AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782207124369
288 pages
Denoël (22/01/2015)
3.96/5   1131 notes
Résumé :
Le mal rôde depuis toujours dans ces montagnes maudites. Parviendront-ils à lui échapper ? Dressé sur un sommet aride et glacé, un homme à la haute stature s’apprête pour la cérémonie du sacrifice. Très loin au-dessous de lui, le village entier retient son souffle en le contemplant. À des kilomètres de là, partie pour trois jours de trek intense, Lou contemple les silhouettes qui marchent devant elle, ployées par l’effort. Leur cordée a l’air si fragile dans ce pays... >Voir plus
Que lire après Six fourmis blanchesVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (316) Voir plus Ajouter une critique
3,96

sur 1131 notes
Un grand merci à Babelio et aux éditions Denoël pour cette escapade hivernale..

Le soleil offre ses premiers rayons dans un ciel limpide. le jardin vert pâle tranche avec la blancheur des montagnes. L'Albanie, un pays qu'ils ne connaissaient pas du tout. Mais un organisme de tourisme leur a offert un trekking et Elias et Lou ont de suite accepté. En compagnie d'un autre jeune couple, Arielle et Lucas et deux hommes, Marc et Etienne. Ils se réjouissent tous à l'idée de cette randonnée dans ces hautes montagnes enneigées, pouvoir dormir à la belle étoile et se sentir libres. Direction Valbona, à l'hôtel où ils doivent retrouver leur guide. Vigan, un homme grand, robuste et impénétrable, se présente à eux. le départ est donné pour ce qui devait être une agréable balade dans ce pays inconnu. Mais, bien vite, les choses se compliquent, le temps se dégrade petit à petit, les sacs pèsent lourd sur ces épaules si frêles et un sentiment étrange et oppressant les habite...
Gravissant la montagne, une chèvre judicieusement choisie parmi un troupeau marchant à ses côtés, Mathias s'apprête à sacrifier cette bête au nom de la nature, des Dieux et des esprits. Appelé par les paysans, parfois un village entier, il est le seul sacrificateur à qui l'on implore de conjurer le mauvais sort...

Enfilez vos moufles, votre bonnet et votre anorak les plus chauds, chaussez votre meilleure paire de chaussures de marche et forgez-vous un moral d'acier car l'ascension risque d'être éprouvante...
Dans son nouveau roman, Sandrine Collette nous emmène au coeur de ces hauts sommets enneigés et glacials. L'on part pourtant en toute tranquillité et pleins de confiance sur ces sentiers. Mais, faut-il croire que les mauvais esprits rôdent encore ou que la chance a tourné ? Pour un trekking qui se voulait convivial et enrichissant, même s'ils en ressortiront inévitablement grandis et enrichis, aussi bien sur le monde qui les entoure que sur leur propre capacité, Lou, Elias et leurs compagnons de voyage ne sont guère au bout de leurs surprises. L'auteur réussit à créer une ambiance oppressante et redoutable, la tension est palpable et va crescendo. L'on est emporté dans le tourbillon de ces pages et l'on est soufflé par ce scénario implacable. Alternant le récit entre Mathias et Lou, ce roman, construit habilement, nous saisit et nous frigorifie de par sa noirceur et cette nature si hostile et si inhospitalière.

