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Parker - BD (Cooke) tome 4 sur 4
EAN : 9782205167146
102 pages
Dargaud (29/08/2014)
3.85/5   17 notes
Résumé :
Luna Park est la 4e aventure en BD de Parker, le gangster sans états d'âme imaginé par Richard Stark, alias Donald Westlake, le maître du roman noir états-unien; l'adaptation est signée par un autre grand nom: Darwin Cooke, star du comics.

Avoir un accident quand on quitte un coup en catastrophe, c'est grave. Mais pour Parker, gangster impitoyable, aujourd'hui, c'est pire: il n'a d'autre alternative que de se réfugier, avec le butin, dans un parc d'at... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
Il s'agit du quatrième tome dans l'adaptation des livres de la série "Parker" de Donald Westlake (écrits sous le pseudonyme de Richard Stark) : (1) le chasseur, (2) L'Organisation, (3) le casse. Ce tome est initialement paru en 2013, écrit, dessiné, encré, lettré par Darwyn Cooke. Il s'agit d'illustrations en noir & blanc avec l'utilisation d'une seule couleur proche du bleu horizon. L'histoire principale "Fun Island" comprend 80 pages. En fin de tome se trouve l'adaptation de "Le septième", en 11 pages avec une teinte orangée.

L'histoire se déroule au coeur de l'hiver 1969, dans la ville de Buffalo dans l'état de New York. Parker et 2 associés viennent d'accomplir le braquage d'un fourgon blindé dans lequel ils ont récupéré 73.000 dollars. Malheureusement lors de leur fuite, le conducteur n'a pas été assez attentif et la voiture a fait plusieurs tonneaux. Les 2 complices sont restés sur le carreau, Parker n'a eu que le temps de récupérer le magot et de se réfugier dans un parc d'attractions fermé pour l'hiver. Il a été aperçu par 2 policiers en train de toucher une enveloppe. Parker se prépare à subir l'assaut d'une équipe de la pègre locale souhaitant s'accaparer le butin. le parc est clos sur tout son périmètre, seule la grille d'entrée permet d'en sortir et elle est surveillée.

Dans les 3 premiers tomes de la série, Darwyn Cooke avait prouvé qu'il ne souhaitait pas s'installer dans une forme de routine d'adaptation, qu'il préférait choisir des histoires de nature différente parmi les 24 romans consacrés à Parker. Il était également possible de discerner une volonté de varier les modes de narration, tant sur le plan de l'écrit que sur celui des conceptions des pages. Pour ce quatrième tome, il a choisi un exercice de style des plus difficiles. L'intrigue est presque squelettique : Parker est enfermé dans un parc d'attraction, il prépare ses pièges, il affronte les ennemis et il s'en sort (non, il ne s'agit pas d'une surprise gâchant la lecture, puisqu'il s'agit de l'adaptation du quatorzième roman sur 24 consacrés au personnage). Deuxième caractéristique du récit : le récit est porté presqu'exclusivement par l'action, sans réflexion ou peu s'en faut (juste un peu de stratégie de la part de Parker), sans développement du personnage principal (encore moins des autres).

D'un côté, Cooke tient bien sa promesse de ne pas se répéter, de l'autre il prend un risque conséquent puisque Parker est réduit à l'artifice du héros d'action un peu générique, sans personnalité, triomphant de tout grâce à sa capacité à anticiper, et à son entraînement supérieur à celui de tous ses ennemis.

Du point de vue visuel, ce tome est à nouveau une réussite, une lecture très vivante sans être démonstrative. Cooke conserve sa façon de dessiner d'apparence un peu simpliste à l'esthétique connotée années 1950. En y regardant de plus près, le lecteur peut constater que Cooke épure ses dessins pour conserver l'essentiel, tout en s'arrêtant avant l'abstraction. Son objectif n'est pas d'épater son lecteur par sa maîtrise du trait juste, mais de faciliter la lecture de chaque case sans l'abêtir. le lecteur ne ressent jamais l'impression de se retrouver dans un endroit générique, ou que tous les personnages se ressemblent. Cooke a pris soin de concevoir le plan d'ensemble du parc d'attraction avant de mettre l'histoire en images. Dans la cabane du gardien, Parker retrouve une pile de dépliants avec ledit plan des 8 secteurs thématiques, destinés aux visiteurs dont un facsimilé est intégré dans l'histoire, avec une page se dépliant pour reproduire le modèle original. Darwyn Cooke a donc réalisé un travail préparatoire conséquent de "repérage" et de conception des décors.

