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EAN : 9782848652030
135 pages
Sarbacane (03/01/2008)
4.03/5   71 notes
Résumé :
Marion aime Nicolas à ce point : jusqu'aux coups, jusqu'aux "clients" qu'il la force à voir. Elle s'emploie à le contenter, il s'emploie à l'anéantir.
Autre histoire, autre "conte défait", Ève dévore les hommes, usant du sexe pour tuer l'amour dans l'œuf... Jusqu'au jour où David tente de gagner sa confiance. Du destin de l'une dépendra la survie de l'autre.
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Critiques, Analyses et Avis (27) Voir plus Ajouter une critique
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Deux histoires terribles en alternance, celles de très jeunes femmes : Marion et Eve.

Marion a voulu fuir une famille toxique, un mauvais père, elle est "montée à Paris", s'est retrouvée à la rue, Nicolas lui a tendu la main, elle l'a saisie, tellement heureuse qu'on la regarde « avec des choses dans les yeux » pour la première fois. Nicolas est serveur dans une boîte de nuit, Marion n'a pas de boulot, pas grave, ils s'aiment. Mais après six mois de vie commune, il lui fait comprendre qu'elle pourrait contribuer aux frais du ménage. Rien de plus simple : il a des "clients" pour elle. Elle pige vite. A partir de là tout part en vrille : prostitution (quelques passes par semaine) et violence de son compagnon. Nicolas l'humilie, l'insulte et la frappe sous n'importe quel prétexte. Pourquoi ? Parce qu'il a honte de lui-même ? de ce qu'il lui inflige ? alors il la punit d'accepter tout ça sans moufter ? Mystère des violences conjugales, des relations bourreau/victime, dominant/dominé... Et elle, elle reste, elle l'aime, et « celui qu'elle aime ne peut que dire la vérité ». Et puis « [...] plus elle accepte, plus elle doit accepter. Si son histoire s'arrêtait elle aurait peur de réaliser tout ce qu'il lui a fait. Tout ce qu'elle a fait. Ne pas formuler le gâchis. »

Eve, quant à elle, ne veut pas entendre parler d'amour. Elle a besoin de sexe cru, brutal, et se méprise pour cela. Elle prend le premier venu, c'est facile avec les sites de rencontre sur internet. Elle les déteste ces mecs-là, vite, quelques coups de queue et qu'ils partent, sitôt l'affaire faite, pas de place pour les sentiments, surtout pas de caresses, garder le coeur dur, sec, ne pas s'attendrir. A chaque fois, elle se dégoûte d'avoir succombé, c'est insupportable qu'un type ait pu croire qu'il pouvait lui faire du bien. Elle se redonne du plaisir, seule cette fois, c'est elle qui a le dernier mot, elle n'a besoin de personne.
Quelle blessure a pu engendrer un tel comportement auto-destructeur ? Peut-elle aimer encore ? se laisser aimer ? Prudence !

Antoine Dole est un auteur qui dérange. Comme Karine Giebel, il montre la perversité des relations humaines, sans fards, sans tabous. Mais avec lui, votre pire ennemi n'est pas un serial killer, le danger est à votre porte : ceux qui vous torturent sont des proches - votre père, votre petit copain, vos "camarades" de collège... J'en avais eu un aperçu avec son roman jeunesse sur le harcèlement adolescent 'A copier cent fois'. Ce 'Je reviens de mourir' est tout aussi violent, insupportable, révoltant à hurler. On a envie de le faire lire aux adolescents pour les mettre en garde - mais contre quoi ? L'amour, ce n'est pas toujours facile, certes, mais ça peut être beau aussi - il ne faudrait pas effrayer nos jeunes avec ce tableau d'une extrême noirceur...
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« Mon visage se tord. le ventre au bout de son poing. Ligne d'horizon qui se dresse à la verticale, et la pièce ne mesure plus que quelques centimètres de haut. »