Six fourmis blanches... cinq fourmis blanches...
Commenter  J’apprécie          966
C'est mon deuxième rendez-vous avec Sandrine Collette et ma première impression est confirmée, j'aime beaucoup le style et le rythme imprimés à ses romans.
Avec ces six fourmis blanches le parti pris narratif proposé va être celui d'alterner deux histoires un chapitre sur deux, Lou et Mathias, deux histoires distinctes que l'on devine pourtant susceptibles de se croiser à un moment ou à un autre.
Deux histoires dramatiques cela va de soi et dont le point commun tient avant tout au contexte.
Il y a bien sûr des personnages bien dessinés, ni héros, ni anti-héros, des gens "normaux" qui nous ressemblent, des personnages qui vont être confrontés au caprice d'un destin qu'ils ne maîtrisent pas, à la peur, à eux-mêmes, car à un moment tout peut basculer sans préavis et pulvériser leurs plus belles certitudes sur ce qu'ils croient être.
Difficile de parler de ce roman sans dévoiler le plan de l'auteur et ce qui va nous bluffer, car le scénario est diablement subtil et efficace, chapeau bas, je ne l'avais pas vu venir, je n'en dirai donc rien pour garder le suspense intact.
Par contre je peux dire sans trahir que le véritable acteur de ce roman est la montagne, mais pas celle des cartes postales, non.
Il s'agit de celle, impitoyable dont on nous dit qu'on ne doit pas l'affronter sans préparation car le temps peut-être changeant, car la neige peut être traîtresse et le froid tuer.
Un vrai bon thriller, du suspense, un style brillant, n'hésitez pas ça se lit tout seul.
Commenter  J’apprécie          969
Sublime, ce roman commence (et termine ?) par un sacrifice, histoire de nous faire comprendre que la montagne que nous nous apprêtons à pénétrer, sur les traces des six fourmis blanches éponymes, n'est pas la montagne des skieurs en goguette qui jettent leur argent par les fenêtres de chalets de luxe, buvant du champagne pour accompagner leur raclette. La montagne que Sandrine Colette va nous conter ici, c'est celle des loups et des superstitions, des disparitions et des mystères, celle des temps ancestraux que les croyances en le diable continuent de propager sur les chemins de randonnée, et même les chemins plus détournés. le mauvais esprit, le sort, le mal que l'on tente de tuer à la racine, mais qui repousse toujours, semé par les murmures du vent et des rumeurs, les on-dits, les « il était une fois ». Et les hommes. Sauf que cette histoire n'est pas un conte, et qu'elle n'a pas l'air de pouvoir bien finir…


Dès les premières pages, la plume habile, belle et confortable de Sandrine Colette nous happe pour ne plus nous lâcher. A chaque chapitre elle alterne la narration de Mathias puis de Lou, et tout s'enchaine avec délice. Mathias est « sorcier » sacrificateur, payé pour « offrir » ou sacrifier des chèvres aux mauvais esprits de la montagne lors des fêtes familiales, afin qu'ils laissent les habitants tranquilles. Lou, quant à elle, fait partie des six randonneurs, les six « fourmis », qui testent une nouvelle piste de montagne pour touristes en Albanie, avec leur guide Vigan. Mais très vite, leur aventure se transforme en épreuve lorsqu'une tempête de neige inattendue éclate, les déviant de leur chemin, mettant leurs forces à mal, leurs vivres à zéro, et leurs chances de survie en péril. Leurs chances s'amenuisent encore lorsqu'ils semblent traqués par le diable en personne. le décompte morbide des fourmis, que l'on pressentait devoir subir depuis le départ, démarre lorsque les deux histoires se percutent de plein fouet dans une avalanche de mésaventures potentiellement mortelles. Glacés, mais bourrés de l'adrénaline des personnages qui coule dans nos propres veines, nous tentons de secouer notre effroi et nos engelures pour que tout le monde s'en sorte. Mais hélas…


Je ne suis pas une groupie. le fait que tout le monde aime une auteure me donne plutôt envie de fuir par crainte que, pour être consensuelle, son oeuvre ne soit banale, ou simplement par peur d'être déçue. Pour ajouter à mon scepticisme, j'avais lu Des Noeuds d'acier à sa sortie, mais j'étais loin d'être subjuguée : je m'étais dit que ce livre ressemblait un premier roman un peu maladroit, bancal, dont la narration m'avait semblé moins naturelle, plus maladroite, ou quelque chose dans l'histoire moins crédible. Mais force est de constater qu'ici je suis entrée dans l'histoire, et au coeur des personnages, dès les tout premiers mots, les tout premiers pas. le rythme et le ton sont d'une justesse implacable. J'ai été Mathias autant que les six fourmis. Je me suis attachée à chaque personnage et j'ai fait mienne chacune de leurs émotions contradictoires. J'ai aimé Mathias jusqu'à ses derniers mots, ses dernières forces et jusque dans ses silences et ses soupirs. J'ai été gelée avec les fourmis, affamée, engourdie, effrayée, j'ai paniqué, mentalement crié, bouffé du flocon à m'en dégouter, et saigné. J'ai été courageuse aussi, j'ai achevé ma lecture lessivée, en jurant de ne jamais plus remettre les pieds en montagne. Mais avec une furieuse envie d'une bonne rasade d'eau-de-vie - de celles qui vous fouettent le sang et vous remettent les idées en place ! Coup de coeur autant pour l'ambiance, les personnages, la construction classique mais redoutablement efficace en l'espèce, et même la plume, plus qu'immersive malgré une grammaire qui m'a agacée au début. J'ai vécu ce livre et je vous le recommande, surtout en cette saison !