Cette histoire étant essentiellement tournée vers l'action, le défi pour Cooke était de concevoir des mises en page rendant compte du jeu du chat et de la souris entre Parker et ses poursuivants, mais aussi de ses préparatifs et de sa planification. Cooke maîtrise maintenant parfaitement le ratio entre les images et les textes, et il conçoit régulièrement des séquences muettes. La première du genre est remarquable de concision et d'efficacité : les tonneaux de la voiture sur une chaussée enneigée : en 2 pages (p. 12 & 13) tout est montré avec clarté et limpidité avec la violence des chocs, sans stéréotype visuel. Un peu plus loin, Parker visite 7 pavillons d'attraction pour préparer ses pièges (pages 30 à 36, toujours sans texte). À nouveau tout est limpide, facile à assimiler, avec un degré de suspense introduit pour quelques uns de ces préparatifs pas tous faciles à comprendre. Page 68, Parker évolue dans les cintres d'un théâtre et Cooke joue sur un fort contraste noir / blanc (plutôt bleuté) avec une simple silhouette, évoquant un usage de cette technique un peu moins radical que celui de Miller dans "Sin city", mais tout aussi efficace.

D'un point de vue visuel, ce récit est un régal du début à la fin. Par contre du point de vue de l'intrigue, Darwyn Cooke n'arrive pas à compenser l'absence de mise en avant de la personnalité de Parker. Il se serait agi de Frank Castle ou de Jon Sable, ou d'un autre héros d'action, il n'y aurait pas eu de différence. de ce fait l'absence d'empathie de Parker ne ressort pas, il se contente d'abattre froidement ses opposants pour assurer sa survie, sans plus de spécificité. le scénario réserve bien une ou deux surprises mais elles ne remettent pas en cause le schéma global de l'intrigue. du coup le lecteur a l'impression de lire simplement une bonne histoire de traque d'un dur à cuire retors, mais sans caractéristique vraiment remarquable. Entre 3 et 4 étoiles en fonction de l'intérêt du lecteur pour la dimension graphique de la bande dessinée.

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- le septième - Parker et 6 autres bandits se sont appropriés un magot de 115.000 dollars que Parker est chargé de surveiller en attendant le partage. Il passe du bon temps dans un hôtel avec Ellie une jeune femme. Alors qu'il est sorti acheter à manger, Ellie est assassinée par son amant qui s'enfuit avec l'argent. Parker le coince dans un immeuble en construction.

Comme dans "L'Organisation", Darwyn Cooke a choisi de compléter l'histoire principale par une deuxième. Dans "L'Organisation", il avait ajouté "The getaway face", ici il a choisi une course poursuite rapide, baignant dans une teinte orangée, et dont l'issue ne fait pas de doute, adapté du septième roman consacré à Parker. Comme pour l'histoire principale, la personnalité de Parker ne ressort pas vraiment, mais la mise en page est tout aussi efficace. 3 étoiles.
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Suite à un casse qui a mal tourné, Parker se retrouve isolé dans un parc d'attraction fermé, encerclé par une bande de mafieux et flics ripoux, qui voudraient bien récupérer le magot avant l'arrivée de la Police. Graphisme toujours sec et dynamique, en bichromie, ambiance dure, personnage toujours aussi taciturne et malin, j'accroche toujours. Certaines illustrations sont de véritable icônes, en trois trait il présente un atmosphère, chaque vignette devient un logo, je pense en particulier aux pages où il organise ses pièges dans chacune des attractions, de pures merveilles. Mais dans ce quatrième volet, l'intrigue est plus anecdotique, un seul lieu d'action sur une durée plus courte, un seul contre tous, pas de femmes, peu de retournements de situations, cet épisode est un peu moins délirant, un peu moins pulp que les autres.
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Buffalo, New York, hiver 1969. Après avoir braqué un fourgon blindé, Parker et ses deux complices prennent le large avec le pactole. Poursuivis par les forces de l'ordre, leur fuite tourne mal lorsque le chauffeur perd subitement le contrôle du véhicule sur les routes enneigées. Seul rescapé de l'accident, Parker est contraint de se réfugier dans un parc d'attractions fermé pour l'hiver. Repéré par quelques flics ripoux et un parrain local, il se retrouve pris au piège et n'a d'autre solution que de se préparer à accueillir ses poursuivants...

