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EAN : 9782070119950
208 pages
Verticales (07/02/2008)
3.43/5   27 notes
Résumé :
C'est l'histoire d'un fou d'amour qui défait le monde comme d'autres le font : furieusement. A l'insu de Flaubert, certes, mais du fond de son gueuloir. Encore sous le choc de sa rupture avec une certaine Estée, le narrateur s'abandonne corps et âme à la lecture. Il jette son dévolu sur Madame Bovary, un roman qui lui est familier. Une nouvelle fois, le voilà dedans. Il s'y enferme, s'y promène, s'y démène, avant d'en bouleverser le déroulement naturel. Démiurge dép... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (11) Voir plus Ajouter une critique
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Le narrateur, en pleine rupture amoureuse, se réfugie dans la lecture. Se réfugie dans la lecture de Madame Bovary. Au sens propre : il se réfugie dans le texte, dans l'encre et le papier.
Mais je ne saurai dire le résultat de ces/ses perturbations : je n'ai pas pu terminer le roman. Je n'ai pas réussi à y entrer, à me couler dans l'écriture. Parce que je ne connais pas assez le texte d'origine, à cause du tourbillon des mots, des époques ? C'est une sorte de délire littéraire, une sorte de journal de lecture hallucinée. le lecteur est sans cesse bousculé, pris à parti, presque. La lecture de CosmoZ, réappropriation du Magicien d'Oz où les personnages de Baum étaient expulsés de leur roman par la tempête du début m'avait vraiment conquise, scotchée. Dans ce roman-ci, rien de tel, malheureusement. Une écriture trop artificielle, qui donne l'impression d'avoir été forcée.
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Je ne connaissais pas le style de Claro, seulement sa réputation. J'aurais dû me douter que le lire en vue d'un travail de français n'était pas adapté mais j'ai voulu tenter l'aventure. Et Madman Bovary en est une.
Le narrateur ne supporte pas sa rupture avec Estée et décide de se plonger dans Madame Bovary, roman qu'il a déjà lu plusieurs fois, afin d'échapper à sa douleur. Partant, il va s'identifier aux personnages, mais aussi s'inventer des identités bouffonnes (puce, pied bot) pour s'approcher de chacun d'entre eux et les juger, les comprendre, leur inventer des pensées et passés variés. Les rencontres et les bals d'Emma sont actualisés, transformant la rêveuse agaçante en véritable aguicheuse de boite de nuit, rapprochant dangereusement Emma d'Estée. Même Félicité, la servante du couple Bovary, se confond avec le personnage d'Un coeur simple, pour finir par le dissoudre dans la vie du narrateur, glissant de « Félicité » à « Féliestée ». Car quoi que fasse le narrateur pour se perdre dans sa lecture, cette dernière ne fait que le ramener à sa propre existence.
Ce roman est écrit avec une énergie et un humour vraiment réjouissants, les chapitres courts (une phrase : une réaction immédiate, un arrêt dans la lecture) alternant avec les chapitres longs (une description, la jeunesse d'Homais recomposée). Ce rythme et cette variété ne manquent pas d'emballer le roman qui brosse tout le récit de Flaubert au pas de course. La construction des parties et des chapitres laissent volontairement perplexe, et l'on aurait tort d'essayer d'y comprendre quelque chose. Mais l'ensemble n'est pas une fantaisie brouillonne ; au contraire, tout est maîtrisé et s'amuse de nos attentes, de nos habitudes de lecture, volontairement brisées ou interrogées. le langage, les images sont vifs et recherchés, c'est un régal et du pur délire. L'ensemble, malgré la complexité, est une bulle de fraîcheur qui surprend et amène généralement un sourire aux lèvres.
Enfin, Madman Bovary, surnom que se donne le narrateur, rend parfaitement compte du bovarysme à l'oeuvre. En effet, le narrateur joue avec le récit initial, rêve de secouer les personnages, fouille dans les recoins de leur esprit et de leurs jupons, extrapole, regrette, associe à son quotidien, confond, intertextualise. C'est donc un roman dont le personnage fait oeuvre de lecture.
Lecture vivement conseillée mais à ne pas prendre à la légère : à éviter sur la plage ou en lecture du soir pépère. Claro se savoure en prenant son temps et en faisant appel à toute sa concentration.
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Un homme et sa passion déchirée, l'évasion dans la lecture, entrer dans « Madame Bovary, y entrer vraiment, la contaminer, être un membre, un chapeau, un virus, un ersatz d'Homais, re-écrire, rencontrer les personnages, et y mettre sa douleur, l'Estée en-allée, les bruits et chocs de la société actuelle.
Mélanger les temporalités, mais finalement respecter peu ou prou l'avancée du roman qui résiste à ce traitement, les scènes prises comme base aux échapées-apropriations de Madman Claro se succédant en gros dans l'ordre originel, avec le retour obsessionnel au début, l'arrivée de Charles Bovary dans la classe. Résiste le roman, malgré ce qui est fait de Charles, qui prend un relief inattendu et un peu inquiétant, qu'on découvre en punk, drogué etc... à Emma-Estée qui est traitée avec un brutal mépris, et une entêtée tendresse ou attirance.
Et dans ces transformations incessantes chercher l'oubli d'Estée, et surtout se chercher soi et son équilibre perdu, quitte à se voir en SDF tabassé, ou voir avec empathie grande le dit SDF.
Et puis il y a l'auteur, qui dit je mais ne l'ai pas, qui est le regard sur le je et sur le livre, et sur la transformation du livre, qui, par incises, parle de l'écriture de Madame Bovary, sa nouveauté, son faux-naturalisme et sa folie, la franchise brutale de Flaubert, sa sensualité, et donne une esquisse de théorie sur l'écriture contemporaine. Et la voix de l'auteur, de Claro donc, son style, sa façon de faire s'entrechoquer les mots, de jouer de toutes les techniques qui servent son texte, ce délire, pastiche, cut-up, paragraphes lyriques, etc... sans que jamais la tension retombe, avec une construction ferme et invisible, qui nous malmène, nous emporte comme il manipule son matériau. À l'arrivée, entre autres, un beau livre sur la passion.
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S'incarner dans un roman plutôt que dans un personnage : pari inouï et réussi !

