AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Hercule Poirot - Romans tome 6 sur 33

Robert Nobret (Traducteur)
EAN : 9782702422625
220 pages
Le Masque (05/05/2004)
3.86/5   631 notes
Résumé :
Un lourd tableau qui se décroche à la tête d'un lit. Un rocher qui dévale une falaise et s'écrase sur le sentier.
Les freins d'une voiture qui lâchent dans une descente... Et pour finir, une balle perdue qui vient se loger dans un chapeau !
Pour Hercule Poirot, en villégiature sur la cote sud de l'Angleterre, il n'y a guère de doute : on en veut à la vie de la ravissante Miss Buckley, héritière d'une villa délabrée du voisinage. Même si l'intéressée ou... >Voir plus
Que lire après La Maison du périlVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (94) Voir plus Ajouter une critique
3,86

sur 631 notes
Hercule Poirot décide de prendre quelques vacances après l'affaire du Train Bleu. Accompagnés du capitaine Hastings, ils partent quelques semaines se reposer dans le sud de l'Angleterre. 🏖 Lors d'un moment de détente sur la plage, Hercule et Hastings croisent Miss Nick Buckley, une habitante du coin possédant une maison dénommée la "Maison du péril" en raison de sa situation géographique et de son état de délabrement. Rapidement, Miss Buckley confit à Hercule Poirot avec humour les différentes aventures arrivées depuis peu. Ainsi, un tableau a manqué de la tuer la nuit dans son lit, un rocher à failli l'écraser lorsqu'elle se promenait sur la plage, les freins de sa voiture avaient quelques soucis.... Hercule comprend que quelqu'un désire la mort de la jeune femme et lui offre son aide sans hésiter. La première chose exigée par notre détective concerne la présence auprès de Miss Buckley d'une personne de confiance : sa cousine Maggie fera l'affaire.
Mais voilà... lors d'une soirée avec feu d'artifice, Maggie la cousine de Miss Buckley est assassinée. Hercule Poirot est ébranlé par cet assassinat et décide de tout mettre en oeuvre afin de préserver la vie de Miss Buckley. Lui trouvant une place dans une maison de repos, lui interdisant de recevoir la moindre visite, ou de manger quoi que ce soit venant de ses amis, Hercule pense maîtriser les choses... Seulement l'assassin a plus d'un tour dans son sac....


La Maison du Péril n'est pas mon préféré des aventures d'Hercule Poirot... L'intrigue est certes plus étoffée que dans d'autres enquêtes avec moult suspects et des révélations en pagaille jusqu'à la fin... mais c'est l'ambiance générale de cette histoire à laquelle je n'adhère pas. Cette appréciation est purement personnelle.😚


Dans ce nouvel opus, Hercule Poirot se trouve confronté à un assassin aussi rusé que lui. Les cellules grises de notre héros seront mises à rudes épreuves. Agatha Christie prend un malin plaisir à mettre son personnage en difficulté dans cette enquête, voire à le faire passer pour un être incompétent... ce qui est plutôt déstabilisant face à l'humilité du personnage.
Le seul bémol concerne le cadre de l'intrigue. le livre porte un titre assez sombre et il est dommage de voir la maison ne servir que de décor. Quand je l'avais lu la première fois, je m'attendais à quelque chose de plus mystérieux avec une intrigue comme celle du Mystère de la chambre jaune. Dommage...😦
Ensuite, les personnages sont assez variés ... voire peut-être trop pour qu'on y croie. Entre les domestiques de la maison "étranges" dont l'enfant est presque attardé.... le couple d'Australiens mystérieux... les amis de Miss Buckley.... Sérieusement, cela fait trop de mobiles, de suspects possibles....

