Garfield, tome 11 : Ah, le farniente

La passion immodérée de Garfield pour la nourriture semble être une source non négligeable de gags passés et à venir. Il est étonnant de voir avec quelle malice, Jim Davis parvient encore à nous surprendre en inventant des nouveautés. Autant de bons moments assurés. Si la lassitude et le manque d'originalité pointent parfois leur bout de leur nez, quelques changements de thèmes viennent rompre la monotonie.
Ainsi, les membres de Babelio peuvent ici découvrir une manière particulièrement osée pour mettre fin à l'existence d'une araignée (vous savez, l'être vivant à huit pattes qui tisse parfois sa toile quand vous êtes plongés dans un bon livre)... Sans compter les souris, les mésaventures sentimentales de Jon, les déboires du pauvre Odie, la balance maltraitée et le facteur peu épargné... Voilà autant d'intermèdes percutants !
Qu'écrire de plus, sinon qu'il s'agit là d'un album classique, qui se dévore rapidement et assure toujours son petit effet sur le moral (ah la petite bouille de Garfield !!).