C'est le tome quarante et un de la série. A la médiathèque ils n'ont pas les quarante premiers. C'est dommage car celui-ci est la suite du numéro quarante.
Heureusement un bref résumé est fait dès la première vignette. Blutch a été promu lieutenant et abandonné à l'ennemi avec de faux renseignements. En haut lieux l'affaire fait grand bruit pour son côté immoral. Partisans et détracteurs se livrent à une féroce bataille verbal. Contraint de déserter, Blutch et Chesterfield ont trouvé refuge du côté mexicain mais Chesterfield n'a qu'une idée en tête : aller à Washington plaider sa cause auprès du président. Après être tombé sur des voleurs de chevaux, ils trouveront refuge dans un cirque.
Les tuniques bleues est une série que j'adore et cela faisait un moment que je n'en avais pas lu, je me faisais une joie de renouer avec cette bande dessinée. Mais ici à part quelques gags marrants, ce n'est pas un numéro des plus génial.
Ce n'est pas ce qui va m'arrêter, ils en ont d'autres et je suis sûr que j'y trouverai mon bonheur.
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La suite des « hommes de paille » est également réussi.
Blutch et Chesterfield ont dû déserté suite à leur dernière mission ratée et le sergent se morfond de cette situation honteuse pour lui. Heureusement il a une excellente idée (ça promet), demander la grâce du Président en se rendant directement à Washington. L'occasion de croiser une troupe de Cirque et peut-être de retrouver l'honneur perdu en route...
Un album réussi avec beaucoup d'humour et une conclusion à cette histoire en deux parties, peut-être un peu facile mais dans le style de la série des Tuniques Bleues, très drôle.
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La suite et fin du tome 40, les hommes de paille, nous propose ici un numéro hors norme où nos deux tuniques bleues se retrouvent dans une situation comique pour notre plus grand plaisir.
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Blutch et Chesterfield, qui ont dû déserté (tome 40), voient leur tête mise à prix. Mais Chesterfield veut laver son honneur, et décide de quitter le Mexique pour aller demander sa grâce au président Lincoln. Blutch et lui vont se retrouver malgré eux à jouer les clowns dans un cirque ambulant... Beaucoup d'humour.
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- ...un cirque ambulant ? Vous n’êtes pas sérieux ?! Vous Croyez vraiment que nous n’avons que cela à faire ?
- malheureusement oui !
- que voulez-vous dire ?
- le front est calme. Les hommes s’ennuient à mourir. Un peu de distraction leur ferait du bien... et à nous aussi.
-Vous y ténez tant qué ça à votre copain, senor?
-Pas du tout!
-Yé né comprends pas!
-Ce type à gâché les meilleures années de ma vie! A sa mort, je veux être là car je me suis promis d'aller piétiner sa tombe.
Allons-y Arabesque, il ne faut surtout pas le perdre de vue!
-Pero qué sé passéra t-il vous mourez lé premier?
-Alors, c'est mon cheval s'en chargera!
-Santa Virgen! Ils sont fous, ces gringos!
Connaissez-vous le créateur des Tuniques bleues?