« Nous sommes tous partie prenante de cette aventure qui va virer à l'enfer. »
Commenter  J’apprécie          7539
Costa Croisères Hiver vous propose deux balades dont vous ne reviendrez pas !

Vous vous sentez l'âme d'un Edmund Hillary, ce trek hivernal en groupe restreint devrait marquer durablement les esprits.
Vous ne concevez pas de vous évader sans revenir l'esprit apaisé, repu de souvenirs touchants fondamentalement associés à la bouleversante quiétude des lieux. J'ai. le sacrificateur. Fort d'une expérience enviée par les plus grands, il saura vous imprégner de son savoir-faire et pourquoi pas, susciter des vocations dans le métier. Toute candidature issue de quelque refuge pour animaux que ce soit sera immédiatement rejetée pour des raisons évidentes d'équilibre mental à moins que le lancer de chèvres en milieu hostile ne constitue secrètement l'un de vos passe-temps favoris...

Quoi qu'il en soit, vous allez en bouffer de la poudreuse, jusqu'au dégoût.
La montagne, ça vous gagne. Mais parfois, c'est elle qui décroche la timballe.
Ne jamais rien prendre pour acquis si ce n'est son incapacité à lutter face à la toute puissance d'une nature bougonne qui se serait levée du versant gauche.

Glaçant, percutant et sans décrochage notoire, ce qui est toujours préférable en montagne, ce Six Fourmis Blanches trace son blanc sillon – qui aurait parfois tendance à tirer sur le vermillon, j'aime pas balancer mais quand même - à grands coups de piolets méthodiquement dosés et assurés.

Deux récits concomitants narrés à la première personne, l'immersion en terre inconnue fonctionne à plein, à l'instar des déboires de tous nos candidats à la récompense ultime, la survie, que l'on prend dans la tronche comme autant d'avalanches d'emmerdes semblant ne jamais vouloir s'arrêter.

Si la trajectoire mortelle de Lou et de ses acolytes trekkers est plutôt convenue, le monde féérique de Mathias et son petit lexique du sacrificateur pour les nuls passionne durablement.
On frémit tout en s'intruisant, j'en redemande.

Collette fait monter le récit en température - et l'on s'étonnera des avalanches, m'enfin...- jusqu'au dénouement final particulièrement réussi, une fois n'est pas coutume dans le genre.
Au sortir d'une telle lecture, il sera vital de respecter les divers paliers de décompression au risque d'éprouver pour les sommets une aversion sincère et durable, pour le plus grand plaisir des chèvres, cependant...

Un Vent de Cendres m'avait laissé de glace, Six Fourmis Blanches m'a réchauffé le coeur, comme quoi...
Commenter  J’apprécie          7112
Imaginez que vous gagnez un voyage pour un trek de trois jours dans les belles montagnes neigeuses d'Albanie.
Imaginez que vous êtes parmi un groupe de six randonneurs plutôt joyeux, avec un guide beau gosse pour vous accompagner.
Alléchant non ?
C'est ce qu'ils ont cru au départ...

Après Des noeuds d'acier que j'avais beaucoup aimé, Sandrine Collette a réussi à me surprendre encore plus avec ce roman époustouflant.
Dès le départ, le ton est donné : on a affaire à un paysage glacial où le Mal semble régner.
D'un côté nous avons Mathias, un sacrificateur respecté et connu pour apaiser les mauvais esprits des montagnes en leur offrant des sacrifices. de l'autre, nous avons Lou, une jeune femme partie avec son compagnon Elias faire cette fameuse randonnée.
J'ai beaucoup aimé ce groupe avec ces personnages si différents les uns des autres. Mais surtout, il y a en permanence cette présence maléfique dans la montagne, qui semble suivre notre petit groupe.

