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Critique de Caro29
Ça fait plusieurs mois que je n'ai rien posté sur Babelio et je voulais écrire et partager un retour de lecture le 27 mars dernier parce que ça faisait exactement dix ans que je m'étais inscrite sur ce site (d'ailleurs, il y a du changement !). Mais j'ai raté le coche. Tant pis, je ne m'y remets qu'aujourd'hui. Enfin, plusieurs mois après l'avoir terminé, je vais essayer de retrouver mes impressions de lecture de L'âme du mal de Maxime Chattam.
De cet auteur, je n'avais lu que son court roman Carnages, que j'avais moyennement apprécié. En revanche, j'ai trouvé L'âme du mal, qui est un « pavé » (je préfère les pavés aux formats trop courts), passionnant. C'est un thriller vraiment bien conçu, avec des rebondissements, mais pas trop, des fausses pistes, mais pas trop non plus, et une intrigue très intéressante. Au milieu de tout ça, le narrateur explique certaines techniques de travail et d'enquête qui sont peu connues des profanes comme moi. Assez rapidement, j'ai été prise dans l'histoire. Et j'étais contente d'y retourner chaque fois que j'avais un moment. Pourtant, l'intrigue est assez glauque et éprouvante. En effet, Maxime Chattam ne nous épargne aucun détail et il faut dire que certaines scènes sont difficilement soutenables. L'inspecteur Joshua Brolin – que j'ai pris beaucoup de plaisir à « rencontrer » – doit affronter un tueur en série qu'il a pourtant tué mais qui continuerait de commettre des meurtres horrifiants. Comment est-ce possible ? Toute l'intrigue tourne donc autour de la résurrection improbable d'un meurtrier particulièrement sadique, un tueur qui incarne l'âme du mal.
J'ai donc trouvé ce thriller très intéressant et il m'a donné envie de lire les deux autres romans de la trilogie – In Tenebris et Maléfices (même si j'ai entendu dire que ce dernier parle d'araignées et que je suis un peu arachnophobe).
De cet auteur, je n'avais lu que son court roman Carnages, que j'avais moyennement apprécié. En revanche, j'ai trouvé L'âme du mal, qui est un « pavé » (je préfère les pavés aux formats trop courts), passionnant. C'est un thriller vraiment bien conçu, avec des rebondissements, mais pas trop, des fausses pistes, mais pas trop non plus, et une intrigue très intéressante. Au milieu de tout ça, le narrateur explique certaines techniques de travail et d'enquête qui sont peu connues des profanes comme moi. Assez rapidement, j'ai été prise dans l'histoire. Et j'étais contente d'y retourner chaque fois que j'avais un moment. Pourtant, l'intrigue est assez glauque et éprouvante. En effet, Maxime Chattam ne nous épargne aucun détail et il faut dire que certaines scènes sont difficilement soutenables. L'inspecteur Joshua Brolin – que j'ai pris beaucoup de plaisir à « rencontrer » – doit affronter un tueur en série qu'il a pourtant tué mais qui continuerait de commettre des meurtres horrifiants. Comment est-ce possible ? Toute l'intrigue tourne donc autour de la résurrection improbable d'un meurtrier particulièrement sadique, un tueur qui incarne l'âme du mal.
J'ai donc trouvé ce thriller très intéressant et il m'a donné envie de lire les deux autres romans de la trilogie – In Tenebris et Maléfices (même si j'ai entendu dire que ce dernier parle d'araignées et que je suis un peu arachnophobe).
