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Nephilim Intégrale tome 1 sur 2
EAN : 9782354081379
376 pages
Mnémos (01/06/2012)
3.87/5   41 notes
Résumé :
Ils sont sept Nephilim à arpenter la Terre depuis l'aube de l'humanité, formant la fraternité de l'Hepta. Immortels, ils sont liés aux cinq éléments : l'eau, l'air, la terre, le feu et la lune. Déchus, ils recherchent leur savoir perdu et poursuivent une quête mythique, l'Agartha. Traqués, ils fuient ceux qui veulent les détruire, les Rose+Croix. Dans ce premier tome réunissant le Syndrome Eurydice et Anonymes, Fabien Clavel narre le destin d'une poignée de ces Immo... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (19) Voir plus Ajouter une critique
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C'est à l'occasion de la sortie de la première intégrale de la saga des « Nephilim » de Fabien Clavel (dont les textes ont été revus et corrigés par l'auteur) que j'ai décidé de me laisser tenter. Mnémos nous offre ici un très bel ouvrage constitué des deux premières parties de la série (« Le syndrome Eurydice » et « Anonymus ») qui démontrent une fois encore tout le talent de F. Clavel. Celui-ci nous entraîne cette fois à la découverte des Nephilim, sept Immortels déchus en quête depuis des millénaires de leur savoir perdu et réduits à devoir s'incarner dans le corps de simples mortels. Les deux textes nous proposent ainsi une petite excursion au coeur de nos sociétés contemporaines, des sous-sols du métro parisien à la ville de Budapest. L'auteur ne renonce pas pour autant à sa formation classique et a par conséquent ponctué son récit d'un grand nombre de références littéraires et historiques (du mythe d'Orphée et Eurydice à Barbe-bleue en passant par les textes bibliques, les rites funéraires antiques...).

Avec « Le syndrome Eurydice » nous suivons la vie de la jeune Jennifer, étudiante à la Sorbonne sombrant peu à peu dans une folie qui va lui révéler sa véritable nature. le début a de quoi laisser le lecteur perplexe, l'auteur nous plongeant sans explication aucune dans son univers où le cadre nous est certes familier mais où tout ce qui est lié à ces Nephilim et aux autres créatures surnaturels qui les entourent ne nous dit pas grand chose. On se laisse toutefois vite embarquer, tant par l'intrigue qui se fait de plus en plus palpitante que par le style remarquable de l'auteur. Changement de protagoniste avec « Anonymus », récit dans lequel on suit l'enquête menée par Azarian et Ezechiel qui vont se retrouver confronter à de vieux ennemis. Là encore F. Clavel nous plonge efficacement dans cette ville de Budapest frappée par l'horreur. L'humour n'est heureusement pas totalement absent, les répliques mordantes et cyniques d'Azarian faisant toujours mouche.

Un concept original, des décors familiers mais présentés sous un jour nouveau, des personnages attachants, une écriture fluide et agréable... en bref « Nephilim » regroupe tout ce qu'il faut pour faire de bons romans. C'est donc avec plaisir que je me plongerai dans la suite des aventures de ces sympathiques Immortels.
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C'est sur les conseils avisés de Koko que je me suis procurée cette intégrale aux Imaginales 2014. Avant cela, je n'avais lu qu'un seul roman de l'auteur et je m'étais déjà régalée, mais je n'avais encore rien vu! Celui-ci est juste phénoménal du début à la fin. Moi qui me plains souvent de la lenteur et du manque d'action de certains romans, j'ai été servie ici car l'auteur ne nous laisse pas une minute de répit! Les rebondissements s'enchaînent, sont surprenants et nous passionnent au point que les pages tournent presque d'elles-mêmes.

Outre le style que j'ai trouvé fluide, envoûtant et très imagé, les personnages sont passionnants à découvrir et à apprivoiser. Il faut dire qu'à la base ils sont loin d'être attachants, car les Nephilim et leur égocentrisme sont somme toute assez antipathiques. Pourtant, c'est ce qui m'a plu chez eux: leur froideur et leur rabaissement constant de l'être humain m'ont beaucoup fait rire et nous mettent face à des scènes cocasses qui amènent un côté décalé et un peu humoristique au récit.

