Être heureux, ça s’apprend sans réfléchir.
Tout le monde est ordinaire, jusqu'à preuve du contraire. Ce sont les circonstances qui nous modèlent. Les rencontres.
Le poète entendait montrer aux gens que la vie vaut la peine d’être vécue. C’était un rêveur, un idéaliste. Les rêveurs et les idéalistes finissent leurs jours dans la solitude et l’affliction: c’est là une triste vérité. Leurs histoires, néanmoins, leur survivent et sont libres.
L’incroyable n’est incroyable que si d’autres personnes autour de vous n’y croient pas.
Les gens sont beaucoup plus raisonnables qu’on le croit quand ils se sentent heureux.
Les histoires inventées nous réconfortent et nous séduisent parce qu'en exhibant sans cesse leur géniale fausseté, elles nous rappellent à voix très basse que l'endroit le plus prodigieux qui soit est celui où nous vivons. Nos existences ne valent-elles pas tous les romans du monde?
Pleurer, c'est rendre au monde un peu de la beauté qu'il nous a donnée, ce qui n’est pas anodin. On peut pleurer de joie ou de tristesse mais les larmes, toujours, sont l’extrême sourire.
La vie est un songe mais (….) les rêves survivent à ceux qui se réveillent.
On connait tous des chansons capables de nous briser le coeur. En temps normal, on évite d'y penser. Mais si notre grand-père meurt. Ou que l'automne brunit. Ou qu'on reçoit une lettre qu'on ne voulait pas recevoir. Ou que la vieille maison de famille est vendue. Lorsque nous nous rappelons que la vie ne nous a jamais rien promis, que la beauté et la tristesse ne sont que les deux faces d'une seule et même pièce et que cette pièce n'en finit pas de tourner sur la tranche, alors...
"Ce nuage, c'est comme si la plus belle femme du monde vous avait donné rendez-vous dans un endroit connu de vous seul, résumait l'un d'eux, et qu'elle avait oublié de vous communiquer la date."