La tension monte au fil des pages, que ce soit du côté de Mathias aussi bien que chez les randonneurs. le cauchemar s'installe et l'enthousiasme général du groupe retombe pour laisser place au stress et à la survie.
Les descriptions de ce paysage blanc, de son climat, des conditions physique des personnages mêlées à leurs états d'âme font progressivement monter l'adrénaline du lecteur.
Ce roman se dévore ! On a du suspense, de la tension et des surprises. J'étais captivée par cette histoire jusqu'à la dernière page. Bref, un livre qu'on ne peut pas lâcher si on l'a commencé. J'ai adoré !

Je remercie bien chaleureusement Babelio et les éditions Denoël qui m'ont envoyé ce livre grâce à l'opération de Masse critique. J'ai reçu ce roman avec un petit marque-page et une carte sympathique me souhaitant une bonne lecture. Et je confirme que la lecture a vraiment été excellente !
Un très bon roman à ne pas rater !
Commenter  J’apprécie          693


critiques presse (2)
LeJournaldeQuebec
14 septembre 2023
Comme tout ce qu’écrit Sandrine Collette, un roman différent et fascinant.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
Lexpress
04 mai 2015
Mystères et frissons garantis.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Citations et extraits (123) Voir plus Ajouter une citation
Le mal suinte de ce pays comme l’eau des murs de nos maisons tout le long de l’hiver. Enraciné en nous, telle une sangsue fossilisée sur une pierre. C’est ce que disait mon grand-père, et avant lui son père, et le père de son père : depuis toujours ces montagnes sont maudites. Qui se souvient que quelque chose de beau y ait été conçu, s’y soit développé ? Que de contreparties à notre présence ici, que de compromis pour nous donner, parfois, le sentiment de bien vivre. Les vieux répètent à l’envi que les mauvais esprits ont choisi cet endroit pour venir mourir ; qu’ils y agonisent des années durant, crachant des imprécations sur nos roches et nos forêts malingres. Nous sommes de trop dans ces vallées ; nous en payons le prix fort. Nous aurions dû abandonner ces terres où nous n’avons jamais été les bienvenus. Si seulement nous étions raisonnables. Mais nous sommes faits de la même caillasse, refusant de céder une once de terrain, acharnés à faire pousser les tubercules qui nous permettent de tenir amaigris jusqu’au printemps suivant. Heureux d’un rien, aussi.
Commenter  J’apprécie          388
Quelle horrible impression, celle de nos propres limites : jamais, dans la vie ordinaire, nous n'avons besoin d'aller aux frontières de ce dont nous sommes capables, à l'extrême de nos forces. Le sentiment d'arriver au bout nous est étranger. Nous nous croyons invincibles, quand nous n'avons simplement pas à utiliser nos réserves. Nous sommes des protégés, des assistés qui s'ignorent. Des faibles. (..) Devant l'immensité des éléments, dans des situations extrêmes, nous ne sommes plus rien.
Commenter  J’apprécie          493
Valbona est ici, à un kilomètre... Puisqu'on part à, mmm... j'ai oublié le nom, enfin, ça devrait être par là.
- De toute façon, dit Arielle, on s'en fout, on a un guide. Et puis je vous rappelle qu'on est nuls. Soyons à la hauteur.
Nous applaudissons en riant. C'est vrai. Nous avons baptisé notre groupe ainsi lors de notre rencontre, la montagne pour les nuls. Il y a une certaine jouissance à se parer des adjectifs les plus idiots en sachant que c'est faux, qu'on y arrivera, à vaincre les glaciers hostiles - et les ours, a ajouté Lucas ce soir-là. C 'est l'objectif de cette randonnée de l'Extrême, comme on nous l'a vendue : les hauts sommets pour les débutants. Enfin, hauts... qui culminent à deux mille cinq cents, deux mille sept cents mètres. Mais pas de remontée mécaniques : un peu de 4 X 4 pour nous faire grimper au maximum, et après tout à pied.
Commenter  J’apprécie          160
Mathias
Je suis seul, ni femme ni famille - le lot de ces races presque éteintes dont je suis, car qui nous attendrait des semaines et des mois sans protester, qui nous prendrait tels que nous sommes, nomades et brutaux, nous embrasserait à notre retour comme si nous avons toujours été là, et que nous n'allions pas repartir le lendemain heureux et chantants. Insoumis et ivres d'espaces. J'ai appris à vivre avec pour ces compagnes ces chèvres blanches, brunes ou noires dont l'odeur sature jusqu'au tissu de mes vêtements jusqu'aux poils de ma barbe quand j'oublie de la couper trois ou quatre jours. Parfois leurs bêlement sont les seules paroles que j'entende de toute une semaine. Quand elles sont timides et muettes comme celle que j'emmène aujourd'hui, le silence chante en dedans de ma tête.
Je tire sur la corde.
- Allez.
Commenter  J’apprécie          164
En ce début de journée du mois de mars 2013, nous ressemblons à une courte file de fourmis montant à l’assaut des montagnes, sages et ordonnés bien en ligne, et peut-être les autres se demandent-ils comme moi pourquoi ils ont plongé dans cette escapade, à quoi cela leur sert, et si le plaisir de raconter ce qu’ils auront vécu là-haut vaut la peine que nous avons à enchainer un pas après l’autre, inlassablement, entre les pauses pour boire, respirer, boire encore. Vigan nous a prévenus : nous perdons un litre d’eau par tranches de cinq heures en altitude, et nous perdons aussi le sentiment de la soif, à cause du froid.
Commenter  J’apprécie          200

