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Critique de nonorella
Avis très mitigé pour ce livre que j'attendais avec impatience.
Je ne sais pas si Dan Brown veut se tourner de plus en plus vers la Science-Fiction ou le commercial, en tout cas je n'aime pas sa nouvelle tournure, qui se détache un peu lus depuis Inferno. Enfin là, c'est de pire en pire avec des éléments de plus en plus rocambolesques pour quelqu'un ayant eu pour but de toujours soulever des questions et semer le doute dans la tête du lecteur. Là, tout reste hypothétique. le symbole perdu m'avait littéralement fait voyager, les films Da Vinci Code et Anges et Démons aussi. Là, c'est une déception. J'aime bien la Science-Fiction mais ce n'est pas ce à quoi je m'attendais, ce n'est pas ce que je voulais et j'aurais du m'en douter avec des ambitions aussi grandes, c'est à dire de répondre aux deux questions de l'humanité.
Quelles sont les deux questions fondamentales que se pose l'humanité depuis la nuit des temps ? Langdon réfléchit un moment.
— L'une d'elles est sans doute : « Comment tout a commencé ? »
— Précisément ! Et la seconde découle de la première. Après « d'où venons-nous ? » vient…
— « Où allons-nous ? »
— Ces deux interrogations sont au coeur de la conscience humaine. D'où venons-nous ? Où allons- nous ? La création de l'homme et son destin. Deux mystères universels.
Il n'y a qu'un seul mystère à résoudre dans ce livre, un seul code de 47 caractères à trouver et là aussi c'est une déception. Nous avons peu de démonstration de la mémoire eidétique de Langdon et peu d'aperçus de son ingéniosité.
La seule chose qui relie ce livre aux autres c'est le schéma, mais étudié avec plus de paresse. Toujours une femme avec Langdon, toujours des courses poursuites. Sans ça, ce ne serait pas un thriller mais j'avoue que cette fois, j'ai eu du mal à voir l'ésotérisme. En tout cas pas autant que les autres fois. Nous avons bien l'église palmarienne mais tout semble avoir été survolé et c'est ce qui ne m'a pas plu.
En fait, on dirait que Dan Brown se sert de ce livre pour faire passer des messages : une secte est dénoncé, la famille royale d'Espagne a une vie sexuelle, il faut se méfier de la technologie même si les progrès de l'informatique sont biens, mais faut faire attention et surtout les questions de foi. Je ne suis pas croyante mais certains personnages même croyant étaient lourds sur la question de l'existence de Dieu et des doutes que l'on pouvait avoir. Il est probable qu'il soit anti-royaliste aussi.
Nous avons énormément de citations, Nietzsche ou encore Churchill et Gaudi sont toutes les dix pages minimum. Je pense que c'est ce qui « remplace » la partie codée habituelle. de voir autant d'art dans l'oeuvre m'a plu et a remonté l'estime que j'ai pour ce livre surtout quand il s'agissait de Blake ou de Gaudi.
Rien n'est inventé, parce que la nature a déjà tout écrit.
L'originalité consiste toujours à revenir aux origines.
Antoine Gaudi.
Néanmoins, j'ai beaucoup aimé le personnage de Winston qui était attachant, c'était le but recherché et c'est réussi. Ca nous montre que même s'il faut faire attention, les nouvelles technologies ont pris une place importante dans notre vie. Ambra Vidal était aussi intéressante. Ce n'était pas une policière ou une scientifique, elle avait surtout des connaissances en art je ne sais pas si c'est ça qui m'a plu mais en tout cas je l'ai trouvé très utile sans être une grosse tête et en plus cette fois, il n'y avait pas le « petit doute », celui où on aimerait la voir avec Langdon. Sa psychologie était très bien travaillé et son « problème » était finalement le moins dérangeant dans l'histoire.
Ah et petite remarque, pourquoi Lattés fait des couvertures de plus en plus moche ? Ils essayent de mettre de plus en plus d'élément en rapport avec le livre et c'est juste moche. Vraiment, faut voir le photoshop des bâtiments sur une ville espagnole (ou pas, on ne sait pas). Alors que les couvertures anglophones ont beaucoup plus de classe.