Agatha Christie nous propose ici une enquête mouvementée et mettant à rude épreuve les cellules grises de son Hercule Poirot ainsi que celles de ses lecteurs. Si vous avez envie de vous lancez dans un casse-tête chinois... c'est ce livre qu'il faut lire sans hésiter❗️❗️
Commenter  J’apprécie          1052
Agatha Christie, le meilleur anti-dépresseur du monde. Je l'ai maintes fois évoqué mais je ne m'en lasse jamais, plus que l'enquête, c'est l'univers de sagesse shakespearienne, d'apaisement méditatif qui me séduit tant, avec une écriture aussi simple qu'harmonieuse. Embourbé dans l'agrégation, ayant envie d'une lecture de repos pour les fêtes, je promenais mon regard sur ma collection désormais considérable, et m'emparais de la Maison du péril, dont je connaissais bien le twist grâce à l'épisode TV, mais qu'importe, je voulais lire du Poirot avec Hastings, prendre l'air, et puis celui-ci, trouvé in extremis par ma soeur au mythique Gibert Joseph de St Michel à Paris, a une valeur particulière pour moi dans mon étagère.

Je me faisais la réflexion, avant de le lire, que l'astuce me rappelait un peu celle du Couteau sur la nuque, produit juste après. Or, l'écriture y est bien meilleure, et il s'agit d'un des Poirot les plus drôles que j'ai lus, en témoignent les citations que j'ai prélevées où notre petit belge se gargarise de sa grandeur. L'intrigue y est aussi plus étoffée, avec le coup du testament et du visage, un peu comme dans le Crime du golf mais pas non plus à ce point. Bien malin qui saura en dénouer toutes les ficelles avant Hercule Poirot! Tous les ingrédients de ses plus grandes enquêtes sont là : théâtre, tragédie, faux-semblants, manipulation du lecteur... Notre ami moustachu a failli y perdre son latin et a trouvé un adversaire digne de ce nom. L'atmosphère de St Loo, l'innocence de ce brave Hastings tellement sympathique et attachant, l'humour, Nick Buckley et sa fougue, la mise en scène finale, "K", en font un Poirot mémorable. Je ne voulais pas le finir et retourner à mes obligations mais il a bien fallu!
Commenter  J’apprécie          423
Poirot est en vacances, avec son ami le capitaine Hastings. Ils se reposent dans le jardin de l'hôtel quand un bruit les intrigue. Il s'agit d'une balle qui a troué le chapeau d'une jeune et jolie personne, miss Nick Buckley. Cette dernière pensait qu'il s'agissait d'une piqûre d'insecte. Elle avoue alors à Poirot jouer de malchance, ces derniers temps elle aurait échappé à trois tentatives d'assassinat. Bien qu'elle penche plutôt à des accidents cela met la puce à l'oreille du détective qui accepte une visite à la demeure de cette jeune femme que l'on appelle, compte tenu de sa situation, la maison du péril.
Poirot conseille alors à Nick Buckley de ne pas rester seule dans cette environnement hostile, il l'invite à faire appel à une dame de compagnie, une amie, une proche. Nick pense à sa cousine Maggie Buckley.
Avec l'accord du détective, cette dernière vient s'installer à la maison du péril.
Lors d'un feu d'artifice la cousine Maggie est tuée.
Poirot décide qu'en fait c'est Nick qui était visée. Il s'en veut de son incompétence prenant le meurtre à son compte et à son manque de réflexion.