Après trois albums de haut vol, Darwyn Cooke s'attaque à la suite des aventures de ce truand en costume-cravate créé par le célèbre auteur de polars noirs Richard Stark (alias Donald Westlake). Malgré un grain de sable qui fait une nouvelle fois tout partir en sucette, le héros extrêmement charismatique n'a rien perdu de son charme et de son jusqu'au-boutisme. C'est avec sang-froid et grande méticulosité que ce dur à cuire à l'ancienne compte une nouvelle fois se sortir du pétrin.

Muni d'une reproduction du plan du parc sur une page dépliable, le lecteur suit ce jeu du chat et de la souris avec beaucoup de plaisir. Mettant en avant toute l'ingéniosité de ce hors-la-loi pas comme les autres, ainsi que sa capacité à échafauder un plan pour sortir vivant de cette chasse à l'homme en huis clos, cette quatrième adaptation repose à nouveau sur une narration experte, rythmée par les trouvailles intelligentes de cet homme coincé au sein d'un « Fun Island » qui porte bien mal son nom.

Reprenant tous les poncifs du genre, tout en rendant hommage au polar noir américain à l'ancienne, ce tome s'avère cependant moins épais que les précédents et l'intrigue plus légère, malgré une ambiance toujours aussi sombre. le bonus en fin d'ouvrage, proposant l'adaptation en seulement dix pages de la courte nouvelle « le Septième », ne fait qu'accentuer cette impression de survoler le récit un peu trop rapidement.

Visuellement, le style caractéristique et délicieusement désuet de Darwyn Cooke restitue à merveille l'atmosphère rétro de ce New-York des sixties, gérée par le crime et les gangsters. La bichromie en dégradés de gris accentue encore un peu plus l'aspect vintage du graphisme et permet à l'auteur de jouer sur l'ambiance et les non-dits en multipliant les scènes muettes de toute beauté. du grand Art !

Sans être le meilleur titre de la série, Fun Island demeure une adaptation intelligente, efficace et graphiquement très aboutie, qui ravira tous les amateurs de polars noirs.
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Après un braquage réussi, Parker et ses complices ont un accident de voiture. Seul rescapé, Parker se réfugie avec le butin, dans une fête foraine fermée. Malheureusement, il est repéré par un mafieu et des flics corrompus. La chasse à l'homme commença…

Dans le petit monde de comics-books, la série Parker est une exception. Adaptation des romans de l'auteur Richard Stark (pseudonyme de Donald Westlake), il met en scène Parker. Braqueur émérite à la force impressionnante, il se singularise par une poisse régulière. Tous ses coups (gagnants ou pas) échouent. Parker est un personnage anti-héroïque, froid et criminel, essayant (malgré sa poisse) de faire pencher la balance en sa faveur.
4ème adaptation des romans, Fun Island est un jeu de massacre. Comme son alter-ego romancier, Darwyn Cooke va à l'essentiel de l'histoire. Rien n'est superflu ou laissé au hasard. de l'accident au tir aux pigeons, en passant par la visite du parc (avec une carte), ce ne sont pas certaines actions qui sont importantes, mais comment Parker va s'en sortir. La narration est parfaitement orchestrée, on suit avec jubilation les aventures de ce hors-la-loi pas comme les autres. La mise en forme graphique est dans la même veine. Darwyn Cooke un style épuré. Il essaie, expérimente des séquences (une case représentée par un décor, une onomatopée…), dans le but de maîtriser une narration rapide. Au premier coup d'oeil, le lecteur doit comprendre. Certaines planches empruntent au langage cinématographique de façon évidente et si les adaptations de la série originale sont nombreuses, on se plaît à rêver d'un long-métrage en animation. La bichromie accentue le côté "vintage" des vignettes (l'action se passe dans les années 60).
Un deuxième récit est présent. Intitulé le 7ème, il propose une approche graphique plutôt qu'une adaptation. En effet, si les romans de la série approchent les 200 pages, celui-ci les dépassent allègrement. D'autre part, Parker devient la proie, alors qu'il est généralement le chasseur, mais Darwyn Cooke propose une adaptation (édulcoration ?) de dix pages. Non dénuée d'intérêt, elle reste cependant un peu courte, puisqu'elle se concentre sur l'acte final. Par contre, elle est plus travaillée graphiquement. le trait de l'auteur est une vraie pépite.
Contrairement à l'édition française se distingue d'une part, de l'édition. En effet, la plupart des bandes dessinées américaines sont éditées sous le label Urban Comics. Pourquoi celle-ci est-elle chez Dargaud ? Pourquoi ne pas faire comme l'édition du Cinquième Beatles édité sous les deux éditions ? La deuxième distinction vient de la traduction. A chaque tome son traducteur. Dans l'ordre : Tonino Benacquista, Doug Headline, Matz. Pour ce quatrième tome, c'est Nicolas Richard. Inconnu au bataillon ? Peut-être dans le temple de la bande dessinée (quoique… Il a traduit Metamaus), mais dans le monde des romans, il a traduit une soixantaine d'auteurs dont Thomas Pynchon, Nick Hornby ou Richard Powers. Une longue et riche bibliographie, mais on s'interroge sur la place de ce traducteur dans la série, surtout comparé aux autres. Dans ce cas, pourquoi cette erreur page 40 ? Pourquoi le titre n'est il pas francisé comme le reste de la série ? Dernière distinction et pas des moindres, ce sont les couvertures. Qu'on veuille se différencier des couvertures américaines, soit. Mais que la couverture française soit "juste" un agrandissement de l'originale. les décisions de l'édition nous laissent perplexe…

