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Critique de Bazart


"La dolce vita n'était pas douce, elle était horrible.” Dino Risi

Oscar Martello un des derniers nabab de Rome, a des doute sur son dernier film qui doit sortir dans dix jours. Un thriller sexy avec mafia .
Pour mettre toute les chances de son coté, c'est à dire que toutes les gazettes du pays parle de lui, il propose à Andrea son scénariste et à Jacaranda l'actrice principale de disparaitre ensemble pendant quelques jours.
Le producteur se chargera de faire croire à une possibilité d'enlèvement, il alimentera la presse de fausses informations jusqu'à la sortie du film où le scénariste et la star réapparaitront en laissant deviner une belle et sentimentale fuite amoureuse. Evidemment rien ne se passera comme prévu.

C'est la “Dolce Vita” des années 2010, Cinecita, Stars et paparazzi, , Pino Corrias, journaliste cinéma à Rome connait son sujet.


Son intrigue lui sert surtout, comme Fellini en son temps et en bon moraliste, à nous montrer que rien n'a changé.
L'envers du décor de l'usine à rêve n'est guère reluisant, sexe, drogue, prostitution, arnaques et trahisons, sa description de ce petit monde est froide et sans espoir.


Certes l'intrigue n'est pas follement originale, mais l'ensemble se laisse lire sans problème surtout avec la grille du cinéma italien des années fastes mis en exergue par la phrase de Dino Risi.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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