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La Saga du roi Arthur tome 2 sur 3

Pierre-Emmanuel Dauzat (Traducteur)
EAN : 9782253152514
602 pages
Le Livre de Poche (13/03/2002)
4.37/5   120 notes
Résumé :
Au Ve siècle de notre ère, la Grande-Bretagne est au bord des ténèbres.
Les souvenirs de la civilisation romaine sont en train de s'évanouir. Les dieux païens reculent devant l'expansion du christianisme. Les Saxons frappent et grondent aux frontières. Les turbulents royaumes, toujours divisés, n'opposent plus de résistance que grâce à l'énergie du Grand Roi, Uther Pendragon. Mais le Grand Roi vient de mourir. Arthur, le fils illégitime d'Uther, a fait le ser... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
Second tome de la légende d'Arthur. Revisitée à la sauce réaliste.

Dans le coeur de la Bretagne, Arthur impose sa paix au royaume de Mordred, lié par son serment. Mais c'est sans compter les appétits de pouvoir des uns et des autres, qui de trahisons en trahisons laisseront le royaume au bord du précipice.

Sale, violent, glauque. Arthur est bon, mais il a aussi sa part de noirceur, attaché aux serments, la loi et la droiture.
La légende d'Arthur est globalement respectée. On sait donc ce qu'il adviendra de la traîtrise de Lancelot, qui dans le premier tome avait déjà perdu de sa superbe.
Oui, nous sommes au cinquième siècle, on traîne dans la boue, le sang et l'urine. L'honneur des hommes et le respect des serments faits.

Un honneur bien plus haut placé que l'attestation mensongère sur l'honneur de certains, désireux de conserver une petite liberté d'aller et venir au détriment de la santé de tous d'ailleurs.

Les Chrétiens, secte peuplée de fanatiques, de comploteurs, de vils crétins intolérants, à mettre en lumière avec la religion de nos jours. La religion tue et tuera plus d'homme que n'importe quelle maladie.

Tout comme le premier tome, il y a des longueurs et les batailles ne sont plus le centre d'intérêt, mais l'aventure oui. La quête du chaudron (légende plus ancienne est transformée par les chrétien en quête du graal). La paix ou la guerre, les frontières d'un petit royaume. L'envie d'un homme simple, qui ne voulait pas être roi, mais qui le sera.
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Olala...
Il y a des avis, c'est pas des avis, juste un résumé du bouquin, merci les spoils. Mais, ça tombe bien, à part ceux de mes potes, je les lis jamais avant d'avoir fini. Mdrrrr ! (Donc avis à ceux qui me lisent : ne lisez pas les autres avis sur ces bouquins si vous avez l'intention de les lire, parce qu'il y en a un qui vous dévoile tout le bouquin de a à z ! Ce qui est fort dommage parce que ce n'est absolument pas une reprise de la légende qu'on connait tous...)

M'enfin bref, passons... Et voilà un tome 2 englouti encore plus vite que le premier ! Ce qu'il a de bien, c'est que là on est direct dans l'ambiance, on connait tout le monde et on les retrouve avec plaisir, surtout Derfel, c'est mon chouchou, et ça tombe bien c'est le narrateur. Il y a un truc qui me tripote à son propos, mais je suppose que j'aurai une réponse à mon questionnement dans le dernier tome. (si vous lisez un jour cette saga, je suis sûre que vous vous poserez exactement la même question tout au long des tomes, à propos de Derfel et de Sansum... j'en dis pas plus, j'aime pas spoiler, MOI ! Mdrrrr). A ce propos, les diatribes super-bien envoyées contre la violence des chrétiens pour imposer leur religion, c'est juste que du bonheur, un rappel nécessaire quand on se permet de donner des leçons aux autres... Les êtres humains ont trop tendance à oublier leur Histoire, j'en parlais il n'y a pas si longtemps avec un ami sur FB...

Ou l'on retrouve en plein centre du roman le personnage dont Cornwell a fait une lopette et un crevard, et ça, je n'arrive toujours pas à le lui pardonner... Looool ! Ce qui n'enlève strictement rien à l'excellence du bouquin ! Je vous jure que les personnages, ils sont vivants ! Vous avez envie à tour de rôle de les baffer, de leur dire de se réveiller et d'ouvrir les yeux, de les serrer dans vos bras pour les soutenir. Ils sont vivants, et terriblement humains, ô combien, mais c'est pas possible d'être aussi humains...