Quant à l'histoire en elle-même, elle est passionnante. L'enquête est glauque et nous amène sur des chemins étranges et des scènes flippantes. J'ai adoré le découpage en chapitres courts et le passage d'un personnage à l'autre, ce qui permet de découvrir les pensées des uns et des autres et surtout de suivre plusieurs récits en même temps, ce qui ne fait qu'accélérer davantage le rythme. C'est aussi assez frustrant car finalement certains personnages passent clairement au second plan et nous les perdons même de vue durant une énorme partie du récit... Toutefois je pense que cela n'est que pour nous préparer davantage à la suite de l'histoire, une suite que j'ai déjà hâte de découvrir!

En bref, je me suis régalée avec ce tome et j'en redemande! du coup, je vais enchaîner directement avec le tome 2 afin de découvrir la fin de cette histoire passionnante, sombre et inquiétante.
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J'avais lu une autre intégrale Néphilim des éditions Mnémos récemment (Le Chant de la Terre) et celle-ci s'en rapproche énormément. Pas au niveau de l'intrigue, qui est complètement différente, mais au niveau de l'univers Néphilim, qui est pratiquement semblable (les ka-éléments, l'incarnation dans un humain, l'orichalque, les stases…). Ce n'est pas du tout une critique, au contraire, ça m'a permis d'atterir dans une mythologie que je connaissais déjà et ça m'a évité d'être perdue. Car, comme dans le livre d'Isabelle et David Collet, le monde Néphilim est peu explicité et semble destiné aux connaisseurs et autres rôlistes, ce qui n'est pas mon cas.

Dans cette réédition de l'oeuvre de Fabien Clavel sous forme d'intégrale, on retrouve les deux premiers livres (sur quatre) réunis en un seul tome. Chacun des 4 livres de cette saga propose une intrigue qui est bien distincte des autres et qui permet de présenter un ou deux Néphilim à chaque fois (il y en a 7 en tout). Je suppose que les intrigues vont se rejoindre dans le dernier tome pour qu'il y ait une certaine continuité, mais pour l'instant, dans ce premier volume de l'intégrale, les deux parties/histoires sont totalement distinctes.

Dans le Syndrôme Eurydice, la première partie, on fait la connaissance de Jennifer, une jeune étudiante à la Sorbonne, à Paris. Elle est suivie par un psychiatre depuis plusieurs années pour troubles schizophréniques. Sa deuxième personnalité (Nej, l'inverse de Jen, son surnom) va prendre le dessus et lui permettre de réaliser qu'elle possède des pouvoirs qu'elle ne comprend pas. En parallèle, on suit Wag, un Néphilim vagabond qui va rencontrer Nej et lui permettre de mieux appréhender ses nouvelles capacités. J'ai préféré cette première partie à la seconde, principalement en raison des personnages, que j'ai trouvé plus attachants que dans le deuxième livre. Il y a aussi le fait que l'intrigue se passe à Paris, dans certains endroits que je connais plus ou moins (j'ai beau habiter Paris depuis février, je ne suis pas Parisienne à la base…), et j'ai toujours aimé les histoires qui se déroulent dans des lieux que je connais.

La seconde partie, Anonymus, est radicalement différente. Elle se passe à Budapest, où on suit Ezechiel, Néphilim incarnée dans le corps d'une flic, qui se retrouve à travailler sur une enquête de meurtres en série, enquête parsemée de symboles ésotériques qui la poussent à soupçonner que ça soit l'oeuvre d'un autre Néphilim. Il se trouve justement qu'Azarian, le 4ème des 7 Néphilims de l'Hepta, est incarné dans le corps d'un chanteur de rock, qui est présentement en tournée à Budapest… Ce tome est plus sombre, plus tortueux. Je ne suis jamais allée Budapest, donc j'avais du mal à me repérer dans l'espace dans cette histoire. On retrouve l'antagonisme entre les Néphilim (Ezechiel) et les Sélénim (en gros, des Néphilims passés du côté obscur), avec Azabian, ancien Néphilim devenu Sélénim lors d'une agression au XVIIème siècle. Les personnages apparaissent plus sexués que dans le syndrôme Eurydice, et leurs personnalités sont plus dessinées: Ezechiel refroidirait un glaçon, elle méprise complètement les humains, tandis qu'Azarian incarne le charmeur bad-boy et sûr de lui.

