>
Critique de Andarta
« Les Héritiers de Stonehenge » est un roman policier à la forme classique, au style léger et efficace, mêlant un peu de mysticisme pour relever le tout.
Tout démarre avec le suicide de Nathaniel Chase, le père de Gideon. Megane enquête sur ce décès, flanquée de Jimmy. Gideon, de son côté, se fait d'abord attaquer par un mystérieux inconnu, puis découvre la vie secrète de son père, menant à d'autres secrets bien plus sombres. A cela, s'ajoute bientôt l'enlèvement de Caitlyn…
Chaque chapitre se centre sur un personnage (Megane, Gideon, Jimmy, Caitlyn…) faisant avancer un peu l'action de son côté. Chacun d'entre eux vit des situations qui semblent liées plus ou moins à l'enquête principale jusqu'à ce que tout se mette vraiment en place dans le dernier tiers du livre et, qu'à partir de là, les événements s'accélèrent nettement.
Il est à noter que les chapitres sont très courts. de fait, cela amène une écriture condensée sur l'événement important, sans le diluer, et produit donc un rythme plutôt effréné en lecture. Cette lecture en est d'ailleurs facilitée : on peut s'arrêter à tout moment, sans couper un chapitre, sans perdre le fil de l'action… du coup, les quelques 535 pages passent en un clin d'oeil, sans même qu'on s'en rende compte. Les scènes d'actions sont intenses, rapides et efficaces. Par contre, on perd certainement en descriptif, puisqu'avec un tel découpage, l'auteur choisit résolument un narratif et un dialogue actifs.
Pour moi, il s'agit avant tout d'un roman de détente pure, qui ne va pas chercher trop loin et qui utilise intelligemment quelques clichés inhérents au genre, même s'il va parfois flirter avec le mysticisme des lieux (Stonehenge) ou l'horreur.
Tout démarre avec le suicide de Nathaniel Chase, le père de Gideon. Megane enquête sur ce décès, flanquée de Jimmy. Gideon, de son côté, se fait d'abord attaquer par un mystérieux inconnu, puis découvre la vie secrète de son père, menant à d'autres secrets bien plus sombres. A cela, s'ajoute bientôt l'enlèvement de Caitlyn…
Chaque chapitre se centre sur un personnage (Megane, Gideon, Jimmy, Caitlyn…) faisant avancer un peu l'action de son côté. Chacun d'entre eux vit des situations qui semblent liées plus ou moins à l'enquête principale jusqu'à ce que tout se mette vraiment en place dans le dernier tiers du livre et, qu'à partir de là, les événements s'accélèrent nettement.
Il est à noter que les chapitres sont très courts. de fait, cela amène une écriture condensée sur l'événement important, sans le diluer, et produit donc un rythme plutôt effréné en lecture. Cette lecture en est d'ailleurs facilitée : on peut s'arrêter à tout moment, sans couper un chapitre, sans perdre le fil de l'action… du coup, les quelques 535 pages passent en un clin d'oeil, sans même qu'on s'en rende compte. Les scènes d'actions sont intenses, rapides et efficaces. Par contre, on perd certainement en descriptif, puisqu'avec un tel découpage, l'auteur choisit résolument un narratif et un dialogue actifs.
Pour moi, il s'agit avant tout d'un roman de détente pure, qui ne va pas chercher trop loin et qui utilise intelligemment quelques clichés inhérents au genre, même s'il va parfois flirter avec le mysticisme des lieux (Stonehenge) ou l'horreur.