Bref, ce sont mes premiers bouquins de Cornwell, mais certainement pas les derniers, d'autant que le monsieur écrit de l'historique, précise d'une façon claire et honnête ce qu'il a repris ou pas et ce qu'il a "anachronisé" et pourquoi à la fin. Je suis profondément admirative et fan en seulement deux bouquins, les amis qui aiment ces genres (légendaires, historiques etc), précipitez-vous si vous ne le connaissez pas, c'est que du bonheur !


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On peut toujours compter sur Bernard Cornwell pour bourrer un roman d'aventures jusqu'à la gueule, et ce second tome de la série qu'il consacre à la légende arthurienne est fidèle à l'esprit du premier. Estomacs et âmes sensibles s'abstenir puisque le récit est aussi violent que sanglant. Et tant qu'on y est, défense d'entrer aux hygiénistes parce que les pages de "L'ennemi de Dieu" sont aussi pleines de boue, de crotte, de glaires, de cheveux sales, de corps malpropres, d'haleines fétides et de multiples parasites corporels. Voilà, j'ai prévenu.

Derfel Cadarn, notre héros, qui s'est hissé dans la société médiévale du Vème siècle à la force de son bras armé, réalise le prodige de rester un homme intègre et fiable malgré les moeurs ambiantes mais bon, ça, c'est jusqu'à ce que ses ennemis personnels s'approchent de sa femme et de ses enfants. Oui, parce que dans ce tome, notre oiseau fait son nid. Pour autant, Arthur, Tristan, Lancelot, Sagramor, Guenièvre, Galahad et compagnie sont toujours dans la partie. Il faut beaucoup de monde pour tailler en pièces du Saxon et lutter contre le christianisme.

Si j'ai apprécié retrouver tous les personnages mis en relief par le talentueux conteur qu'est l'auteur, j'ai davantage subi le rythme en dents de scie de ce volet. La narration est vraiment très dense et l'auteur développe de nombreux aspects de la vie de Derfel, jusqu'à la recherche de ses géniteurs et des Trésors magiques de Bretagne. Tout est lié, tout se tient mais j'ai quand même ressenti une forme de lassitude devant un canevas si bien ficelé. Je ne pense pas que cela m'empêchera de lire le dernier tome dans les semaines à venir mais je pourrais aussi bien en rester là sans états d'âme.


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Comme si les temps n'étaient pas assez difficiles comme ça, il a fallu qu'en plus la sortie de "Kaamelott" au cinéma soit repoussée aux calendes grecques! O rage, ô désespoir, ô cruauté! Qu'on me laisse pleurer et tempêter!
Heureusement pour contrer le mauvais sort et adoucir (un peu) l'amertume, j'ai enfin réussi à mettre la main sur les deux derniers tomes de la "Saga du Roi Arthur" orchestrée de main de maître par son auteur Bernard Cornwell et ce ne fut pas sans mal ni difficulté. C'est à croire que les éditeurs français ont un problème avec ce romancier pourtant connu et reconnu outre-Manche pour ne pas rééditer certains de ses romans et m'avoir fait me sentir, une fois les précieux entre mes mains, comme Arthur se saisissant d'Excalibur la première fois et Galaad devant le Graal.
Autant vous dire que je me suis jetée dans leur lecture séance tenante, comme une affamée sur du pain après des jours de cendre et de famine. J'exagère moi? A peine!

"L'Ennemi de Dieu" constitue ainsi le second volet de la saga du Roi Arthur telle que l'a imaginée Cornwell, une saga à la sauce réaliste et qui s'inscrit au coeur de la Bretagne du Vème siècle et il est aussi réussi, voire meilleur, que "Le Roi de l'Hiver", chose d'autant plus remarquable pour moi que souvent dans les trilogies, les seconds tomes me paraissent toujours un peu plus faibles, déceptifs, que les deux autres.

Nous y retrouvons Derfel, l'un des compagnons les plus fidèles d'Arthur, devenu vieux et croupissant dans un monastère chrétien sous le joug de son ancien ennemi, l'évêque Samsum (je ne me lasse pas de me questionner sur ce qui l'a conduit là ce pauvre Derfel...et j'ai peur de ce que m'apprendra "Excalibur"). Pour passer le temps et lui faire plaisir, l'ancien brave raconte à sa jeune souveraine -Igraine- l'épopée d'Arthur et ressuscite pour elle les temps anciens qui furent ceux de sa jeunesse et de la gloire des Bretons; ces temps qui pour violents et sanguinaires qu'ils paraissent, furent aussi ceux d'un homme (trop) idéaliste qui parvint à unir sous une seule et même bannière tous les clans de la Bretagne pour la libérer de la menace saxonne pour un temps.
Le temps d'un rêve.
Seulement, le temps d'un rêve.

