Au tour du roi des Cimmériens de se voir adapté directement du film au bouquin, et même pas par son auteur originel ( mes respects, Mr Howard)
Encore une fois, dans ce genre de projet mercantile, rien de nouveau sous le soleil. On vous tripote la fifibre émotionnelle pour que vous lâchiez quelques euros durement (ou pas) gagnés (ou pas).
Le point fort du film ( comment ça le seul? j'ai entendu vous savez !) était la musique de Basil Poledouris ( mes respects), alors la transformation en prend un sacré coup dans l'aile. Même avec le casque audio réglé sur lecture en boucle, le livre peine à convaincre là où le grand frère peinait aussi. Il s'agit ni plus ni moins qu'une nouvelle de Conan, sans le génie d'Howard. C'est explication étant suffisante, je pense ne pas continuer cette chronique !
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Il fut une époque à laquelle nous parlions entre nous de connard le barbant. Soyons honnête, ça se lit mais c'est loin d'être une révolution littéraire. C'est très musculeux, très mâle. On a fait beaucoup plus testostéroné depuis ce qui n'est pas forcément mieux. Si vous n'êtes pas du tout amateur du genre, laissez tomber. Pour les autres, ce n'est pas ennuyeux. ça vaut 10/20 pour moi.
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Je l'avoue , j'ai aimé le film (et je l'aime toujours ) mais la mise en roman du scénario n'a pas grand intérêt .
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Ce qui importe n'est pas l'acier à l'intérieur de la lame mais celui qui fait l'homme.