Deux ans avant le monumental « CosmoZ », notre traducteur préféré (à part Mélanie Fazi qui est hors concours...) livrait en 2008 son treizième ouvrage, habile et déjanté comme il se doit. Très fin connaisseur et admirateur du romancier au gueuloir, Claro s'incarne, le temps d'un dur et rageur chagrin amoureux, non pas dans le personnage d'Emma Bovary, mais dans le roman de Flaubert lui-même... : « Tomber dans « Madame Bovary », c'est s'abandonner au vertige des mots, aux vices des personnages ; c'est aussi retrouver à chaque page Emma, prototype de la garce dont Estée n'est peut-être qu'un avatar. Tour à tour puce, domino, cravache ou pied-bot, dans le corps d'Homais ou d'Hippolyte, le narrateur traverse le miroir déformant de la lecture. le voilà perdu dans le texte, fantôme hurleur, démiurge délirant. », nous dit avec justesse la quatrième de couverture.

« Oui, le corps d'Emma est une discothèque de province, c'est le Louxor, le Tremplin, le Wake Up ou le Pim's, bref, un de ces night-clubs où il fait bon s'ébattre et suer sans pour autant recommencer les guerres du Péloponnèse. Une lune d'argent pirouette au plafond et fait rissoler ses lucioles blêmes sur les peaux qui s'imbibent selon des rites savants. »

« (Quand j 'étais petit, l'expression « sauter les descriptions » m'insupportait déjà, me croyait-on voué à un parcours hippique, attentions aux haies, plus haut, plus haut, ici une barre, blanche et rouge comme un dégueulis dentifrice figé horizontalement à un mètre vingt du sol, allez, élan, élan, on saute ! Alors que justement les descriptions, qu'elles fussent de corridors ne menant qu'à la désorientation de soi ou d'étangs grouillant d'une faune abjecte, permettaient cette dissolution qu'interdisait la bruyante partie de flipper des dialogues. (...)) »

Moins gigantesque que « CosmoZ », moins radical que « Bunker anatomie » ou « Chair électrique », ce roman constitue sans doute la meilleure introduction possible, toute en plaisir et en jubilation, à l'oeuvre exigeante de Claro – et pas uniquement pour les passionnés de Flaubert !
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Tu t'appelles Claro, tu es un auteur (et traducteur oké) complètement barré et faire une critique d'un de tes bouquins revient à peu près à nager dans l'espace avec des requins dinosaures, sous LSD, et du Hank Williams en bande sonore.

Alors comme c'est superilleux, j'ai carrément décidé de pomper un de tes textes et de l'accommoder façon Loubard. Maintenant tais toi, je justifiais l'action c'est tout, JE REPRENDS DONC.

Tu t'appelles Claro, tu as écrit Madman Bovary et putain mon cerveau est en demande de mots comptent triple au Scrabble, de phrases alambiquées et de métaphores qui se contentent à peu près de t'arracher toute ta surface capillaire. Tu t'appelles Claro et non je ne te considère pas comme un génie puisque tu vaux beaucoup plus que ça et je me demande même si ce serait possible de t'avoir comme mentor pour des cours d'écriture.

