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San-Antonio grand format tome 1 sur 9
EAN : 9782265089556
420 pages
Fleuve Editions (12/05/2010)
3.98/5   106 notes
Résumé :
A la suite d'une découverte archéologique et du peu d’activité de la police, San-Antonio entreprend de raconter l’Histoire de France à Bérurier, mais une Histoire revue et corrigée, « un petit travail de réfection, quoi ! ».
Nous y apprendrons notamment le rôle fondamental joué par certains ancêtres de Béru, tel le mousquetaire Bérugnan, qui réussit à déconsidérer d’Artagnan aux yeux d’Anne d’Autriche, et n’est autre que le père biologique du futur Louis XIV.... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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Qui l'eut cru ? Ou lustucru comme l'aurait dit Béru, pas si nouille que ça…

Oui, qui l'eut cru que ce premier San-Antonio Hors-série, obtiendrait le record des ventes de 1964 : 350 000 exemplaires ! Bon. Ça, c'est le côté mercantile de l'affaire que nous décrit avec une grande lucidité le célèbre commissaire, en avertissement aux lecteurs : « il faut toujours donner aux adultes l'illusion que certaines lectures leur sont réservées, tout en faisant croire aux enfants que certaines lectures leur sont interdites. de cette façon, les uns et les autres achètent le livre en grand secret et ça fait marcher l'édition. »
Oui, encore, qui l'eut cru, alors qu'aucune rue, aucune école ne porte son nom ; qui l'eut cru que la famille Bérurier se serait illustrée à travers les âges ; de Bérurix au grognard Bérurier, « dit Beau-Gosier, dit Joli-Coeur, dit Pa-pan-la-tunique », tombé au champ d'honneur, après avoir provoqué le fameux mot de Cambronne, à qui il venait de piquer accidentellement le prose de sa baïonnette. On croise Bérugnan, le mousquetaire…

Le premier Hors-Série, Cartonné, sous jaquette illustrée par Dubout, comme toutes les illustrations dans le texte ; un hors-série qu'ado, on se refilait sous le manteau en édition de poche…

Bien qu'amateur de San- Antonioniaiseries, voilà un bouquin que je n'ai pas pu lire d'une traite : il m'a fallu quelques petites pauses et le reprendre en livre de chevet, pour finir… Il y a pourtant matière, mais le bouquin est bâti sur la même trame, quelle que soit l'époque « étudiée » : un vague « cours », suivi d'une lecture incorporant l'arbre généalogique de Bérurier. A la longue, c'est fatiguant.
Reste un bon souvenir de lecture d'ado, au collège… C'est truculent, iconoclaste, improbable… Une autre façon d'aborder l'Histoire… Par la porte de service… Un cours d'histoire qui prend ses aises avec l'Histoire, celle avec un grand H, l'officielle...
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c'est peut-être le livre qui m'a fait le plus rire!
La première fois que j'ai lu SAN-A, j'y ai trouvé tout ce que je recherchais inconsciemment dans un livre, l'humour, l'autodérision, une certaine vision du monde, de la vie, des autres et la haine des cons (il faut faire attention car on est toujours le con de quelqu'un..) L'amour des mots, de la langue sans être vulgaire (si, je vous assure).
On dit que dans chaque SAN-A il y a 10 à 15 pages exceptionnels. Mais moi je prends tout .

Monsieur Frédéric DARD je vous aime.
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Exauçant le souhait des bons Français moyens incarnés par le sympathique et bon vivant couple Bérurier, le beau Don Juan San-Antonio leur raconte avec saveur le côté non moins savoureux de l'Histoire de France. Il s'offre aussi le plaisir de réécrire certains passages en y incorporant leurs supposés aïeuls.

Et on y apprend autant d'anecdotes pertinentes que de bonnes expressions d'argot!
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Dans l'histoire des succès de librairie, les aventures du commissaire San-Antonio se posent là. Pour preuve, succès d'entre les succès, L'Histoire de France vue par San-Antonio est le livre qui obtient le record du nombre de ventes cette année-là en France. 350 000 exemplaires écoulés en 1964, si j'en crois les données récoltées sur l'Internet mondial. Par ailleurs, non content d'être le premier en terme de sorties de caisses, cet épisode inaugure la liste des hors-séries de la franchise. Il sera suivi de huit titres supplémentaires, égrainés au cours des décennies suivantes. Comme les autres, il met principalement en scène Bérurier, ici à travers le âges.

L'oisiveté étant mère de tous les vices, tout démarre par une journée de désoeuvrement. En effet, les brigands font relâche. C'est justement ce jour-là que l'inspecteur Bérurier réalise son étrange ressemblance avec le personnage historique d'une récente découverte archéologique. L'échange qui s'ensuit avec San-A confronte ce dernier aux lacunes culturelles abyssales du Gros. Il entreprend alors d'en combler les principales.