Oh zut alors ! Des années que j'attendais de lire ce roman et voilà que je le referme, un petit peu déçue. C'est la fin, qui est juste le début, de ma petite déception. Ça tient vraiment à peu, dans un sens comme dans l'autre et c'est ce qui fait aussi les joies de la lecture ...être toujours sur un fil. On bascule, ou pas. J'ai pourtant dévoré ce roman, très dur, avec la rage de la détresse et du désespoir, face au désamour de ses femmes, pour elle et l'autre. le style d'écriture choisi m'intéressait beaucoup, car je trouvais qu'il collait parfaitement avec leurs personnalités, de l'enfance tyrannisée à la broyeuse d'hommes en passant par la pute soumise et foudroyée d'amour et de coups. Tous les symptômes d'une pensée déstructurée, avec un côté enfantin se retrouvaient dans les mots et leurs pensées, exprimés de manière brusque, ramassée, comme un poing qui cogne sans avoir eu le temps de le voir venir, de le parer. C'était dur et puissant et j'ai beaucoup apprécié cette force qui arrivait dans le texte et l'intrigue. C'est pour cela que j'attendais une fin qui me décroche la mâchoire, avec un changement de style brutal qui me chavire et je n'ai pas senti que le style allait avec le final. Déstabilisant.

« Je suis vautrée par terre. Les mains contre le ventre, saisir la douleur qui se cache sous ma peau. Sous les coups n'être plus rien... »
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D'un côté Marion, prête à tout accepter par amour pour Nicolas. Aussi bien les coups, qu'il lui donne, que de vendre son corps, aux hommes qu'il lui choisit. Tout accepter plutôt que de le perdre. Aimer quitte à se perdre soi-même.

De l'autre Eve, pour qui internet est synonyme de plans cul. le plus possible, chaque fois qu'elle en a envie. Pas de sentiments, rien que de la baise. Et que surtout les mecs ne s'attardent pas. Elle baise avec mais elle dort seule. On ne se parle pas. On ne s'attache pas. On se vide. On fait le vide. Mais il suffit parfois d'une rencontre, d'une personne pour ébranler ses certitudes. Et si David était cette personne ?

Deux destins mais objectif commun, être aimé…

Antoine Dole frappe très fort avec ce premier roman qui surprend, qui secoue, qui horrifie, par son réalisme cru, sa violence, sa noirceur. Une écriture saccadée mais accrocheuse, qui ferre le lecteur qui ressort de cette histoire le souffle court. Une noirceur qui pourra rebuter mais qui n'est jamais gratuite. Un roman qui pose surtout beaucoup de questions qui ne manqueront pas d'interpeler les jeunes adultes auxquels il est destiné. Jusqu'où peut-on aller par amour ? Doit-on tout accepter par amour jusqu'à s'en oublier soi-même ?

Mention spéciale à une fin à la hauteur du reste de l'histoire...

Avec Je reviens de mourir, Antoine Dole nous livre un roman à lire absolument !

Lien : http://bouquins-de-poches-en..
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« I smoke your brand of cigarettes
And pray that you might give me a call
I lie around in bed all day just staring at the walls
Hanging round bars at night wishing I had never been born
And give myself to anyone who wants to take me home »

Garbage, Cup of coffee

Un cri déchire la nuit, première cassure.
Ce cri est celui de Marion...
Il rompt l'avenir et nourrit l'incertain.

Quelques mois plus tôt, elle arrivait à Paris pour refaire sa vie. Venue de nulle part et nul endroit où aller. Des journées qui se résument à manger, dormir et tenir debout. Elle repense à ce père qu'elle cherche à tuer en elle et le lit défait des nuits interminables. Poupée de verre qui se casse sur le sol d'une enfance innocente. Rien ne sera plus jamais pareil…

« J'ai senti les murs comme quand j'étais enfant, sans porte ni fenêtre, la menace à nouveau, la peur partout. J'ai trouvé l'amour triste, pas ce que j'avais cru, il ne suffisait pas d'aimer pour l'être en retour »

Elle loue son corps aux hommes que Nicolas l'oblige à rencontrer. Obéir pour éviter les coups, pour survivre, aussi par amour. Pour se donner le sentiment d'être aimée de l'homme qui la méprise. Elle recherche l'amour comme on cherche à comprendre les choses qui nous sont incomprises. Comment peut-il en être autrement quand on n'a pas appris à exister pour soi-même et que le besoin de l'autre est plus fort que la hargne qu'il nous offre en retour? Surtout, nourrir l'espoir que les choses changent, d'être ramenée à la vie, à l'abri de tout.