Tu profites d'une rupture amoureuse entre ton narrateur et Estée pour t'introduire dans le roman de Gustave Flaubert, Madame Bovary, au milieu de cette bourgeoisie du 19ème siècle et voilà que sans prévenir tu nous martèle les yeux, les sens de tes maux, de ta bile, de ton encre. Tu lâches tout, sueur, sang, encre, neurones et sperme.

Le quatrième de couverture encore solidaire et cohérent quelques instants seulement avec le début du roman, part complètement en vrille, te prends de haut, te montre du doigt, toi pauvre petit lecteur qui comprend à peine ce qui se déroule sous tes yeux. C'est un cauchemar-rêve à vivre en live, un peu pédant certes. Mais on est d'accord, on ne lit absolument pas l'histoire de quelqu'un qui chouine d'avoir perdu sa grosse non, l'action se déroule VRAIMENT dans le roman de Flaubert.

T'as cru que la rupture c'était l'enfer ? bah y'a pire. Se lancer dans la lecture/relecture de Madame Bovary juste après avoir perdu ta moitié mon gars. C'est un peu comme si Gaspard Noé prenait le contrôle de tes émotions et disait "EH PETIT FAIS MOI CONFIANCE JE TOUCHE JUSTE A DEUX TROIS TRUCS".

Bah voilà, si t'es déjà niqué du capiton niveau sentimental tu vas bien te fendre la poire ma belle Hélène, pour les autres, ça sera surtout du grand n'importe quoi pour bobo-cocaïnés qui aiment se la secouer niveau lis- tes-ratures. Ta lecture peut commencer. Tu t'appelles Madman Bovary et ton créateur s'appelle Claro, si l'on peut appeler créateur quelqu'un qui fait tomber les ombres.

Pour moi c'est un grand oui, je m'incline. Mec t'es un héros, tu passes quand tu veux à la librairie ch'te paye un kawa et tu m'apprends à écrire, kodak ?

