Tout le monde connaît Myrto, la jeune Tarentine, qui a vécu. La référence de Chénier, c'est Rome, l'Antiquité, la mythologie qui explique le monde depuis l'origine. Noter la théâtralité de certaines
poésies, qui sont quasiment des dialogues. Là, on ne lit plus cela de nos jours. Paradoxe ou presque : j'ai tendance à penser que cela ne fait pas de mal, pour employer un euphémisme.