Sherlock Holmes : L'Homme qui grimpait

C'est une des rares fois que Holmes presse Watson de publier une affaire... On le sait, le détective n'aime pas la publicité... Mais en fait, il s'agit de faire taire des bruits qui courent dans une université... Et très vite Watson nous explique bien humblement sa relation avec un Holmes exaspéré par son manque de vivacité d'esprit, mais qui, il l'admet, stimule son intelligence ... C'est encore expliquer dans la série Sherlock... Qui, si elle est un peu dans la surenchère, il faut bien le dire, retrace fidèlement les caractères des personnages ... a quelques détails près, tout en dénonçant un monde plus moderne, où l'on aime pas les gens qui sortent de la normalité, particulièrement si honnête et brillant... Dans le monde moderne on doit se plier à une normalité, surtout si l'on réussi sans malhonnêteté ... si non on est en but à tous les obstacles... Et je pense, peut être à tord, mais c'est mon opinion, qu'un Conan Doyle vivant de nos jours auraient apprécié cette vision des choses... Surtout avec son pragmatisme anglais... Et le problème semble être épineux, car Sherlock Holmes est pensif et même soucieux... On est loin du the game is on, de la série, tout simplement parce qu'il ne vois aucune solution... parfois cela vient plus loin dans l''histoire, mais là c'est tout de suite... Et Holmes parle d'un sujet vu sous un angle original, l'utilité des chiens pour les détectives, qui n'a pour lui pas été étudier à fond... Oui, Holmes s'intéresse au comportallisme animalier... Pour faire ces déductions... un sujet si moderne... Holmes autant que Conan Doyle, sont décidemment des personnages très modernes... Parce qu'un chien-loup a un comportement bien étrange... Et Holmes, devant un Watson éberlué, ne comprenant pas l'intérêt de la chose, se demande pourquoi il a accourut à Baker Street plutôt que de s'occuper du malade... Et le lecteur moderne se dit... Mais aujourd'hui, on parle tellement de comportalisme ... Holmes aurait tout compris plus d'un siècle avant la plupart de nos concitoyens? Ce détail intrigue, et devait encore plus intrigué à l'époque... et nous donne envi de poursuivre cette approche originale, même pour un détective d'aujourd'hui... En fait, en progressant dans la nouvelle, on finir par ce dire, que Holmes est certainement sur la bonne piste, vue le caractère étrange de celui qui inquiète tout le monde par son comportement... Encore une histoire, où le détective enquête au sein d'une corporation bien spécifique... Une grave question morale pose dans cette nouvelle...

Voilà une nouvelle affaire bien mystérieuse confiée à notre cher Sherlock Holmes !
Le chien de la famille, pourtant docile et doux, se met à attaquer son maître. Celui-ci a un comportement des plus étranges, il est pris de soudains accès de rage complètement en opposition avec son caractère habituellement bonhomme, il se déplace à quatre pattes et grimpe aux façades.
Sa fille et son fiancé sont très inquiets et se tournent donc vers le célèbre détective.
Une nouvelle très agréable au léger goût de fantastique.

Un nouveau mystère très passionnant à élucider pour le plus grand détective que la Grande Bretagne ai jamais eu

Comment un éminent professeur peut-il, comme il le fait, tous les neuf jours, se comporter comme un langur à tête noire? Ah! jeunesse perdue, quand tu commences à être loin, certains voudraient te retrouver, et pour cela sont prêts à tout!