Le roman s'ouvre au lendemain de la bataille de Lugg Vale, sur laquelle se terminait "Le Roi de l'Hiver". Arthur en sort vainqueur et pour la Dumnonie et les royaumes bretons, cette victoire semble sonner les débuts d'une ère de paix. Hélas, c'est sans compter sur les hordes saxonnes plus belliqueuses que jamais, sur les chrétiens fanatiques et leur volonté de convertir -de gré ou de force- les païens et d'asservir les anciens dieux contre lesquels Merlin et Nimue entrent en guerre, quitte à plonger la Bretagne dans la guerre civile. C'est sans compter non plus sur les trahisons qui se tissent dans l'ombre mais tout près.

C'est noir, c'est violent, c'est sale, c'est désespéré. Il y a de la boue, il y a du sang. Des cris et des larmes. Des sacrifices, des abjections. C'est sauvage et presque terrible mais prenant, addictif, une réussite et ce sans doute pour plusieurs raisons.
Il y a la fluidité de l'écriture, il y a le rythme enlevé, échevelé du roman qui ne laisse aucun répit au lecteur, pour peu qu'il en réclame -ce qui ne fut pas mon cas-, il y a cette narration laissée à Derfel, personnage attachant et qui permet à la légende d'être racontée sous un angle inédit, il y les allers-retours de ce dernier entre son présent et le passé et cette manie qu'il a de nous torturer en annonçant sans les révéler les grands évènements à venir qui soulèvent autant de questions qu'ils apportent de réponses, nous condamnant ainsi à rester fidèles à son récit jusqu'à la fin. Il y a le respect global de la légende serti dans un cadre historique réaliste et vraisemblable et ce que veut en faire Igraine. Il y a les personnages traités avec beaucoup de complexité et de finesse. Il y a Arthur et ses faiblesses, mais tellement émouvant, tellement grand.
Enfin, il y a au milieu de tout le sang et la boue de l'épopée, des combats et des trahisons, cette mélancolie qui est pour moi indissociable de la légende arthurienne, ce regret lancinant de ce qui fut et qui n'est plus. du rêve fou de cet homme devenu légende qui ne fut qu'un mirage parce qu'il était trop droit, trop épris d'équité et parce qu'il croyait que les autres étaient comme lui.
On oublie souvent cet aspect là du mythe: Arthur a fini par perdre et les saxons et Mordred ont gagné.
C'est d'une tristesse sans fin mais c'est aussi ce qui le rend si grand.

Tout comme la défaite de Troie a rendu Hector plus immortel encore.

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Quelle époque ! Quelle époque épique !
En un mot quelle saga ! Bernard Cornwell nous propose une version très éloignée de ce que nous avions l'habitude de consommer jusqu'à présent, un exemple parmi d'autres, qui aurait imaginé Lancelot ainsi transformé ?
Avec Derfel à la narration nous avons l'éclairage idéal, il est très proche d'Arthur ainsi que de tous les protagonistes de l'histoire, amis comme ennemis et nous naviguons entre réalité historique et libertés prises par l'auteur qui nous livre une fresque titanesque et intense.
Dans la lignée du tome un, nous avons toujours autant de bruit et de fureur, de drames et d'espoirs, du sang et des larmes, c'est grandiose. L'histoire suit son cours de façon logique et cohérente entre montée du christianisme (au dépens du paganisme), invasions saxonnes et ambitions délétères et destructrices.
J'ai apprécié le pouvoir des femmes dans une société paradoxalement patriarcale à travers de beaux portraits.
J'ai aimé également cette réflexion omniprésente sur la loyauté poussée jusqu'à l'absurde.
Il est aussi beaucoup question de gloire et de virilité dans cette saga, la réflexion politique y est également omniprésente avec la religion et les ambitions des uns et des autres.
C'est riche et simplement addictif, c'est brillant et c'est bien car il reste un dernier tome à savourer :)
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Citations et extraits (30) Voir plus Ajouter une citation
Aelle se rendit à Londres avec moi. Je l’avais retrouvé à une demi-journée de marche, au nord de la ville. Il s’était réfugié dans un fort romain où il essayait de rassembler une armée. Il avait commencé par se méfier de mon message, me traitant de tous les noms, nous accusant d’avoir recouru à la sorcellerie pour le battre. Puis il avait menacé de nous tuer, moi et mon escorte, mais j’avais eu assez de bon sens pour lui laisser le temps de vider sa colère. Et il finit par se calmer. Il avait repoussé hargneusement le couteau de Cerdic, mais s’était montré ravi de récupérer son épaisse pelisse. Je ne crois pas avoir jamais été vraiment en danger, car je sentais bien qu’il m’appréciait. De fait, sa colère passée, il mit le bras sur mon épaule pour m’entraîner sur les remparts. « Que veut Arthur ? m’avait-il demandé. — La paix, Seigneur Roi. » Son bras pesait sur mon épaule blessée, mais je n’osais protester. « La paix ! » Il avait craché le mot comme une bouchée de viande avariée, mais sans le mépris avec lequel il avait toujours repoussé l’offre de paix d’Arthur avant Lugg Vale. Il est vrai qu’il était plus fort à cette époque et qu’il était en position d’exiger un prix plus élevé. Désormais, il était humilié, et il le savait. « Nous autres, Saxons, expliqua-t-il, nous ne sommes pas faits pour la paix. Nous nous nourrissons des céréales de nos ennemis, nous nous habillons de leurs laines, nous trouvons notre plaisir auprès de leurs femmes. Que nous apporte la paix ? — Une chance de reconstituer vos forces, Seigneur Roi, sans quoi c’est Cerdic qui mangera vos grains et prendra vos laines. »