Videos de Sandrine Collette (67) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Sandrine Collette
Nouvel horaire pour l'émission "Le coup de coeur des libraires" sur les Ondes de Sud Radio. Valérie Expert et Gérard Collard vous donne rendez-vous chaque dimanche à 13h30 pour vous faire découvrir leurs passions du moment ! • Retrouvez leurs dernières sélections de livres ici ! • • le Géant empêtré de Anne de Tinguy aux éditions Perrin https://www.lagriffenoire.com/le-geant-empetre.html • L'Histoire du monde se fait en Asie : Une autre vision du XXe siècle de Pierre Grosser aux éditions Odile Jacob https://www.lagriffenoire.com/l-histoire-du-monde-se-fait-en-asie-ne-u-ne-autre-vision-du-xxe-siecle.html • Sambre : Radioscopie d'un fait divers de Alice Géraud aux éditions JC Lattès https://www.lagriffenoire.com/sambre-radioscopie-d-un-fait-divers.html • Last exit to Marseille de Guillaume Chérel aux éditions Gaussen https://www.lagriffenoire.com/last-exit-to-marseille.html • L'invitée de Emma Cline et Jean Esch aux éditions de la Table Ronde https://www.lagriffenoire.com/l-invitee-1.html • Un été à l'Islette de Geraldine Jeffroy et Catherine Guillebaud aux éditions Arléa https://www.lagriffenoire.com/un-ete-a-l-islette-2.html • On était des loups de Sandrine Collette aux éditions Audiolib • Entre fauves de Colin Niel, Thierry Blanc aux éditions Audiolib • La mariée portait des bottes jaunes de Katherine Pancol, Caroline Victoria aux éditions Audiolib • le Magicien de Colm Tóibín aux éditions Grasset • Les dernières volontés de Heather McFerguson de Sylvie Wojcik aux éditions Arléa https://www.lagriffenoire.com/les-dernieres-volontes-de-heather-mac-ferguson.html • Les narcisses blancs de Sylvie Wojcik aux éditions Arléa https://lagriffenoire.com/les-narcisses-blancs.html • le Carnet des rancunes de Jacques Expert aux éditions Livre de Poche https://lagriffenoire.com/le-carnet-des-rancunes-1.html • Reine Rouge de Juan Gómez-Jurado et Judith Vernant aux éditions Pocket https://www.lagriffenoire.com/reine-rouge-1.html • Les Brisants de Vanessa Bamberger aux éditions Liana Levi https://www.lagriffenoire.com/les-brisants-1.html • Alto braco de Vanessa Bamberger aux éditions Liana Levi https://www.lagriffenoire.com/alto-braco-1.html • le Parfum des poires anciennes de Ewald Arenz et Dominique Autrand a
+ Lire la suite
autres livres classés : thrillerVoir plus
Les plus populaires : Polar et thriller Voir plus


Lecteurs (2148) Voir plus



Quiz Voir plus

En plein cœur des montagnes maudites d'Albanie

Quel est le "métier" qu'exerce Mathias?

Purificateur
Sacrificateur
Pasteur
Facteur

4 questions
30 lecteurs ont répondu
Thème : Six fourmis blanches de Sandrine ColletteCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..