Comme d'habitude c'est du beau, du bon, du meilleur Agatha Christie. Mais cette fois-ci sur une indiscrétion du capitaine Hastings, que je ne dévoilerai pas, j'ai failli trouver qui était l'assassin. Bien sûr j'aurai eu du mal à expliquer les choses et le pourquoi du comment parce que la reine du crime en remet une couche pour éviter une tâche facile à son lecteur. Plus j'en lis, plus je sais, à force, qu'elle reste et demeure une énigme pour ses énigmes.
C'est du très bon même si notre poirot est un peu paumé, cela arrive aux meilleurs et cette fois gloire au faire valoir.
C'est regrettable mais cette cousine était bien sympathique et la clique tournant autour de Nick forcément antipathique.
Que voulez-vous, sinon pas d'intrigue et pas de bouquin et puis, les lecteurs de la dame savent à quoi s'en tenir!
Je conseille cette lecture.
Lien : https://www.babelio.com/livr..
Commenter  J’apprécie          462
Même en vacances, Hercule Poirot ne peut s empêcher de résoudre des enquêtes. Surtout lorsque la victime de tentatives de meurtres est une jolie jeune fille.
Poirot prend sous son aile la délicate Nick, alors que la jeune femme manque de peu être tuée par balle. Or, ce n est pas le premier incident : le tableau au dessus de son lit qui tombe, un rocher qui manque de l écraser, des freins qui ne fonctionnent plus... Qui peut bien en vouloir à la jolie Nick? Poirot et son fidèle Hastings mènent pour notre plus grand régal l enquête. Jusqu' à la mise en scène finale. Coup de théâtre, rebondissements , mobiles, mensonges. Tout y est. Les dialogues entre Poirot et Hastings sont succulents, Poirot un brin prétentieux, un humour british.
Bref, je n avais rien vu venir. Jusqu' au bout, je me suis laissée balader.
Commenter  J’apprécie          441
C'est toujours un plaisir de lire (ou relire) Agatha Christie !
L'ingéniosité et les bonnes manières de Poirot, couplée à la douce naïveté et à la discrétion toute britannique du capitaine Hastings : la recette idéale pour passer un bon moment de lecture.


Poirot a pris sa retraite et jouit d'un repos bien mérité sur la côte des Cornouailles. L'ex-détective et Hastings font alors la connaissance de la jeune Nick Buckley qui leur explique, sur le ton de la conversation, qu'elle a échappé à la mort trois fois en trois jours.
Il n'en faut pas plus pour titiller la curiosité (et les cellules grises) de Poirot, qui remarque d'ailleurs un détail étrange à propos du chapeau de feutre de Miss Buckley...

Cette aventure d'Hercule Poirot a tout pour plaire. L'intrigue se passe en Cornouailles. Hastings s'y montre sous son meilleur jour - la plus belle preuve étant ce dialogue échangé entre le fidèle capitaine et Poirot :
" - Poirot ! m'écriai-je, j'ai réfléchi.
- Félicitations, mon cher ; c'est un excellent exercice et je ne saurais trop vous encourager à continuer. "
J'aime ce genre d'interactions entre les deux hommes, où Poirot se moque gentiment de son ami.
La Maison du Péril, la demeure de famille des Buckley est, elle aussi, un élément très plaisant du récit. Délabrée et légèrement inquiétante, elle prend une grande place dans l'histoire.
Les différents personnages sont tous intéressants et intrigants : certains cachent des secrets et sont presque aussi mystérieux que la demeure de Nick Buckley. Ils sont très humains, avec leurs défauts et qualités, leurs passions... et leurs mensonges.
L'intrigue est pleine de fausses pistes. Agatha Christie n'hésite pas à multiplier les indices et l'on se retrouve à soupçonner presque tout le monde, sauf le véritable coupable ! Il est en effet évident, presque depuis le début de l'histoire, que quelqu'un ment, mais il est très compliqué de deviner qui.

Cette Maison du Péril a donc tout pour plaire !


