs de traduction,…le contraire serait un signe que je suis (très) déçu et (très) fâché. –
- Après avoir lu les 6 1er tomes j'ai eu envie de lire le 7 ème…
- Les traductions, les incohérences de récit et la grammaire s'améliorent avec les opus...ouf cela m'a permis de mieux me laisser emporter par l'aventure...
- J'ai commencé à « accrocher » avec les amours « compliquées » mais très belles de Rebecca. Je préfère ne pas dévoiler ce qui se passe…à chaque opus l'écrivaine nous réserve des surprises 😊.
- A ces amours s'ajoutent les capacités « inattendues » des enfants (hilarant). Tome 5, 6.
- L'humour noir. le tome 7 est un summum…désolé avant il faudra lire les 6 1ers tomes 😊 😊 (presque aussi bon)
- Les disputes avec sa gamine (ado) qui fait écho à notre misérable vie de parents dans ce siècle de merde submergé par les réseaux « sociaux » qui tout au contraire détruisent
les relations (à ce sujet : lire l'excellent « la fabrique du crétin digital » – prix femina 2020).
Dans les tomes 5-6-7 sa fille Leo a entre 13 et 15 ans (vous voyez ce que je veux dire… 😉).
- le côté Reine des Vikaris de Rebecca qui se révèle de plus en plus marquant avec un summum au tome 7 (et oui encore attendre… 😊) – un must hilarant.
- La tension (professionnelle, amoureuse,…) qui grimpe entre les personnages tout au long des opus…(Rebecca gère comme elle peut : j'adore)
- La complexité sans cesse croissante de ses relations amoureuses, professionnelles, familiales,…
- La reconnaissance de ses patrons sur la qualité de son « job » (qui finalement consiste à faire de l'espace, à faire le vide si vous voyez ce que je veux dire…) qui se transforme petit-à-petit en amitié
- les infos sur le père de sa fille, sur ses parents, les nouveaux personnages, révélées au fur et à mesure des opus,…
Bref, je suis heureux d'avoir découvert cette écrivaine : elle bosse, elle a de l'imagination, de l'humour dès le 1er tome et puis cela monte régulièrement en puissance et en plaisir de lire.
Des romans dopés à l'adrénaline qui vous laissent un sourire permanent sur les lèvres…même après la lecture.
Comparé à Rebecca, on se dit que finalement on se débrouille pas si mal avec nos enfants et que notre job n'est pas si « merdique »...
Ce n'est pas de la haute littérature. Je ne suis pas le public cible mais j'ai (petit-à-petit) aimé la série pour :
- l'humour (noir), omni-présent
- les relations amoureuses de Rebecca, ses relations avec sa fille et ses amis et la recherche d'équilibre avec son job
Je devrais détester vu la violence. Mais en fait dès le 1er tome, après une vingtaine de page, on n'a simplement plus envie de refermer le livre… 😊
Bonne lecture.




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Citations et extraits (26) Voir plus Ajouter une citation
Elle me jeta un regard soupçonneux.
- Qu'est-ce que tu as encore fait ?
J'ouvris la bouche puis la refermai, vexée.
- Rien. Pourquoi est-ce que tu... ?
Elle me lança un regard appuyé.
- Tu as exactement la même expression que lorsque tu étais petite et que tu avais fait une grosse bêtise...
Madeleine s'esclaffa.
- Exact ! On l'appelait la tête qui fait « oups ».
Elle me dévisagea attentivement.
- Qu'est-ce que tu as fait ?
Je ne répondis pas et poussai rageusement la porte de la maison.
- Bon vous entrez oui ou non ?
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Une heure plus tard, Maurane – qui avait refusé de me suivre – était figée sur la banquette arrière tandis que Tyriam et sa femme, Magda, nous suivaient à contrecœur jusque chez moi dans leur SUV.
D’accord, les gens biens évitent généralement de kidnapper leurs amis ou de leur forcer la main. Mais je préférais nettement avoir à supporter leurs plaintes, leur colère et leurs récriminations plutôt que de risquer de les voir se faire tuer. Et Maurane avait beau être fâchée contre moi à cause de cette stupide histoire avec Ali, je m’en fichais. Elle était vivante et le resterait, c’était tout ce qui comptait.
— Maman, je peux savoir pourquoi tu as figé Maurane ? demanda Leo peu de temps après qu’on fut arrivés.
— Elle n’était pas coopérative.
Elle haussa les sourcils.
— Elle n’était pas coopérative ?
— Non. Elle ne voulait pas venir.
— Donc tu l’as traînée de force ici ?
— Exact.
Leo lança un regard inquiet en direction de la chambre où j’avais installé la potioneuse.
— Elle va t’arracher les yeux.
Je haussai les épaules.
— Probablement. 
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Les êtres qui possèdent le pouvoir de détruire le monde d’un claquement de doigt ne prennent pas la peine de mentir. Ils n’ont pas à le faire.
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— J’espère qu’elles ont souffert, grommela Grand-mère.
Je grimaçai.
— Pour être honnête, j’étais un peu pressée…
Grand-mère me lança un regard sévère. Je levai les yeux au ciel.
— Elles sont mortes, OK ? Mortes… qu’est-ce que tu voulais faire de plus ?
Grand-mère se tourna vers Leo qui secoua la tête.
— Non, mamie, je te l’ai déjà dit, je ne peux pas torturer les âmes des gens après leur mort. C’est interdit. 
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« — Ne me dites rien : Tony est un puma, un tigre ou…
— Un chihuahua.
J’écarquillais les yeux.
— Un… un chihuahua ? Un « chihuahua » est en train de traquer notre présumée tueuse ?
— Ouais.
Il me dévisagea.
À vrai dire, je ne savais pas trop quoi en penser. Une partie de moi était ravie que le muteur ait pris cette initiative aussi rapidement et une autre trouvait cette idée à la fois stupide et ridicule. Un chihuahua ? Non mais franchement !
— Vous savez, il ne faut pas vous inquiéter pour lui, il n’est pas très costaud mais c’est un malin. Il retrouvera cette garce où qu’elle se cache…
Et après ? Qu’est ce qu’il comptait faire ? Lui pisser dessus et lui mordiller sauvagement les mollets ? »
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