Dans la fidélité à la devise qu’il s’est depuis longtemps donnée, empruntée à Ramuz : « Il faut que le mot dont on se sert soit un mot senti », Joël Cornuault évoque ici la figure et l’œuvre de Li Ts’ing-tchao, dite Dame Li, née en 1084 et morte aux environs de 1151.
Son propos n’est pas de faire œuvre d’érudit. La lecture de Dame Li, entre autres lectures du domaine chinois, lui fournit la matière d’une nouvelle méditation sur ce thème qui lui est cher, celu...
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