Une toute petite collection de nouvelles d'une cinquantaine de pages. Quelques hors-d'oeuvres entre deux romans.
J'ai adoré le conte de Noël. Un conte qui aurait bien pu arriver et qui réchauffe le coeur.
Les deux nouvelles sont strictement policière. La première nous montre comment faire avouer un criminel même quand on n'a même pas l'ombre d'une preuve.
La deuxième prouve un crime par simple déduction.
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Encore un plaisir de lecture avec ces trois autres nouvelles qui se complètent avec certains romans antérieurs. On découvre également un bosch "rookie" fraichement enrôlé dans la police comme patrouilleur et déjà prometteur. Indispensable pour les passionné du fameux inspecteurs. Lu en VO.
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3 petites nouvelles sur Harry Bosch.
Une lecture très rapide.
Évidemment, on y va directement sur les faits, en laissant de côté les longueurs.
À conseillé aux amateurs de Harry, pour en apprendre un peu plus sur sa façon d'analyser les crimes, sans toutefois les résoudre.
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J'étais persuadé que ces nouvelles ne m'apporteraient rien ; en fait je n'aime pas les nouvelles : trop courtes, effleurant simplement la psychologie, etc.
De plus, j'ai lu je ne sais combien d'opus dont Harry est le personnage principal...
De fait, ces nouvelles n'apportent pas grand-chose , mais m'ont permis de retrouver mon héros du temps de sa "splendeur", ainsi que Kiz Rider, ce qui ne gâte rien !
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Il y a des milliers de meurtres non résolus dans les archives de la police de Los Angeles. Pour justifier le temps et le coût d’une nouvelle enquête, il faut qu’il y ait de quoi – quelque chose qu’on puisse entrer dans les bases de données pour voir si, côté empreintes, balistique ou ADN, on obtient des correspondances.
Il y a beaucoup d’immigrés qui y viennent. Des Russes, des Coréens, ils viennent de partout. Ils mettent au clou les trucs qu’ils ont apportés de chez eux. Du jade, de l’or, des pièces de monnaie, des petits trucs qui valent cher. Et ça, les voleurs, ils adorent.
Bosch savait bien que tout cambrioleur, surtout libéré sous caution, a un lieu secret et bien à part, un « lieu sûr », où il planque ses outils et son butin.
Les lividités post mortem indiquent les endroits où le sang stagne après la mort. Elles dessinent une ligne violette due à la force de gravité. Quand un corps est déplacé après que le sang s’est stabilisé, une nouvelle ligne apparaît sur la peau.
En rentrant du Vietnam, il y avait senti une certaine tension qui n’existait pas avant son départ. Mais il ne savait pas si c’était dû aux changements que la guerre avait provoqués en lui ou à ceux qui avaient affecté la mégalopole.
Extrait du livre audio « Les Neuf Dragons » de Michael Connelly, traduit par Robert Pépin, lu par Jacques Chaussepied. Parution numérique le 27 mars 2024.
https://www.audiolib.fr/livre/les-neuf-dragons-9791035413835/