Aelle avait souri : « Il a toujours aimé les femmes, lui aussi. » Puis il avait retiré son bras de mon épaule pour regarder les champs qui s’étendaient au nord. « Il me faudra abandonner de la terre, grommela-t-il. — Mais si vous choisissez la guerre, Seigneur Roi, le prix sera encore plus fort. Vous devrez affronter Arthur et Cerdic et, pour finir, vous n’auriez sans doute plus de terre qu’un carré d’herbe au-dessus de votre tombe. » Il s’était retourné pour me lancer un regard malicieux : « Arthur ne souhaite la paix que pour me voir combattre Cerdic à sa place. — Naturellement, Seigneur Roi. » Il rit de ma franchise. « Et si je ne vais pas à Londres, il me traquera comme un chien. — Comme un gros sanglier, Seigneur Roi, dont les défenses sont encore acérées. — Tu parles comme tu combats, Derfel. C’est bien. »
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« Je crois aux Dieux, Derfel, mais les Dieux croient-ils en la Bretagne ? Ce n’est pas la Bretagne d’antan, dit-il avec véhémence. Peut-être étions-nous autrefois un peuple d’un seul sang, mais aujourd’hui ? Les Romains ont fait venir des hommes de tous les coins du monde ! Des Sarmates, des Libyens, des Gaulois, des Numides et des Grecs ! Leur sang s’est mêlé au nôtre, de même que ce sang grouille de sang romain et que s’y mêle du sang de saxon. Nous sommes ce que nous sommes, Derfel, non ce que nous étions jadis. Nous avons une centaine de dieux, maintenant, pas simplement nos anciens dieux, et nous ne pouvons revenir en arrière, pas même avec le Chaudron et tous les Trésors de la Bretagne.
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La saison était belle et inondée de soleil. Arthur était au faîte de sa puissance, Merlin prenait des bains de soleil dans notre jardin avec mes trois fillettes qui lui réclamaient des histoires, Ceinwyn était heureuse, Guenièvre coulait des jours heureux dans son nouveau et magnifique Palais marin avec ses arcades et ses galeries, mais aussi son temple caché, Lancelot paraissait satisfait de son royaume au bord de mer, les Saxons s'entre-tuaient, et la paix régnait en Dumnonie. Mais ce fut aussi, je m'en souviens, un été de misère noire.
Car ce fut l'été de Tristan et Iseult.
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Mes hommes imaginaient que je choisirais pour symbole un masque de loup en écho aux queues de loup que nous avions commencé à porter dans les forêts de Benoïc. Mais j'insistais pour que chacun de nous peignît une étoile à cinq pointes.
- Une étoile ! ronchonna Cavan, visiblement déçu. Il aurait voulu quelque chose de farouche, avec des griffes, un bec ou des dents. Mais je ne voulus pas en démordre. Une étoile : "Seren, car nous somme les étoiles du mur de bouclier".
L'explication leur plut, et aucun ne soupçonna le romantisme désespéré qui m'avait inspiré mon choix.
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L'amour ne se commande pas. Seuls commandent la beauté ou le désir. Voulez-vous un monde juste? Alors imaginez un monde sans rois ni reines, sans seigneurs, sans passion ni magie. Vous aimeriez vivre dans un monde aussi terne ?
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Découvrez la bande-annonce de la série SONY The Winter King, diffusée sur OCS* à partir du 24 octobre 2023. Série du adaptée de "La Saga du Roi Arthur" de Bernard Cornwell.
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