Des chapitres « interludes » permettent de faire le lien entre les deux parties de l'histoire en présentant le groupe qui poursuit les Néphilim: les Rose+Croix. Pour eux, les Néphilim ne sont qu'une aberration à exterminer. Ils sont plus présents dans la première partie, mais ont tout de même un rôle important à la fin d'Anonymus.

L'avantage de ce découpage (un tome = une histoire), c'est qu'on a bien le temps de s'imprégner de chaque personnage, de s'attacher à eux, d'apprendre à les connaître, contrairement aux livres où toutes les intrigues sont mélangées et où on s'y perd parfois un peu. L'inconvénient, c'est qu'on ne connait pas le fin mot de l'histoire pour eux, et qu'il n'arrivera probabement pas avant la deuxième moitié du second tome de l'intégrale (puisqu'il reste des Néphilims à présenter, je suppose dans la première moitié du second tome…) (c'est toujours super compliqué de s'y retrouver dans les rééditions en intégrales ^^).

Ce qui me déçoit un peu, exactement comme pour l'intégrale Néphilim de David et Isabelle Collet, c'est cette impression de froideur presque clinique dans l'écriture. J'ai trouvé que l'auteur mettait de la distance avec ses personnages et son intrigue, et j'ai eu du mal à vraiment rentrer dedans, à me passionner pour les enjeux, la quête ésotérique de Wag, l'identité du tueur… Pourtant, c'est un univers avec une mythologie fouillée, creusée, vraiment intéressante, et qui mériterait d'être découverte par le plus grand nombre. Mention spéciale à l'objet-livre, qui est encore une fois superbe.

Je lirai la suite, en espérant que les intrigues finiront par se recouper et donner un vrai sens à l'ensemble!
Lien : http://totorosreviews.com/20..
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J'ai craqué pour cette première intégrale de Nephilim lors de l'opallstars de l'année dernière et, pour le coup, je regrette un peu. Je ressors de cette lecture mitigée, en dépit du fait qu'elle avait bien commencé 😐

Cette 1ère intégrale se scinde en deux livres : le Syndrome Eurydice et Anonymus. Dans le premier, nous suivons Jennifer, étudiante à la Sorbonne qui sombre dans la folie. Elle fait la connaissance de Wag, un sans-abri aux allures de vieil Irlandais. Ils semblent destinés à se rencontrer et faire un bout de chemin ensemble, bien qu'elle ne comprenne pas pourquoi. le 1er livre retrace leur rencontre, leur fuite, la transformation de Jennifer en Nej...
Quant au 2e livre, nous changeons de pays, de personnages. Nous suivons Ezechiel, Nephilim de son état, « réincarnée » dans un corps de femme flic en Hongrie. Des meurtres sauvages sont perpétrés et elle devra retrouver le ou les coupables 🤨

Alors que dire ? Je vais commencer par le plus gros point négatif selon moi qui a été de saisir et donc d'accrocher à l'univers que proposait ici l'auteur. J'ai pourtant, de manière générale, peu de difficultés à entrer dans les mondes créés en fantasy mais cette fois, je n'y suis pas arrivée 😞 Je pense que ç'a manqué de pédagogie pour que je puisse bien comprendre qui étaient ces Nephilim ainsi que tous les termes spécifiques les entourant. À la fin de cette première intégrale, je me demandais encore ce qu'étaient vraiment ces créatures magiques, leurs buts, leurs aspirations 🤔

Le premier livre a été prenant et j'ai aimé les chapitres courts qui ne m'ont pas donné cette impression de lourdeur et de longueur. J'ai apprécié les personnages de Nej et de Wag, les répliques spontanées et surprenantes de la jeune femme, sa vulnérabilité mêlée à sa force, sa personnalité haute en couleurs. Même si je me suis sentie perdue dans cet univers, je me suis attachée à ces personnages et à leur quête dont je n'ai... pas compris la véritable finalité 😅 Certains passages ont été tellement captivants que je les ai lus en apnée, cependant.