"Le savoir, c'est comme la vérole : ça se refile automatiquement."

Durant quelques centaines de pages, et devant un enchaînement d'auditeurs, Félicie, Pinaud, Berthe, un voisin un peu entreprenant ou encore la comtesse Scatolovitch, notre héros se lance dans la chronologie des membres de la famille Bérurier. Depuis les gaulois jusqu'à la secondes Guerre mondiale en passant par Charlemagne, Henri IV, Louis XV ou Napoléon 1er, autrement dit en respectant l'enseignement tel qu'il était prodigué dans les années 60, il revisite, dépoussière et corrige l'Histoire de France. Bien entendu, alors que les anecdotes fantaisistes côtoient les épisodes parodiques, les grands évènements sont vus à la lumière des petits, les personnalités à celle des anonymes.

Ça se ressent pour ainsi dire à chaque page, l'auteur se régale à raconter cette Histoire, à allègrement l'entrecouper d'interventions grotesques de Béru et à la parsemer de notes de bas de page truculentes. En revanche, j'ai rapidement eu le sentiment qu'il manquait quelque chose à ce livre qui, pourtant, rivalise d'inventivité argotique et offre une démonstration de calembours, néologismes, métaphores et autres contrepèteries. C'est durant l'unique et courte scène de résolution d'une enquête - San-Antonio et Bérurier débarquent chez un jeune homme et, après avoir visité son garage et découvert ce qu'ils cherchaient, lui font passer un sale quart d'heure, ce qui ne les empêchent toutefois pas de poursuivre la leçon - que cela m'a frappé : dans ce roman, l'auteur ne s'encombre d'aucune intrigue. Or, l'absence d'un fil rouge autre que chronologique finit par se faire sentir et, mêlé à beaucoup de plaisir, je dois confesser avoir trouvé quelques longueurs à ce volume. Crime de lèse-majesté ?