Challenge Solidaire - Des classiques contre l'illettrisme : 1/30

Commenter  J’apprécie          250

Citations et extraits (35) Voir plus Ajouter une citation
— M. Poirot est… euh… était un… grand détective, débutai-je.
— Ah ! mon cher ami ! s’écria Poirot, est-ce là tout ce que vous trouvez à dire ? Allons, dites à Mademoiselle que je suis un détective unique, inégalé et inégalable.
— Eh bien ! à présent, c’est chose faite, déclarai-je froidement, vous l’avez renseignée vous-même !
— Oui, mais il est toujours plus agréable de ménager sa propre modestie et de laisser aux autres le soin de chanter vos louanges.
— À quoi bon posséder un chien s’il faut aboyer à sa place ? jeta Nick en plaisantant. À propos, qui est le chien ? Le docteur Watson, sans doute ?
— Mon nom est Hastings, rectifiai-je, légèrement vexé.
Commenter  J’apprécie          680
Je ne crois pas qu’il existe, sur la côte méridionale de l’Angleterre, de ville balnéaire aussi attrayante que Saint-Loo, baptisée, à juste titre, « la Reine des Plages », tant elle évoque la Riviera française. À mon avis, la corniche de Saint-Loo peut bel et bien rivaliser avec celle du Midi de la France.
Je faisais part de ces réflexions à mon ami, le détective Hercule Poirot.
— Vous ne m’apprenez rien, mon cher, me dit-il. J’en ai déjà lu tout autant, hier, sur la publicité du wagon-restaurant.
— D’accord ! Mais cette vogue ne vous paraît-elle pas amplement justifiée ?
Dissimulant mal un sourire, il ne me répondit pas immédiatement et je dus répéter ma question.
— Je vous demande mille pardons, Hastings. À la vérité, je rêvassais de ce délicieux paradis auquel vous venez de faire allusion.
— Le midi de la France ?
— Oui, je songeais aux événements qui s’y produisirent au cours du dernier hiver que j’y ai passé.
Je me souvins, en effet, du crime survenu dans le Train Bleu et dont le mystère, aussi compliqué que déconcertant, avait été élucidé par Poirot, grâce à son habituel et infaillible jugement.
— Que j’aurais aimé être près de vous ! m’exclamai-je.
— Votre expérience m’eût été précieuse, me répondit Poirot.
Je le regardai avec méfiance. Depuis longtemps, je suis fixé sur la sincérité des compliments de Poirot. Cependant, cette fois, mon ami me parut sérieux. Après tout, pourquoi pas ? Je connais à fond les méthodes employées par lui avec succès.
— C’est votre vive imagination qui me fit le plus défaut, Hastings, poursuivit-il comme se parlant à lui-même. J’ai parfois besoin de petits conseils. George, mon valet de chambre, est un homme sensé avec qui je discute de certains points, mais il manque de fantaisie.
— Franchement, Poirot, n’êtes-vous pas tenté de reprendre du service ? Cette vie inactive…
— … me convient à merveille. Quoi de plus agréable que de se prélasser au soleil ? Connaissez-vous un geste plus noble que de descendre du piédestal après avoir atteint les sommets de la célébrité ? J’entends murmurer autour de moi : « Voilà Hercule Poirot… Le grand, l’unique !… Personne ne l’a égalé et ne l’égalera jamais… » Ces réflexions me sonnent agréablement à l’oreille : je n’en demande pas davantage. Il est vrai que je suis si modeste, savez-vous ?
Il parlait de sa modestie !… J’en conclus qu’en dépit des années, la vanité de mon ami belge était demeurée intacte. Renversé dans son fauteuil, il caressait ses moustaches et ronronnait presque de satisfaction.
Nous étions installés sur une des terrasses du Majestic, l’hôtel le plus important de Saint-Loo, juché au faîte d’une falaise qui surplombe la mer. Les jardins de l’hôtel plantés de palmiers s’étageaient à nos pieds. L’océan était du bleu le plus profond, sous un ciel clair, illuminé d’un vrai soleil estival, chose rare en Angleterre. Tout concourait à l’idéale beauté de l’endroit.
Arrivés la veille au soir, nous savourions cette première matinée de notre séjour. Nous avions projeté de demeurer une semaine à Saint-Loo et nous souhaitions ardemment de jouir jusqu’au bout d’un temps aussi délicieux.
Ramassant le journal qui m’avait glissé des mains, je repris ma lecture. Bien que peu brillante, la situation politique était dépourvue d’intérêt. En Chine, une escroquerie d’importance venait d’être découverte à Pékin, mais, dans l’ensemble, les nouvelles n’offraient rien de particulièrement émouvant.
— Cette épidémie de psittacose ne vous semble-t-elle pas curieuse ? observai-je en tournant la feuille de mon journal.
— Oui, c’est bizarre.
— On signale deux nouveaux décès à Leeds.
— Je le déplore.
— On reste toujours sans nouvelles de l’aviateur Seton qui effectue le tour du monde, continuai-je. Ces...
Commenter  J’apprécie          30
- La providence, murmurai-je.
- Ah, mon bon ami ! Ne rendez pas le bon Dieu responsable des mauvaises actions des hommes. Vous le louez comme si vous étiez à l'office du dimanche, sans comprendre que c'est le même bon Dieu qui a tué Maggie Buckley !
- Poirot, voyons !
- Mais oui, mon bon ami ! Eh bien moi, je refuse de rester assis en disant : ce brave bon Dieu s'occupe de tout, laissons-Le faire. Et je suis convaincu qu'il a crée Hercule Poirot pour qu'il se mêle de ces affaires ! C'est mon métier, voyez-vous.
Commenter  J’apprécie          131
Moi, Hercule Poirot, je me suis laissé aller aux suppositions les plus extravagantes, abaissé aux élucubrations les plus ignominieuses. J'ai raisonné comme dans les romans à quatre sous. Le "Vieux Nick" par exemple, ce grand-père qui aurait perdu toute sa fortune au jeu, eh bien je me suis demandé si c'était vrai ! Ne l'aurait-il pas au contraire cachée? Enterrée dans un coin de la propriété? C'est dans cet esprit, j'ai honte de vous l'avouer, que j'ai demandé à Miss Nick si on lui avait fait des propositions pour acheter la maison.
- Mais, Poirot ! C'est peut-être une excellente idée.
- Ça ne m'étonne pas que cela séduise votre esprit romanesque et un tantinet vulgaire ! grogna Poirot. Un trésor enfoui ! J'étais sûr que cela vous plairait !
Commenter  J’apprécie          60
J'avais oublié, vous êtes si jeune qu'il est normal que vous n'ayez jamais entendu parler de moi. La célébrité n'a qu'un temps. Mon ami va vous dire qui je suis.
Nick se tourna vers moi et, un peu gêné, je m'éclaircis la voix.
- M.Poirot est... euh... était un grand détective.
- C'est tout ce que vous trouvez à dire, mon bon ami ! s'exclama Poirot. Mais voyons donc ! Expliquez à Mademoiselle que je suis l'unique, le meilleur, le plus grand détective qui ait jamais existé !
Commenter  J’apprécie          90