En parfaite adéquation avec les autres tomes, Fun Island est un récit froid, implacable et machiavélique. On comprend pourquoi Donald Westlake/Richard Stark a donné son approbation à Darwyn Cooke. Narration et graphisme se répondent. Une merveille d'adaptation.
Lien : http://tempsdelivresdotcom.w..
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Curieux choix d'adaptation de la part de Darwyn Cooke. Planque à Luna Park est une Série noire palpitante et originale. Richard Stark parvient à nous faire partager la détresse de Parker, tenaillé par le froid et la faim, traqué par des malfaisants animés d'intention homicides et bloqué au sein d'une île urbaine sans issue. Ceci mis à part, le récit se résume à une suite de pièges tendus par le poursuivi aux poursuivants et l'issue est sans surprise.
La lecture de Fun Island donne un peu l'impression que Cooke s'est retrouvé lui aussi piégé dans un scénario sans issue et sans surprise. Parker se débarrasse froidement et sans grande difficulté de la plupart de ses poursuivants, avant de trouver la sortie. Point. Les décors sont bâclés et le suspense peu évident.
Après les incontestables réussites de ses premières adaptations, cet album déçoit. Quant aux quelques cases consacrées au Septième homme, elles donnent l'impression de n'être là que pour compléter la pagination du bouquin et se présentent comme un hâtif résumé d'un polar qui mérite beaucoup mieux. Il a d'ailleurs donné lieu à un film très correct de Gordon Flemyng en 1968.
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critiques presse (5)
BullesEtOnomatopees
16 octobre 2014
Nous suivons de nouveau Parker dans une très bonne histoire, dans la parfaite continuité des adaptations précédentes et toujours sublimé par Darwyn Cooke. Une série d’une très grande qualité pour les amateurs de hard-boiled.
Lire la critique sur le site : BullesEtOnomatopees
BDGest
23 septembre 2014
Sans être le meilleur titre de la série, Fun Island demeure une adaptation intelligente, efficace et graphiquement très aboutie, qui ravira tous les amateurs de polars noirs.
Lire la critique sur le site : BDGest
Chro
22 septembre 2014
Cooke possède un graphisme bien identifiable, influencé par son expérience dans le dessin animé, notamment le Batman des années 1990, au style très rétro. Il se dégage une délicieuse naïveté de son trait d’inspiration fifties et sixties, où l’on devine encore les rayonnements du rêve américain [...].
Lire la critique sur le site : Chro
BoDoi
12 septembre 2014
Plus court mais plus nerveux que les précédents tomes, ce sombre et violent Fun Island, condensé d’énergie brute et de maîtrise froide, place encore la barre très haut. Du polar comme on l’aime.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Sceneario
29 août 2014
Une nouvelle fois Cooke explose graphiquement, surtout dans la seconde histoire d'ailleurs ! C'est magnifique, avec des cadrages très habiles qui jouent adroitement sur les ombres, les lumière et sur les textures.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (1) Ajouter une citation
L'air nocturne s'emplit d'un son comme un aboiement de mastiff.
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