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Critique de Wyoming
En terminant la lecture d'un roman de Dan Brown, je ressens une sensation de vide, peut-être d'avoir lu trop vite ces pages si bien construites autour d'un thème auquel on devient habitué si on lit ses livres.
D'abord, une étoile pour la formidable documentation qu'il a utilisé pour élaborer son sujet ce qui permet au lecteur d'apprendre tant sur l'histoire, l'art, la géographie, la littérature.
Une autre étoile pour l'originalité, c'est le cas de le dire, de l'intrigue qui pourrait lasser par moments car des sujets parallèles viennent s'y imbriquer. Bien sûr, elle contient des invraisemblances mais l'authenticité des lieux, oeuvres et théories lui confèrent une réalité saisissante.
Une troisième pour l'Espagne, avec ce début au monastère de Montserrat, puis Bilbao et les arcanes du Guggenheim si bien décrites, ensuite Barcelone avec La Pedrera et la Sagrada Familia qui s'imposait pour une scène de réflexion et d'action intense, en passant par Madrid, El Escorial et même El Valle de los Caidos, lieu tellement contesté que Dan Brown ne souhaite pas voir détruire, non pour honorer le dictateur Franco, mais pour rappeler ses méfaits et les souffrances qu'il a infligées au peuple espagnol.
Une quatrième pour le talent de l'auteur lorsqu'il campe ses personnages. Robert Langdon, on le connaît bien si on a lu les ouvrages précédents. Et les autres, il sait les rendre attachants, mystérieux, prisonniers de leurs démons ou de leurs convictions, admirables dans leurs sacrifices et leurs contradictions.
Enfin, la cinquième pour le héros du livre qui, mourant dans les premières pages, est omniprésent tout au long du roman, peut être à travers sa création d'intelligence artificielle que constitue Winston que l'on peut assimiler à Edmond.
Il en faudrait une sixième pour toutes les références, les traits d'humour, les citations, les hommages à Churchill, les mystères dont l'élucidation est quelquefois si simple. Construire un thriller ésotérique qui reste un très bon divertissement avec autant d'éléments relève d'un mérite et d'un talent que détient incontestablement Dan Brown.
D'abord, une étoile pour la formidable documentation qu'il a utilisé pour élaborer son sujet ce qui permet au lecteur d'apprendre tant sur l'histoire, l'art, la géographie, la littérature.
Une autre étoile pour l'originalité, c'est le cas de le dire, de l'intrigue qui pourrait lasser par moments car des sujets parallèles viennent s'y imbriquer. Bien sûr, elle contient des invraisemblances mais l'authenticité des lieux, oeuvres et théories lui confèrent une réalité saisissante.
Une troisième pour l'Espagne, avec ce début au monastère de Montserrat, puis Bilbao et les arcanes du Guggenheim si bien décrites, ensuite Barcelone avec La Pedrera et la Sagrada Familia qui s'imposait pour une scène de réflexion et d'action intense, en passant par Madrid, El Escorial et même El Valle de los Caidos, lieu tellement contesté que Dan Brown ne souhaite pas voir détruire, non pour honorer le dictateur Franco, mais pour rappeler ses méfaits et les souffrances qu'il a infligées au peuple espagnol.
Une quatrième pour le talent de l'auteur lorsqu'il campe ses personnages. Robert Langdon, on le connaît bien si on a lu les ouvrages précédents. Et les autres, il sait les rendre attachants, mystérieux, prisonniers de leurs démons ou de leurs convictions, admirables dans leurs sacrifices et leurs contradictions.
Enfin, la cinquième pour le héros du livre qui, mourant dans les premières pages, est omniprésent tout au long du roman, peut être à travers sa création d'intelligence artificielle que constitue Winston que l'on peut assimiler à Edmond.
Il en faudrait une sixième pour toutes les références, les traits d'humour, les citations, les hommages à Churchill, les mystères dont l'élucidation est quelquefois si simple. Construire un thriller ésotérique qui reste un très bon divertissement avec autant d'éléments relève d'un mérite et d'un talent que détient incontestablement Dan Brown.