Au contraire, je n'ai pas aimé le 2e livre que j'ai trouvé moins intéressant. J'ai été déçue de constater qu'on ne suivait pas les mêmes personnages. Nej et Wag ont fait place à Ezechiel, une Nephilim froide, antipathique... détestable 😠 Plus les pages défilaient, plus je la haïssais. Ce 2e livre avait pourtant un aspect intéressant : une enquête policière, des meurtres sanglants. Mais rien à faire, les Nephilim ont pris une place bien trop importante pour que j'arrive à apprécier. Nous avons donc des créatures magiques vivant parmi les humains (qu'ils détestent, au passage), de nos jours. Traqués par les Rose+Croix (mais qui sont-ils, ceux-là ? 🤯) qui cherchent à les éliminer tout en sachant que les Nephilim sont immortels.

Tout ça n'avait pour moi ni queue ni tête, aucun but. Pourtant, la plume était agréable à lire, je ne l'ai pas trouvée lourde ni trop simpliste. En résumé, la forme était très intéressante mais le fond ne m'a pas du tout convaincue. Dommage 😒
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J'en ai mis du temps à le lire ce livre.
Je l'avais commencé l'an dernier mais la psychose de Jennifer ne m'avait pas énormément plus. Pourtant, un an après, j'ai relu ce début et j'ai adoré. Comme quoi, les goûts changent!
Dans ce livre, nous avons deux tomes.
Le premier raconte l'histoire de Jennifer qui combat une lourde psychose. Elle rencontre plusieurs fois un prénommé Wag pourchassé par les Rose+Croix. C'est en l'abordant que sa vie a basculer.
J'ai été un peu déçue quand le deuxième tome a changé totalement de lieu et de personnages. Nous sommes avec d'autres membres de l'Hepta (Wag en faisant parti). Ezechiel recherche un criminel dangereux qui fait des corps des femmes une oeuvre d'art. Elle va croiser un autre membre de l'Hepta, Azarian, un rockeur assez spécial...
Malgré le manque de Wag, j'ai fini par apprécier les deux personnages. J'imagine que, dans le prochain tome, nous serons encore avec des personnages différents pour en savoir toujours plus sur l'Hepta et ses membres.

Sinon, l'histoire est vraiment bien. Cette idée de récupérer les quatre éléments (air, eau, feu, terre) et d'en rajouter non pas un cinquième mais trois autres pour arriver à sept était vraiment une idée formidable (surtout que ce sont des éléments originaux).
Les néphilims sont des créatures étranges qui vivent dans le corps des humains pour survivre. Ils ont vraiment un regard vers nous changeant suivant les personnages. On les dégoûte ou alors ils ont pitié de notre mortalité. C'est assez drôle.
D'ailleurs, heureusement qu'il y a un peu d'humour. Dans le premier tome, ça pourrait aller mais le deuxième est plus lourd et sombre. Je vous avoue que sans une petite blague (quoique morbide), j'aurai eu du mal à le finir. Mais je l'ai lu vraiment avec aise.

