AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Les portes d'Ivrel (14)

Et tu es Kurshin. Personne d’autres ne serait aussi honorablement stupide. […] Nous ne sommes pas courageux, nous autres qui jouons avec les Portes, nous avons trop à perdre pour nous offrir le luxe d’être vertueux et braves. Je vous envie, vous les Kurshins, comme j’envie tous ceux qui peuvent se permettre de tels gestes.
Commenter  J’apprécie          61
Vanye vit alors le piège qu’Erij préparait pour Morgane, la tromperie soupçonnant la tromperie chez tous les autres. Il admirait cette ruse : l’homme était Myya jusqu'au fond du cœur, et songeait à toutes les possibilités sauf une… que ni l’un ni l’autre d’eux deux ne survivent à la prise de Hjemur.
Commenter  J’apprécie          60
- Qu’y a-t-il d’écrit sur la lame ?
- Assez de choses pour que quiconque serait capable de les lire en sache davantage sur les Portes que je n’aurais aimé en savoir. C’est pourquoi j’en prends un tel soin. Elle est indestructible, sauf par les Portes. Je n’ose pas la détruire. Il fallait que Chan soit fou pour fabriquer un tel objet. C’était un très grand risque. Nous l’avions tous averti que nous ne devions pas nous servir des sciences qujaliennes. Mais c’est fait et ce ne saurait être défait.
- sinon par les Feux de Sorcières eux-mêmes.
- sinon par eux.
Commenter  J’apprécie          57
Que ferais-tu si tu étais mourant et que tu n’aies qu’à tendre la main et tuer pour… non pas une vieillesse prolongée avec tous ses maux… mais pour une nouvelle jeunesse ?
Commenter  J’apprécie          30
Cette femme attire les guerres comme l’hiver apporte les tempêtes.
Commenter  J’apprécie          30
Si je vis, je franchirai quand même la Porte d’Ivrel et, en passant, je la fermerai. […] Je ne sais pas où je serai. En un autre lieu. Ou éparpillée, comme les hommes à Kath Svejur. Je ne le saurai que lorsque je franchirai la Porte pour qu’elle me transporte. C’est ma tâche : ferme définitivement les portes. Je continuerai jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus du tout… Et je ne le saurai pas je le crains, jusqu’à ce que je ressorte de la dernière pour me trouver devant rien.
Commenter  J’apprécie          30
L’Enfant des Fées s’alimentait aux Feux des Sorcières d’Ivrel. Le néant noir derrière la Porte était le même que ce minuscule néant qui tremblotait à la pointe de l’épée, qui s’emparait d’hommes valides pour les réduire à rien, qui déchaînait des vents hurlants se perdant dans les cieux où les hommes ne pouvaient vivre, comme le dragon avait péri dans la neige… d’autres cieux où il ne faisait jamais jour.
Commenter  J’apprécie          30
Sur les hauts d’Ivrel se dressent des Pierres gravées de telles Runes qujaliennes, lesquelles si l’homme les touche, exhalent tels des feux de sorcellerie qu’âme et corps en sont pris d’un coulp. Et toutes Places de Puissances se meuvent grandes forces, lesquelles sorcelleries qujaliennes œuvrent ores encore. Peut-être avez-vous connaissances de sang qujalien ici même, si enfants naissent gris d’yeux, importants de stature, et s’ils fuient bien pour treuver telles Places, car les Qujals âmes non poinct et non obstant vivent beaux et jeunes plus d’ans durant qu’Hommes.
Commenter  J’apprécie          20
Quand Thiye régnait en Hjemur
Vinrent des chevaliers inconnus
Et trois étaient foncés et l’un était d’or
Et l’une blanche comme le gel.
Blonde était-elle et fatale autant que belle,
Et maudissait ceux qui l’écoutaient ;
Ores peu d’hommes vivent et les loups sont plus nombreux
Avec l’hiver qui s’approche

Version alternative :
Quand Thiye régnait en Hjemur s’en vinrent des cavaliers,
Trois étaient de ténèbres, un autre d’or,
Et celle qui était semblable à du givre était belle.
Oui, belle, et fatale autant que belle,
Et elle apportait la malédiction à qui lui prêtait oreille ;
Aujourd’hui le nombre des hommes est petit et celui des loups est grand
Et l’hiver s’approche inexorablement
Commenter  J’apprécie          20
Je me fais l’impression d’une souris passant devant un chat : sans doute n’y a-t-il pas de danger car la bête paraît bien nourrie et paresseuse ; mais ce serait une grave erreur que de se mettre à courir. Mais si le chat a vraiment fin, c’est là que nous commettons l’erreur.
Commenter  J’apprécie          20






    Lecteurs (54) Voir plus



    Quiz Voir plus

    Les plus grands classiques de la science-fiction

    Qui a écrit 1984

    George Orwell
    Aldous Huxley
    H.G. Wells
    Pierre Boulle

    10 questions
    4864 lecteurs ont répondu
    Thèmes : science-fictionCréer un quiz sur ce livre

    {* *}