Love love,
Lien : https://www.instagram.com/lo..
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Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
C’est décidé, je serai pharmacien. C’est un métier plein de bocaux et d’entrain. Je vais faire commerce de panacées, de placebos, et ne plus jamais pleurer. Bientôt, en ces murs mêmes, sur ces étagères et dans ces tiroirs qui n’auront pas le toupet de grincer, dans la réserve et sous le comptoir, j’aurai, à ma disposition d’abord puis à celle de ma clientèle : drogues douces, baumes, vulnéraires, stimulants, vaccins (anti-tout), curatifs, toniques (sur ordonnance uniquement), révulsifs (j’adore !), vermifuges, fébrifuges, antidotes, suppositoires, antigoutteux. Mais encore, puisqu’il faut bien que les armées soient nombreuses si l’on veut que les pertes le soient moins : coton, cataplasmes, huile, cérat, lancettes, lotions, dragées, canules, ouate, ventouses, gaze, liniment, collyres, mixtures, spatules, attelles, mortier, bandelettes, vésicatoires, infusions, cachets, essences, cataplasmes, charpie, cautères, plastrons, pinces, bistouris, sétons, sondes, clysopompes, vaporisateurs, digesteurs, urinaux, teintures, anti-cors, morphine, phénol, digitaline, codéine, chloral, guimauve, magnésie, gants de crin, peaux de chat, solutés, robs, opiats, juleps, bismuth, aloès, dentifrice, sulfate de quinine et si ça ne suffit pas je réciterai à l’envers toute l’encyclopédie médicale, mettrai en vers le serment d’Hippocrate, ferai des animations à thème, mais bon sang je compte bien remédier à tous leurs maux merdiques et les renvoyer chez eux les bras chargés d’espoir moderne. (Je sens que je me fossoie.)
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Le fait est que depuis quelques pages - faute de m'échapper enfin de ces flammes bovaryennes qui peinent à me réchauffer - je me découvre un talent nouveau, ou ancien, peu importe, car c'est un chouette talent : celui d'entrer dans le corps d'Emma et d'en sortir, à ma guise, afin d'y pondre des pensées que mon sperme spectral viendra féconder, ou d'y faire des vagues, en surfeur aveugle mais adroit, musclé, chic, c'est facile, le corps d'Emma n'est pas aussi étriqué qu'il y paraît, même s'il est vide et vain.
Il a en outre l'avantage de ne comporter ni proviseur ni pupitre ni casquette ni ridiculus sum.
Certes, j'y croise des vestiges de ses navrantes lectures, des crottes de Paul, des ongles de Virginie, des charbons laissées par une maisonnette en bambou, ainsi que le cri muet du nègre Domingo ou la queue pleine d'allégresse du chien fidèle mais surtout l'amitié douce de quelque bon petit frère qui va chercher pour vous des fruits rouges dans des grands arbres plus hauts que les clochers ou qui court pieds nus sur le sable - mais ce n'est rien, vraiment, en comparaison de la bande-son qui y braille.
Oui, le corps d'Emma est une discothèque de province, c'est le Louxor, le Tremplin, le Wake Up ou le Pim's, bref, un de ces night-clubs où il fait bon s'ébattre et suer sans pour autant recommencer les guerres du Péloponnèse. p.45
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Je ne me lasse pas de le voir s'avancer en piteux pantin dans la salle de classe, on dirait l'idiotie conviée par la cruauté, situation qui me parle.
Il avait les cheveux coupés droit sur le front, comme un chantre de village, l'air raisonnable et fort embarrassé. Quoiqu'il ne fût pas large des épaules, son habit-veste de drap vert à boutons noirs devait le gêner aux entournures et laissait voir, par la fente des parements, des poignets rouges habitués à être nus. Ses jambes, en bas bleus, sortaient d'un pantalon jaunâtre très tiré par les bretelles, bretelles que j'ai envie de saisir à deux mains et de secouer, secouer le nouveau et tout ce qu'il a en lui d'avenir, faire trembler sa masse encore sage pour la contraindre à se déployer, et à coups d'ongles et de dents, mais sans griffer ni mordre (le sang ici-là est interdit), réveiller en lui l'imminent médecin de campagne, lui dire, en somme, et oralement, mais sans parler ni crier (la parole ici-là est caduque) : Allons, tu sais bien, charbovari de mes deux, que tu vas l'aimer, aimer Emma, qu'Emma va te tromper, t'en faire baver, te tourmenter, déjà elle allonge le cou comme quelqu'un qui a soif, elle colle ses lèvres sur le crucifix, elle en suce la moelle, ta moelle, ton jus insipide de faux jésus, et tu la vois alors déposer le plus grand baiser d'amour que jamais tu n'oseras graver sur la gueule d'une page. Alors sors de tes gonds, Charles, moi je ne peux pas, sors de ta chair et brise le sage cristal de l'étude, et surtout, surtout, par pitié, bouffe ta casquette. Moi je ne peux pas. Pas encore. (partie 1, chap. 11)
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Quand j'étais petit, l'expression « sauter les descriptions » m'insupportait déjà, me croyait-on voué à un parcours hippique, attention aux haies, plus haut, plus haut, ici une barre, blanche et rouge comme un dégueulis dentifrice figé horizontalement à un mètre vingt de sol, allez, élan, «élan, on saute ! Alors que justement les descriptions, qu'elles fussent de corridors ne menant qu'à la désorientation de soi ou d'étangs grouillant d'une faune abjecte, permettaient cette dissolution qu'interdisait la bruyante partie de flipper des dialogues.
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.. mes copains partenaires malgré vous de la plis grande entreprise du siècle, celle-la même qui nous verra conquérir les faubourgs de Venus et rouler dans la farine de la Banque mondiale les plus petits prétendants à la libre circulation de l'emprunt, zélés sociétaires et prétendus zigs, drilles, concubins, oui, vous, frères humains qui êtes venus si nombreux et ma foi plutôt résolus ici pour écouter le sermon funèbre qu'un coq comme Homais mérite, je ne vais pas vous rappeler, même de façon prétéritive, ce que fut pour moi et possiblement pour vous cette roulure aujourd'hui cadenassée dans du polystyrène que nous sommes venus, sinon adorer, du moins déflorer de nos pensées-putes.
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Pourquoi l'échec serait-il forcément négatif. N'y aurait-il pas un peu de plaisir coupable à échouer ? Avec ce nouvel essai, L'échec paru aux éditions Autrement, Claro pose la question de Comment échouer mieux. "Seul l'exercice de l'échec permet d'élargir le champ des possibles. Si, comme le disait Beckett, il importe d'échouer mieux, c'est sans doute parce que créer ne veut pas dire réussir, mais plutôt soutirer à l'obscurité un aveu de lumière. Au risque, consenti, d'aboutir à une impasse – c'est là non une malédiction, mais une chance". Pour ce faire, Claro aborde entre autres Kafka, Pessoa, Cocteau et Hitchcock, des grands noms qui ont un point en commun, celui d'avoir échoué. Avec beaucoup d'humour et une grande sensibilité, l'auteur nous invite à réfléchir et à repenser nos limites ainsi que nos faiblesses et les regarder avec un nouveau prisme pour que ces derniers nous aident à avancer.
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