Une femme se fait proposer sa 26ème année contre le bonheur pour le reste de sa vie.
Ce livre est très étonnant je trouve qu'il n'a pas pris une ride pourtant sorti une première fois en 1947! il a été retouché par l'auteur en 1968 mais reste d'actualité. Chapeau!
Sinon l'histoire est très bien.
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Ce roman ne cesse de me passionné. J'ai le lu depuis mes quinze ans, 22 ans passés, ça continu d'hanter mon esprit!
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Encore un très bon moment passé avec cette lecture, guy de scars a peour moi le mérite de trouver des thèmes originaux pour ses histoires et sait créer une vraie ambiance
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Parce qu’elle aimait les plaisirs, il lui fallait de l’argent, beaucoup d’argent qu’elle dépensait aussi vite qu’elle l’avait gagné… Argent qui, pour elle, ne comptait pas et ne compterait jamais! Il coulerait toujours entre ses doigts. Son seul rêve était d’en avoir assez pour pouvoir satisfaire tous ses caprices. Une fille, en somme, qui avait besoin de vivre intensément et sur un grand pied. Il était même étonnant de penser que toute la sensualité du monde se cachait sous ce prénom angélique et trompeur. Serena… Elle avait la sérénité des êtres qui sont sûrs de leur pouvoir et de sa durée.
La différence essentielle, entre un chagrin d’amour chez une femme ou chez un homme, est qu’un cadeau – même une machine à laver! – peut atténuer rapidement la douleur de la dame tandis que l’homme se souvient toujours de sa peine…
Un vieil axiome prétend que les existences sont tracées d’avance par le Destin et qu’aucun individu ne peut s’y soustraire. Personnellement, je crois au libre arbitre : chacun suit la voie qu’il veut bien choisir. Le «c’était écrit» des Arabes a dû être inventé par un monsieur dont l’âme était envahie par une immense paresse naturelle!
La femme, mon cher, a le plus grand tort de se laisser guider par ses sentiments ou par ses impulsions du moment au lieu de se fier aux seules décisions de son cerceau.
Nul homme, jusqu’à cette minute, n’avait incarné pour elle celui qui efface tout, celui dont une femme a la certitude immédiate de ne plus pouvoir se passer. Et cependant, elle n’était pas égoïste : elle n’avait demandé qu’à aimer ou qu’à être aimée.
"Le chateau du clown" (Plon) est le 40ème roman de Guy des CARS, dont il lit les premières lignes à Bernard PIVOT. L'écrivain définit ce qu'est un roman, alors que le personnage de son livre, lui, a existé. Au cours d'un séjour dans le Sud il visite le château de GROK, château monstrueux ou le clown est enterré. Guy des CARS raconte, comment, jeune journaliste, il a fait une tournée avec le Cirque Pinder. Dans son roman il raconte l'ascension et le déclin de GROK.PIVOT lui parle de sa "pas bonne" réputation dans le milieu littéraire, celui-ci dit qu'il est "lu". Il a des lettres de grands écrivains, GIDE, VALERY, CARCO, COLETTE qui l'ont encouragé. Il parle du seul prix littéraire qu'il ait eu dans sa carrière, du Goncourt qu'il n'a pas eu, et de la bataille que ça a suscité à l'époque. De noblesse authentique, il est fier des militaires de sa famille, notamment celui de l'Algérie. Il se dit "heureux", entouré de gens intelligents...ne se voyant pas d'ennemis.Mot de la langue française qu'il n'aime pas : valableMot que vous aimez bien : l'amitié
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