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EAN : 9782253116622
382 pages
Le Livre de Poche (07/06/2006)
3.41/5   22 notes
Résumé :
Fabriqué au début du XVIIIe siècle par un obscur luthier russe, le Cygne est un violon prodigieux, qui n'a rien à envier aux meilleurs Stradivarius. Paganini, dit-on, aurait emporté l'instrument dans sa tombe.

De nos jours, à Paris, le Cygne obsède un compositeur célèbre, Igor Vissevitch, qui prépare son ultime chef-d'œuvre. Il charge son fils Frédéric de se rendre à Prague pour retrouver la trace de l'instrument.

C’est là que le jeune... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Vous pensez que la musique peut nous faire voyager dans le monde de la mort ?
Et ce que ça vous permet de changer d'allure et de voir différents le monde de l'au-delà ?
La musique apaise les âmes comme on dit !

Sauf qu'un scénario va tout changer et mettre du sang sur le sang de la partition de musique de la vie…

Suspens et intrigante, voilà les deux mots qui vous accompagneront lors de cette histoire...
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L'action de ce roman policier se déroule dans le monde de la musique.

Il y est surtout question d'un violon (Le Cygne) prodigieux, au son sublime, dépassant au point de vue technique un Stradivarius et/ou un Amati.
Selon la légende, Niccolo Paganini aurait été l'heureux possesseur, et, aurait été enterré avec.

Au fil des siècles, le Cygne devient un objet de désir, mais, un secret l'entoure, et, quelques meurtres jalonnent son histoire.
Le mieux est de se plonger dans ce passionnant polar.

Outre l'intrigue policière – mystérieuse à souhait – l'auteur agrémente son récit de nombreuses descriptions techniques comme celle concernant la fabrication d'un violon et/ou de son archet ainsi que des notes historiques comme par exemple celles ayant trait aux chefs d'orchestres.

Le musicien Nicolo Paganini côtoient les personnages fictifs évoluant tout au long du récit. Il y est aussi question d'une partition du ledit Paganini intitulée Mouvement perpétuel. Cette partition, assez difficile à jouer, propose les mêmes notes se répétant à l'infini.

En fait, le Mouvement perpétuel de Paganini n'intervient pas pour rien dans le roman. Il est même la clef de voute de l'intrigue.
En effet, depuis sa fabrication, en 1703, par un obscur luthier russe, ce fabuleux violon est convoité par les meilleurs musiciens, par des violonistes virtuoses, mais, aussi par d'autres individus peu scrupuleux n'ayant aucun rapport avec la musique.
Pour les uns, le Cygne sublimerait leurs façons de jouer, d'être encore meilleur au point de vue musical ou d'obtenir une gloire supplémentaire tandis que pour les autres, seul son aspect pécunier intéresse.

J'ai pratiquement lu en deux après midis ce polar musical. Il m'a été pratiquement impossible de le lâcher tellement il m'a captivé.
Par contre, il faut apprécier la musique classique, et, aimer le violon et Paganini.
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Flash back entre Terezzin (prison pour juif) pendant la seconde guerre mondiale et notre époque, le fil conducteur ? Un violon. Cette intrigue musicale nous tiens en haleine tout du long, les personnages sont attachants et très probants, l'intrigue à rebondissement tiens bien la route ou plutôt la partition dans notre cas , mais ce que j'ai le plus apprécié est le dernier chapitre décrivant de façon émouvante le concert final venant couronner toute l'histoire…
A lire sans retenue même si on n'y connait rien en musique ou en violon !
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Le Cygne est un violon, objet de tous les fantasmes et de toutes les convoitises. Il serait passé entre les mains de Paganini, avant que l'on perde sa trace dans les méandres de l'histoire.
Un vieux compositeur envoie son fils sur la trace du violon, dans un périple historique, plein de dangers et de rebondissements.
A la lecture du résumé, j'ai eu très envie de découvrir ce roman.
Grosse déception. Que de longueurs... Je me suis très vite ennuyée. J'ai fini le roman en sautant des pages et des pages, parce que malgré tout, j'avais envie de savoir le pourquoi du comment... Re-déception. La fin est tirée par les cheveux.
Bref. Pour les grands grands amateurs de violon. Les autres, à vous de voir...
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Igor Vissevitch, violoniste et grand compositeur vivant à Paris, mandate son fils pour acheter un violon à la réputation prodigieuse. le Cygne son archet et sa boite, fabriqués au XVIIIe siècle en Russie. Ils auraient appartenu à Paganini qui se serait fait enterrer avec lui.

Le jeune homme traversera l'Europe pour retrouver le chef d'oeuvre mais il se rendra vite compte qu'il n'est pas seul et que son parcours est jalonné de cadavre.
Agrémenté de nombreuses anecdotes historiques sur Paganini, sur les techniques de jeu du Violon ainsi que sur la composition, vous découvrirez aussi l'enfer de la forteresse de Terezin, camps Nazi où étaient internés les musiciens pour former un orchestre présentable à La Croix Rouge. Bien sûr, avant leur départ vers l'extermination.

Pour finir l'auteur relie dans un Thriller passionnant le "Moto perpetuo" ( Paganini op. 11 n° 6), aux obsessions mystiques du IIIe Reich et au rôle de la suisse dans l'exploitation du génocide. A réserver tout de même aux musiciens passionnés pour la longueur des explications sur le sujet.
Lien : https://www.le-violon.org/vi..
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Il n'y avait pas de musique ici, seulement l'avant-goût d'un au-delà, sombre et diruitcnf déroutant, ou le souvenir essentiel d'une origine qui tessenblait au néant.(p. 336)
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N'être rien et être tout à la fois, voilà ce que l'on demande à l'homme, voilà ce qu'il est. Grand et misérable en un seul et même trait,en un clin ctd'oeil. (p.208)
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Elle lui donnait les nouvelles du monde, ce monde qui ne méritait plus que l'on invoque Dieu pour lui, ce monde de naufrage et de désespoir.(p. 67)
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On se précipitait toujours sur le morceau à travailler, sans prendre le temps de s'appropriér ce que le violon était vraiment : un prolongement de sa propre voix, un instrument de séduction. (p. 78)
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Je ne vous paie pas pour vous poser de mauvaises questions, mais pour m'apporter de bonnes réponses.(p. 227)
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