Sherman, tome 1 : La promesse, New York

J’ai 59 ans, mademoiselle Cruz, c’est plus qu’il n’en faut pour rencontrer des gens qui vous détestent.

La première fois que je l'avais vue, j'avais pressenti qu'elle deviendrait ma femme. Après avoir fait l'amour avec elle la première fois, j'ai su que ce ne serait pas la dernière.

On a dit que le génie n'est qu'une longue patience. Ce n'est pas très exact, mais cela s'applique assez bien au métier de détective.

Mon père était beaucoup trop pauvre pour savoir ce qu’est la justice.

" Tout se paye ici-bas, cette phrase sonne comme une banalité, entenduedes milliers de fois, à tort et à travers.
Et pourtant, je sens qu'elle éveille en moi un sentiment étrange, un malaise. Vous savez, comme un souvenir lointain qui ne veut pas vous revenir à l'esprit.
Quelqu'un avait dû me prédire ça, un jour. N'est-ce pas le genre de choses qu'on vous prédit toujours, sans en croire le moindre mot?"

JAY SHERMAN A PRIS TOUS LES RISQUES EN TEMPS DE GUERRE. POUR MOI, IL EST UN PÈRE ET UN HÉROS. ET IL EST L'INCARNATION DE CE RÊVE AMÉRICAIN AUQUEL NOUS ASPIRONS TOUS!

Certainement pas le meilleur des pères. Mais c'est le seul que j'ai eu.

Mon père était beaucoup trop pauvre pour savoir ce qu'est la justice. (p.12)

Quand on se balade avec des armes on finit par s'en servir.

Et il a fermé les yeux. Moi, je les ai ouverts.