Touchez mon blog, Monseigneur...
Lien : https://touchezmonblog.blogs..
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J'avais bien aimé la Vieille qui marchait dans la Mer et n'avais, je crois, jamais lu un "San-Antonio", alors je me suis dit pourquoi pas ? En plus j'apprends que ça a été l'un des plus gros succès et certains disent ici que c'est celui qui les a le plus fait rire.. alors ça devait être bien.
L'humour est une chose assez étrange, très personnel : chacun rit à certains humours et pas à d'autres.
L'Histoire de France par San-Antonio. Bonne idée. Cavanna en a fait une bonne partie, mais en beaucoup plus de livres..
Au tout début j'ai apprécié retrouver cette gouaille argotique comme dans les dialogues de Michel Audiard des Tontons Flingueurs ou des Barbouzes, mais cette truculence surannée étant systématique et répétitive, niveau 6ème, m'a fait de moins en moins bouger les zygomatiques. Que c'est long ! Presque 400 pages ! Donc ce qui apprécient jubilent et moi je me lasse.
Si seulement il s'était contenté de parler d'Histoire mais il entrelace ça dans une vague trame inintéressante de scènes de bouffe (Bérurier et sa femme Berthe ne font que se goinfrer, mais Bérurier n'est pas Gargantua..), une partie de pêche, un passage-à-tabac au commissariat, une soirée mondaine..
Les "lectures", où Dard imagine un ancêtre de Bérurier ayant un rôle clef dans un des épisodes qu'on nous contait dans nos manuels d'école primaire, sont plus sobres et plus amusants.
Vu d'aujourd'hui ce qui m'a le plus lassé ce n'est pas le style - dans le genre, Dard avait un certain talent - mais le fond de cet humour, une mentalité qui existait à l'époque (début des années 60) et qui sont inacceptables de nos jours (ex, les "blagues" de Michel Leeb) : Dard insiste lourdement (ça pèse son poids) sur la virilité hors-norme ou l'homosexualité des rois et des reines. C'est ça qui l'intéresse et qui intéresse, croit-il, les lecteurs : le cul, la perf'.. Dire qu'un roi baise à tout va ça lui plait (mais les Reines qui font pareil sont des salopes, bien sûr). Dès qu'un roi est "marche à la voile et à la vapeur" (Henri II..) ça lui plait moins. Béru résume bien le livre (p.300 en poche) : " ce que je veux c'est de l'action ou de la fesse. Y'a que ça qui me plait dans L Histoire, plus les affaires d'emprisonnement aussi". San-Antonio raconteur et Dard auteur répondent au "goût" de Béru. le contrat est respecté (surtout pour la fesse..)
Si Dard/San-A/ Béru se voulaient une continuation de l'humour de salle de garde ou dit gaulois (je me demande bien pourquoi..), grivois, paillard etc, alors faut croire que ça me fait pas rire, ni même sourire. Je préfère Pierre Dac, Audiard (père), Cavanna, Coluche etc, qui ne faisaient pourtant pas toujours dans la dentelle.
Les San-Antonio, c'était le gagne-pain de Frédéric Dard et comme cela lui apportait beaucoup d'argent il a exploité ce penchant gras et assez poujadiste, à fond. Quel dommage car il a prouvé qu'il était capable de hausser grandement le niveau, même dans ce pénible bouquin : page 307, alors que son alter héros (San-A) se remet d'une grippe il, l'auteur, écrit de magnifiques lignes sur le temps qui passe, comme si l'auteur mettait en pause, ouf, son conteur racoleur..
Une étoile pour cette page et une autre pour plusieurs formules particulièrement créatives.
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Ce qui m'a toujours bouleversé, c 'est
que les hommes aient inventé les distractions. Se distraire, c'est en somme tâcher d'oublier le temps et par conséquent le perdre ! Le perdre vraiment, définititivement et si bêtement ! On va regarder jongler des Chinois, jouer des musiciens, pleurer des comédiennes. On va perdre du fric sur un tapis vert, on essaie de lancer une boule contre un cochonnet ou d'abattre un beau faisan doré qui fait si joli dans le ciel simplement pour oublier la minute qui passe, pour se rapprocher plus vite de la mort, quoi ! On a hâte d'aller se blottir dans ses bras tentateurs. Alors on tire comme des perdus sur la bobine où le fil de notre vie est entortillé. Et ça se dévide à tout berzingue dans le noir des cinés ou devant le petit écran de la télé. Ça se dévide au bistrot, dans les plumards garnis de jolies mômes, à la chasse, à la noce à Lulu, au banquet des futurs anciens je-sais-pas-quoi, à la Galerie Galliera, aux concerts Lamoureux, à l'Alhambra-Maurice-Chevalier, dans les bouquins de San-Antonio, dans France-soir, chez le coiffeur, au Parc des Princes, à bord de votre Triumph rouge. Il n'y a que dans les mines de charbon que ça ralentit un brin, ou bien dans un hall de chez Renault, ou sur la route quand on est cantonnier ou cantinier, ou chez le toubib qui vous demande de ne plus respirer derrière la vitre inquiétante de son périscope à éponges, ou à Fresnes ou chez le réparateur de ratiches, si guestapiste avec sa roulette à turbine qui vous bouffe la tête. Mais le temps ne marche réellement à tout petits pas que lorsqu'on le retient par la veste et qu ' on s'arc-boute . C' est-à-dire dans le train, à condition de ne pas dormir, ou devant sa cheminée...
On regarde grouiller les petites secondes éperdues,
fourmilière toujours affolée. Elles vous cavaJent sur la
