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Critique de Annabelle19
Vraiment pas mal, ce premier tome Harley Quinn. J'ai pu me le procurer à l'occasion du 48H de la BD et je suis bien contente d'avoir pu faire cette découverte. le ton est léger, amusant, un humour parfois assez glauque mais toujours délicieusement décalé.
On découvre une Harley folle à lier, qui entend des voix (en occurrence, celle de son castor en peluche), psychopathe qui commet des meurtres aussi facilement qu'elle change de tenue, mais qui n'est pas dénuée de sensibilité pour autant. La preuve : elle adore les animaux et sa complice Poison Ivy, est facilement émue par les injustices et sait se faire de nouveaux amis. On s'attache assez bien à ce personnage qui reste assez innocent et enfantin malgré tout, et c'est agréable de suivre son quotidien pas tout à fait ordinaire.
Tout commence lorsqu'Harley Quinn apprend que l'un de ses anciens patients lui a légué un immeuble à Coney Island. Elle part s'y installer et se met en quête d'un (ou plusieurs) jobs de manière à pouvoir payer les taxes qui vont avec. Elle découvre aussi que sa tête a été mise à prix et des tueurs se présentent régulièrement à elle pour tenter de l'assassiner.
L'origin story à la fin du tome est intéressante, elle permet de montrer l'enfance et la jeunesse d'une Harley à l'esprit déjà assez tordu, comment sa passion pour la mentalité des criminels l'a amenée à devenir psychiatre puis à rencontrer le Joker, qui lui a finalement permis de devenir elle-même complètement, c'est à dire une psychopathe.
J'ai aussi bien aimé le prologue, où on voit une sorte de conversation entre les créateurs et le personnage. Harley Quinn se retrouve dessinée dans des styles et des tons différents entre les mains de différents artistes, c'est amusant de voir le personnage transformé selon le point de vue, l'oeil et le talent de chaque dessinateur.
C'est d'ailleurs le gros point fort de ce comics pour moi : ses graphismes vivants, colorés, vraiment à couper le souffle. Si certains chapitres peuvent paraitre assez faibles à niveau de l'intrigue, le talent des dessinateurs compense largement cela. Chaque page est un tel régal pour les yeux qu'on se contenterait presque de les admirer en oubliant le reste.
Je pense que je vais me laisser tenter avec la suite de cette série.
On découvre une Harley folle à lier, qui entend des voix (en occurrence, celle de son castor en peluche), psychopathe qui commet des meurtres aussi facilement qu'elle change de tenue, mais qui n'est pas dénuée de sensibilité pour autant. La preuve : elle adore les animaux et sa complice Poison Ivy, est facilement émue par les injustices et sait se faire de nouveaux amis. On s'attache assez bien à ce personnage qui reste assez innocent et enfantin malgré tout, et c'est agréable de suivre son quotidien pas tout à fait ordinaire.
Tout commence lorsqu'Harley Quinn apprend que l'un de ses anciens patients lui a légué un immeuble à Coney Island. Elle part s'y installer et se met en quête d'un (ou plusieurs) jobs de manière à pouvoir payer les taxes qui vont avec. Elle découvre aussi que sa tête a été mise à prix et des tueurs se présentent régulièrement à elle pour tenter de l'assassiner.
L'origin story à la fin du tome est intéressante, elle permet de montrer l'enfance et la jeunesse d'une Harley à l'esprit déjà assez tordu, comment sa passion pour la mentalité des criminels l'a amenée à devenir psychiatre puis à rencontrer le Joker, qui lui a finalement permis de devenir elle-même complètement, c'est à dire une psychopathe.
J'ai aussi bien aimé le prologue, où on voit une sorte de conversation entre les créateurs et le personnage. Harley Quinn se retrouve dessinée dans des styles et des tons différents entre les mains de différents artistes, c'est amusant de voir le personnage transformé selon le point de vue, l'oeil et le talent de chaque dessinateur.
C'est d'ailleurs le gros point fort de ce comics pour moi : ses graphismes vivants, colorés, vraiment à couper le souffle. Si certains chapitres peuvent paraitre assez faibles à niveau de l'intrigue, le talent des dessinateurs compense largement cela. Chaque page est un tel régal pour les yeux qu'on se contenterait presque de les admirer en oubliant le reste.
Je pense que je vais me laisser tenter avec la suite de cette série.
