de
Paulo Coelho je n'avais lu que
L Alchimiste, qui m'avait laissé un souvenir assez mitigé et le sentiment de céder à un phénomène de mode.
Onze minutes est une exception dans la littérature très prolixe de cet auteur. Moins tourné vers la spiritualité et le conte initiatique et plus axé vers des problèmes de société.
L'idée est intéressante : rendre les invisibles visibles le temps d'un roman, comme une petite revanche sociale. La construction du personnage démarre bien, malheureusement par la suite
Paulo Coelho accumule les clichés.
Les longueurs et les répétitions ont freiné mon élan me laissant un goût d'inachevé.
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