Videos de Agatha Christie (75) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Agatha Christie
Vous connaissez sas doute la Reine du crime Agatha Christie. Peut-être avez-vous même lu certains de ses romans ? Mais que savez-vous de sa vie ? Nous avons réuni ici 6 anecdotes pour vous présenter la face cachée de la vie d'une autrice prolifique, et vous donner envie de la (re)lire.
Retrouvez sa bibliographie sur Babelio : https://www.babelio.com/auteur/Agatha-Christie/3638
Abonnez-vous à la chaîne Babelio : http://bit.ly/2S2aZcm Toutes les vidéos sur http://bit.ly/2CVP0zs
Retrouvez nos rencontres passées et à venir, et inscrivez-vous juste ici : https://www.babelio.com/article/1939/Retrouvez-toutes-nos-rencontres-dauteurs-et-inscr Suivez-nous pour trouver les meilleurs livres à lire : Babelio, le site : https://www.babelio.com/ Babelio sur Twitter : https://twitter.com/babelio Babelio sur Facebook : https://www.facebook.com/babelio/ Babelio sur Instagram : https://www.instagram.com/babelio_/
+ Lire la suite
autres livres classés : romans policiers et polarsVoir plus
Les plus populaires : Polar et thriller Voir plus


Lecteurs (1948) Voir plus



Quiz Voir plus

Agatha Christie

Quel surnom donne-t-on à Agatha Christie ?

La Dame du Crime
La Reine du Meurtre
La Dame de l'Intrigue
La Reine du Crime

10 questions
1544 lecteurs ont répondu
Thème : Agatha ChristieCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..