main, dans le dos , partout, étonnées de ne pas vous embarquer dans leur frénésie et irritées de vous voir si raisonnable. L'homme sage, c'est celui qui s'étend sur le sol pour y attendre sa fin. Alors, là oui. il a l'illusion de dominer le temps, de lui p ... à la raie, ou plus exactement au cadran. La plupart des gens se figurent que c'est cyclique le temps. ils pensent sincèrement que Ja journée commence à zéro heure pour se terminer à minuit pile et qu'ensuite tout recommence. Ils sont certains que les mêmes secondes, les mêmes minutes et les mêmes heures resservent quotidiennement et le mêmes mois aussi dans l'année. Y'a que l'année qu'ils veulent bien changer, mais pour cacher le caca au chat ils célèbrent J'événement à coup de champagne et de serpentins, ces patates ! Ils croient que c'est jouissif de décrocher le dernier wagon pour en atteler un autre ! Le réveillon, qu'ils appellent ça, sans se gaffer qu'au fond il s'agit en fait d'un petit morceau de veillée funèbre. L'étonnant, voyez-vous, mes amis, c'est que depuis le début de tout, pas une seconde n 'a jamais resservi. Pas une resservira, même quand l'insecte se sera enfin dressé sur ses pattes de derrière pour à son tour imposer son règne et que les Suisses ne feront plus de montres, oui, même alors les secondes continueront de pleuvoir sur l'éternité
et de se renouveler impitoyablement, inexorablement.
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L'Europe qui en avait sa claque de Napoléon c'est aussitôt coalisée pour le virer. Elle était rassurée par le gros Louis XVIII, l'Europe. Elle se disait qu'avec ce gros lard podagre, les faits d'armes ne pouvaint avoir lieu que sur une table de piquet. Napoléon reprenant possession de la boutique, c'était les ennuis garantis. Pas de ça, Lisette! Et je te mobilise à tout va : Anglais, Prussiens, Autrichiens, Russes! Alors c'est le désastre de Waterloo morne-plaine. La Vieille garde meurt. Pas un seul homme n'en réchappe. Cambronne y lance son mot historique et les grognards se laissent hacher sur place en criant : " Vive l'Empereur!"
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Oh ! oui : ne laissez pas traîner ce livre à la portée de toutes les mains. Il est très instructif, mais il n'est pas pour autant destiné aux enfants de choeur. Et si d'aventure les enfants de choeur l'achètent, qu'ils évitent de le montrer à leur parents. Ce petit avertissement est destiné à vous exciter un brin car il faut toujours donner aux adultes l'illusion que certaines lectures leur sont réservées, tout en faisant croire aux enfants que certaines lectures leur sont interdites. De cette façon, les uns et les autres achètent le livre en grand secret et ça fait marcher l'édition.
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— Ce Dagobert, il était aussi chouette à la ville qu’au trône ?
— C’était un sacré paillard, le renseigné-je. Comme il n’avait pas de
lardon avec Gomatrude, sa première femme, il l’a répudiée pour épouser une bergère moins stérile. Seulement, avec la seconde ça n’a pas mieux gazé.
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Béru donne un énergique coup de sonnette sur l’air de « Tagada gada
veux-tu souffler dans ma trompette ». Sa Baleine vient ouvrir. Ce matin, B.B. (Berthe Bérurier) c’est un spectacle à ne pas manquer. Il est réservé toutefois aux adultes, car si un jouvenceau s’amenait chez le Gravos, la vue de cette ogresse le dégoûterait du beau sexe pour le restant de ses jours et le petit malheureux se consacrerait à la jaquette flottante.
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Vidéo de Frédéric Dard
« Cette compilation qui se voudrait anthologie complète […] a pour but de proposer aux lecteurs de revisiter l'oeuvre de l'auteur par la lorgnette des aphorismes, des fragments, des éblouissantes et percutantes réflexions qui ont traversé son esprit entre 1943 et 1987 […]. » (Préalable & remerciements)
« […] La meilleure histoire belge, je vais te la dire, c'est la plus terrifiante de toutes : « Il est une fois Scutenaire et les Belges n'en savent rien ». Et les Français non plus. (...) Il dit tout, mais par brèves giclées, Scut. Il sait la vie, la mort, l'avant, l'après (...), l'amère patrie, le surréalisme, les frites, les cons, les moeurs, les larmes et la façon dont, chez lui, il doit éteindre au rez-de-chaussée avant d'éclairer au premier pour ne pas faire sauter le compteur électrique. » (Frédéric Dard)
« le texte lapidaire est une spécialité belge. […] […] cet orpailleur de l'apophtegme reste merveilleusement méconnu […]. « J'écris, dit Scutenaire, pour des raisons qui poussent les autres à dévaliser un bureau de poste, abattre un gendarme ou son maître, détruire un ordre social. Parce que me gêne quelque chose : un dégoût ou un désir. » […] Scut le météorite a tout lu, tout vu, tout englouti et tout restitué dans un habit neuf. « J'ai quelque chose à dire et c'est très court. » Maximes en percussions et sentences en saccades sont étrillées, débarbouillés au gant de crin. Sa façon de dire merde alentour est à nulle autre pareille. […] […] Réfractaire, récalcitrant, insoumis sous toutes les latitudes, Scutenaire n'est point de ceux qu'on puisse congédier en ambassade. Dans les poussées d'angoisse, il usait, comme d'un remède à toute épreuve, des aspirines de l'humour. Elles ne le guérissaient pas mais l'apaisaient. […] » (Patrice Delbourg, les désemparés, Éditions le Castor Astral, 1996)
« Mes inscriptions sont une rivière de Californie, il faut tamiser des tonnes de sable et de gravier pour trouver quelques pépites, voire des paillettes. Remarquez, sable et gravier ne sont pas matières inutiles. » (Louis Scutenaire)
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Référence bibliographique : Louis Scutenaire, J'ai quelque chose à dire. Et c'est très court., Collection d'Inscriptions, évocations et autres textes rassemblés par Jean-Philippe Querton, Cactus Inébranlable éditions, 2021. https://cactusinebranlableeditions.com/produit/jai-quelque-chose-a-dire-et-cest-tres-court/
Image d'illustration : https://www.kobo.com/us/en/ebook/louis-scutenaire-1
Bande sonore originale : Crowander - Don't You Leave Don't You Leave by Crowander is licensed under an Attribution-NonCommercial 4.0 International License.
Site : https://freemusicarchive.org/music/crowander/from-the-piano-solo-piano/dont-you-leave
#LouisScutenaire #JAiQuelqueChoseÀDireEtCEstTrèsCourt #LittératureBelge
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