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Critique de Hugo


Cette critique peut heurter la sensibilité de certains lecteurs.

N'ayez crainte ma bourgeoise que « j'obsièque(eue) » votre cul, à presser une fesse après l'autre pour le simple plaisir d'y libertiner un doigt ou deux dans l'antre d'une folie purement humidifiée par ce désir ardent qui « ma bite » jour et nuit entre vos cuisses…

Quel plaisir de jouer à sein ni tripote, à manipuler ces lubricités les plus inavouables, transformer le défi en jeu infâme et cruel, jusqu'aux dérives honteuses de l'amour, comment peut-ont ne pas chavirer « glorifiquement » dans le glauque sans lendemain ?

La goutte à l'air, voilà que je me sauve déjà vers d'autres petites chattes, par défi pensez-vous, ou par mépris assurément… Ô détestez-moi, détestez-nous, nous ne sommes que légèreté, un sourire insouciant, assumé, le reflet d'une société hypocrite d'infidélité, d'immoralité…

Allons bon, ne soyons pas si hâtif à juger la manipulation libertine sur « autretruie »

Mais l'amour un jour ou l'autre s'invite à l'indifférence bestiale d'une baise entre deux poubelles, résistons à cette délicieuse passion et douce folie qui causera routine et enfant sur le long chemin de la monogamie, je n'ose imaginer cette vieille chose m'aspirer après tant d'années avec autant d'entrain que la rossée du matin, qui chaque jour dépose ses gouttes arrondies et cristallines au sommet de l'herbe fraiche du voisin…

La tentation est tentatrice de tremper sa faiblesse dans la boite de pandore ouverte à l'occasion d'une soirée d'ennui glorifié par un sommeil agité par cette fatalité traitresse d'un amour infini, sans limite, fusionnel, inconditionnel, ardent et brulant, il faut souffler sur la baise jour après jour, mois après mois, années après années, ses seins tombent, ses rides s'affirment prennent de l'ambition, sa peau se plisse, son bide « s'affesse », mais je l'aime comme au dernier jour… et quelle beauté…

Valmont se joue, s'ennuie, et se brise d'un sentiment nouveau qu'il ne sera apprivoiser à temps, ce héros est un délice de perversité, un personnage fantasmant de génie, accompagnée d'une Merteuil « suce cul lente » de vice et de noirceur, insatisfaite et mal baisée…

Quelle histoire mes amis, quel plaisir sein, que le cul pour le jeu, sans limite, si ce n'est l'amour unique et sans condition, soyez-fous, gourmand, honteux, amusez-vous, explorez-vous, jouez à en perdre la raison, les jambes chancelantes de plaisir, manipulez à des seins lubriques vos fantasmes les plus fous, il faut savoir se marrer ne pas rougir, ne pas se scandaliser pour une pratique de traverse, soyez curieux de découvertes perverses…

A lire bien évidement…
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