En conclusion, c'est une très bonne lecture. Par contre, je la conseillerai seulement aux âmes non sensibles en vu de son intérieur (sang par exemple).
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critiques presse (1)
Elbakin.net
14 août 2012
Au rayon des qualités de cette intégrale, outre l’efficacité de l’écriture et la sensation plaisante qui découle du rythme bien dosé, soulignons la belle “mise en scène” et l’effet presque cinématographique que l’auteur parvient à mettre en place. Le style de Clavel est très “visuel”. Notons aussi que l’humour occupe une place non négligeable dans cette première intégrale : dans un roman, on a surtout du comique de situation tandis que dans l’autre le recours au cynisme et à l’humour noir domine.
Lire la critique sur le site : Elbakin.net
Citations et extraits (23) Voir plus Ajouter une citation
Nous avons longtemps cru que nous ne devions compter qu'avec nos cousins maudits, les Selenim, des êtres souillés par la lune noire. Mais il s'avère que, au cours de ces dernières années, une nouvelle sorte de créature est apparue, une troisième génération porteuse de nouvelles interrogations, de nouveaux pouvoirs et de nouveaux dangers. Quand s'arrêtera notre déchéance?
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Psychose... C'était étrange comme ce mot ne sonnait pas de la même manière quand il renvoyait à un individu, au lieu d'une collectivité floue. Il résonnait comme un caillou dans un puits. La vraie folie était une solitude abyssale.
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Arrivant au niveau d'un passage piéton, il s'engagea sur la chaussée. Il avait mis peu de temps pour comprendre que lorsque le bonhomme vert apparaissait, tout le monde pouvait traverser la rue.
Le bonhomme était rouge lorsqu'il s'engagea. Mais il avait appris, à observer le comportement des Parisiens, que la loi des symboles pouvaient être contournée. Il fit donc un pas sur la chaussée.
Une voiture approchait.
Il s'avança crânement et posa un second pied sur la bande blanche qui devait signaler, d'après ses hypothèses, les lieux de passage autorisé. La voiture ne ralentit pas.
Très bien. Il continua à la même allure. Un pas encore.
La voiture avançait toujours, comme si elle ne l'avait pas vu.
Tout allait se jouer au bluff. Wag savait que les routes de passage automobile étaient des lieux d'une violence extrême, où l'agression était le maitre mot. Il comptait bien remporter ce duel avec ce stupide chauffeur. Après tout, que valait un Parisien du XXIe siècle face à un être immortel et multimillénaire?
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-Votre dernier album s'intitule "Dead Fuckers". C'est également le titre de la chanson-phare où vous racontez l'histoire d'un homme qui va violer des cadavres. Ces cadavres prennent ensuite vie et le violent à leur tour. Pourquoi cette volonté de choquer?
-Moi je ne trouve rien de choquant là-dedans, rétorqua Azarian. Cet homme se livre à son vice et il en est puni par ceux-là mêmes qui sont ces victimes. J'ai surtout voulu montrer le caractère contagieux du vice qui se transmet comme un virus. En fait, c'est une chanson très morale...
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La magie est tout autour de nous, sans que nous en ayons conscience. C'est un fait que les humains peuvent difficilement se représenter. Pour leur en fournir une image approximative, nous pourrions dire que les champs magiques sont comme les rayons lumineux, ayant chacun leur fréquence et leur couleur, à ceci près que les champs magiques sont élémentaires et qu'il n'y a entre eux non pas une différence quantitative (fréquence plus ou moins grande) mais une différence qualitative (tel ou tel élément).
Leonidas, Pensées pour moi-même
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Vidéo de Fabien Clavel
Animé par Willy Richert avec Charlotte Binder
Désirs de mondes : imaginer et rêver
Les mondes imaginaires, d'où ils viennent et les rapports qu'ils entretiennent notre monde…
dimanche 4 décembre – Avec la participation de l'autrice-illustratrice, Sandrine Bonini, des auteurs Fabien Clavel, Philippe Lechermeier et de l'auteur-illustrateur Mortis Ghost.
Et la classe de 5ème 2 du collège Sainte-Clothilde, Paris (75). Un grand merci à la professeure Maryline Laguitton.
Avec la participation de Cécile Ribault Caillol pour Kibookin.fr
Avec la séquence La Tête dans les images Júlia Sardà, Leina et le Seigneur des Amanites, texte de Myriam Dahman et Nicolas Digard, Gallimard Jeunesse Avec le soutien de l'Institut Ramon Llull.
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