1907, Eugène Baruteau, chef de la sûreté marseillaise, et son neveu, le journaliste Raoul signoret, sont conviés à une partie de chasse. le gibier sera épargné au détriment d'un homme, Gaston Cadenel, un paysan de Saint Marcel, sauvagement assassiné d'un coup de fusil de chasse.
Après notre cadavre, se succéderont deux nouvelles victimes : Ferdinand, le valet des Cadenel, et un homme dont la découverte de l'identité donnera du fil à retordre au légiste. Quel lien existe-t-il entre ces trois meurtres ? Quel lourd secret de famille dissimulent-ils ?
Une fois de plus J
Contrucci nous offre une enquête complexe et passionnante, menée par deux personnages emblématiques, le tout servi dans une atmosphère pleine d'effluves de thym, romarin, pur cadeau de notre chère cité phocéenne.
Enfin, comme dans chacun de ces polars, l'auteur nous offre quelques réflexions sur la société et l'évolution de ses moeurs et donc de ses lois.
Dans
le guet-apens de Piscatoris, c'est bien de la loi de 1905 sur la laïcité dont il s'agit.La France, fille aînée de l'Eglise, a décidé qu'Etat et religion ne font pas bon ménage. C'est un débat qui, me direz vous, perdure encore au 21ième s.
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