Première édition française : 2002
Temps de lecture : environ 8 heures pour un lecteur moyen (300 mots/minute)
Un mot sur l'auteur :
Maxime Chattam est un auteur français, essentiellement de polars, né en 1976.
L'âme du mal est le premier roman d'une trilogie (la trilogie du mal) qui l'a fait connaître du grand public.
Synopsis :
après avoir débarrassé la société d'un tueur en série (Leland Beaumont) d'une balle dans la tête alors qu'il allait tuer sa dernière victime (Juliette Lafayette), un inspecteur (Josh Brolin) et son collègue (Larry Salhindro) se retrouvent confrontés, un an plus tard, à un mystérieux nouveau tueur qui reprend les meurtres là où Beaumont s'est arrêté.
Que faut-il en retenir ?
C'est mon premier
Chattam. Je l'ai lu sur la chaude recommandation d'une amie. L'histoire est digne d'un polar. Classique, mais efficace. L'intrigue est amenée progressivement et tient le rythme ; de ce côté-là, rien à redire. En amateur de
Lovecraft, je ne peux qu'apprécier les inspirations (et citations) dispersées ici et là. D'un point de vue stylistique, rien d'exceptionnel. Mais ce n'est pas non plus ce que l'on attend d'un polar.
Pour conclure : Malheureusement, j'ai assez vite émis l'hypothèse qui se vérifie finalement. de ce point de vue-ci je reconnais avoir été déçu par la fin que j'espérais d'un style plus « fantastique ». Sans spoiler, la conclusion m'a donné un arrière-gout de celle des « rivières pourpres » et me fit donc un peu l'effet de « déjà vu ». Pour autant la lecture est agréable et fluide.
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