Lien : https://lesrecitsdhecate.wor..
Je ne sais pas si Dan Brown veut se tourner de plus en plus vers la Science-Fiction ou le commercial, en tout cas je n'aime pas sa nouvelle tournure, qui se détache un peu lus depuis Inferno. Enfin là, c'est de pire en pire avec des éléments de plus en plus rocambolesques pour quelqu'un ayant eu pour but de toujours soulever des questions et semer le doute dans la tête du lecteur. Là, tout reste hypothétique. le symbole perdu m'avait littéralement fait voyager, les films Da Vinci Code et Anges et Démons aussi. Là, c'est une déception. J'aime bien la Science-Fiction mais ce n'est pas ce à quoi je m'attendais, ce n'est pas ce que je voulais et j'aurais du m'en douter avec des ambitions aussi grandes, c'est à dire de répondre aux deux questions de l'humanité.
Quelles sont les deux questions fondamentales que se pose l'humanité depuis la nuit des temps ? Langdon réfléchit un moment.
— L'une d'elles est sans doute : « Comment tout a commencé ? »
— Précisément ! Et la seconde découle de la première. Après « d'où venons-nous ? » vient…
— « Où allons-nous ? »
— Ces deux interrogations sont au coeur de la conscience humaine. D'où venons-nous ? Où allons- nous ? La création de l'homme et son destin. Deux mystères universels.
Il n'y a qu'un seul mystère à résoudre dans ce livre, un seul code de 47 caractères à trouver et là aussi c'est une déception. Nous avons peu de démonstration de la mémoire eidétique de Langdon et peu d'aperçus de son ingéniosité.
La seule chose qui relie ce livre aux autres c'est le schéma, mais étudié avec plus de paresse. Toujours une femme avec Langdon, toujours des courses poursuites. Sans ça, ce ne serait pas un thriller mais j'avoue que cette fois, j'ai eu du mal à voir l'ésotérisme. En tout cas pas autant que les autres fois. Nous avons bien l'église palmarienne mais tout semble avoir été survolé et c'est ce qui ne m'a pas plu.
En fait, on dirait que Dan Brown se sert de ce livre pour faire passer des messages : une secte est dénoncé, la famille royale d'Espagne a une vie sexuelle, il faut se méfier de la technologie même si les progrès de l'informatique sont biens, mais faut faire attention et surtout les questions de foi. Je ne suis pas croyante mais certains personnages même croyant étaient lourds sur la question de l'existence de Dieu et des doutes que l'on pouvait avoir. Il est probable qu'il soit anti-royaliste aussi.
Nous avons énormément de citations, Nietzsche ou encore Churchill et Gaudi sont toutes les dix pages minimum. Je pense que c'est ce qui « remplace » la partie codée habituelle. de voir autant d'art dans l'oeuvre m'a plu et a remonté l'estime que j'ai pour ce livre surtout quand il s'agissait de Blake ou de Gaudi.
Rien n'est inventé, parce que la nature a déjà tout écrit.
L'originalité consiste toujours à revenir aux origines.
Antoine Gaudi.
Néanmoins, j'ai beaucoup aimé le personnage de Winston qui était attachant, c'était le but recherché et c'est réussi. Ca nous montre que même s'il faut faire attention, les nouvelles technologies ont pris une place importante dans notre vie. Ambra Vidal était aussi intéressante. Ce n'était pas une policière ou une scientifique, elle avait surtout des connaissances en art je ne sais pas si c'est ça qui m'a plu mais en tout cas je l'ai trouvé très utile sans être une grosse tête et en plus cette fois, il n'y avait pas le « petit doute », celui où on aimerait la voir avec Langdon. Sa psychologie était très bien travaillé et son « problème » était finalement le moins dérangeant dans l'histoire.
Ah et petite remarque, pourquoi Lattés fait des couvertures de plus en plus moche ? Ils essayent de mettre de plus en plus d'élément en rapport avec le livre et c'est juste moche. Vraiment, faut voir le photoshop des bâtiments sur une ville espagnole (ou pas, on ne sait pas). Alors que les couvertures anglophones ont beaucoup plus de classe.
Lien : https://lesrecitsdhecate.wor..