« C'est plus difficile d'aimer quand on n'a pas entrainé le coeur à prendre des coups »

L'instant d'une illusion et tout bascule à nouveau. Rejet et coups de pied dans les côtes. Un simple réflexe, une colère, un dégoût. Un mot de trop de sa part, l'excuse parfaite. Et mourir l'instant d'après… Son corps est une plaie qui se referme chaque fois sur un espoir qui conduit inévitablement à la fatalité de l'amour.

L'âme de Marion s'est fracturée. Entre la solitude et le vide, elle vit dans la honte coupable de ne jamais avoir été à la hauteur. Diminuée par les hommes, dépréciée par la vie…

« Il neige à l'intérieur de moi, comme une saison morte »

Second cri dans la nuit, deuxième cassure.
C'est le cri d'Ève…
Il rompt le silence des nuits paisibles et des après-midi sans fin.

Elle fréquente les sites de rencontre où, sans amour, elle offre son corps à qui est assoiffé de sexe. Ève ne fait pas l'amour, elle baise. Comme une revanche sur la vie, elle méprise et contrôle les hommes, convaincue que de l'espoir et du rêve naît l'envie, et que l'envie conduit à la déception. Surtout, ne pas s'attacher et prendre le dessus sur ses émotions, « donner juste assez pour pouvoir tout reprendre ». Une fois les mecs partis, elle se caresse dans l'intimité de sa chambre pour remplir le vide qu'ils auront laissé en elle.

« J'enfonce les ongles dans le palpable, le bout des doigts râpés à trop chercher l'appui. Rien qui ne se disloque, rien qui ne cède pas. Dans tout ce que j'attrape y a rien d'assez solide pour supporter le poids des choses »

Mais avec David ce sera différent, elle apprendra le manque. La beauté d'être soi. L'acte de se donner et recevoir dans l'amour. Arrivera-t-elle à combattre ces sentiments nouveaux qui émergent en elle sans avoir à se blinder? Sans avoir à craindre et entrevoir un avenir? À ses yeux, l'amour est une forme de mort lente qu'il faut fuir avant d'en crever.

L'âme d'Ève s'est fracturée. Entre la rage et le mépris, elle vit emmurée dans la crainte de ne jamais pouvoir aimer. Diminuant les hommes, dépréciant la vie…

« Les gens qui souffrent n'ont pas besoin de mots pour se reconnaître… »

À travers Marion et Ève, Antoine Dole nous livre le témoignage touchant de deux femmes aussi différentes qu'elles ont tout en commun, une soif d'amour et de tendresse, d'une caresse apaisante, du sentiment de sécurité affective. C'est avec une force inouïe qu'il nous parle de l'instinct de survie, de la confiance et de la force fragile en chacun de nous. Mais au-delà de tout, de ce besoin viscéral d'aimer et d'être aimés en retour…

Lien : http://www.lamarreedesmots.c..
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Deux histoires s'entrecroisent. D'un coté celle de Marion, folle amoureuse de Nicolas. Au point de tout accepter. Les coups, les clients qu'il lui trouve et auxquels elle s'offre contre une enveloppe pleine de cash. de l'autre celle d'Ève, mangeuse d'hommes qui se perd en rencontres d'un soir, juste pour le sexe, sans jamais laisser la moindre chance aux sentiments. Deux femmes totalement perdues dont les routes vont finir par se croiser, pour le pire…


Ce roman est dégueulasse. Dégueulasse dans la mesure où il s'en dégage quelque chose de répugnant. Physiquement et moralement. Et malgré cela, une fois ouvert, impossible de le lâcher. Pas à cause d'une fascination un peu morbide. Juste parce que le phrasé syncopé d'Antoine Dole vous saute à la gorge et vous décrit l'indicible avec une puissance qui submerge. Il vous fouille les entrailles, gratte jusqu'à l'os et vous met les nerfs à vif.


