Les clichés de
Nan Goldin sont dérangeants par le choix de ses sujets, par ses couleurs, par le coup de poing que l'on reçoit.
Il n'est pas question de voyeurisme, ni de jugement, mais de la réalité de la vie quotidienne de certaines franges de la société américaine, et de la vie tout simplement avec ses émotions.
Tout regard est une vie en soi.