Incroyable de découvrir un premier roman si mature alors qu'au moment de sa publication son auteur n'avait même pas 30 ans. La façon de décrire la douleur physique et morale de ces femmes est d'une justesse et d'un réalisme à couper le souffle. Aucune facilité, pas de déballage gratuit en dépit des apparences. Les mots se gravent au fer rouge sur la rétine, vous mettent mal à l'aise, vous laissent au bord de la nausée. C'est cru, c'est extrêmement violent, c'est d'une noirceur absolue, c'est l'expression du désespoir et de la solitude comme je ne l'ai jamais lue. C'est une fin que l'on ne voit pas venir, sur laquelle on réfléchit longtemps après avoir refermé le livre. On cherche alors à rembobiner le fil du récit pour retrouver les indices et l'évidence apparaît : il ne pouvait pas en être autrement.


Je ne veux pas en dire plus, je me demande même si je n'en ai pas déjà trop dit. C'est un roman que l'on doit se prendre de plein fouet, sans en savoir trop à l'avance. Une expérience de lecture intense et qui bouscule. Vraiment très, très fort !

Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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critiques presse (1)
Lecturejeune
01 septembre 2008
Lecture jeune, n°127 - L’une, Marion, un peu perdue, débarque à Paris. Elle rencontre Nicolas, et dès les premiers instants, pressent la nature de leur relation : « Je savais déjà que c’était lui qui déciderait de mes heures de vie et mes heures de mort ». Nicolas la bat : « Quelques minutes plus tard il m’a frappée. De colère. De dégoût. De réflexe. De l’avoir fait souvent » ; Nicolas glisse des cartes des « clients » à rencontrer. Marion accepte tout, se perd. L’autre, Éve, rencontre des garçons sur Internet, elle consomme du sexe, rapide, violent, sans lendemain : surtout, ne pas risquer de s’attacher.
Un roman noir, cru et désespéré ? Certes. Mais une oeuvre ancrée dans son époque et qui, avec justesse, sonde les affres des solitudes contemporaines. Un roman qui ne serait pas « pour » les adolescents ? Pas « pour » oui bien sûr, mais l’amour absolu, l’amour comme une souffrance, la destruction de soi, et le désir brutal de la chair ne naissent-ils pas alors ? On est troublée – piquée – que l’ouvrage soit écrit par un homme, mais Antoine Dole, dans une langue rugueuse et syncopée donne à entendre l’urgence d’aimer et d’être aimé, les failles de chacun et la douleur de vivre.
Hélène Sagnet
Lire la critique sur le site : Lecturejeune
Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Sur ce site-là, les mecs ne sont pas trop compliqués. Quand elle dit qu'elle est chaude et qu'elle cherche du réel, Eve trouve toujours à qui parler. Suffit qu'elle balance certains mots ou qu'elle parle de ses seins "petits mais fermes et les tétons pointent grave" pour que celui qui jure sur sa fiche ne chercher QUE l'amour s'intéresse à elle à bloc. Et c'est dingue le nombre de mecs qui lui tiennent ce genre de discours pipeau jusqu'à ce qu'elle les aide en prenant les commandes et explique par quel trou elle voudrait qu'ils la mettent.
[...]
Elle en a trouvé un finalement, dispo tout de suite. Dès qu'il y a marqué "bogoss" dans le pseudo, c'est forcément du bon, du vrai, du blaireau 100% qui se la raconte sur le prétendu nombre de connasses qu'il a rendues heureuses. Il est en slip sur la photo qu'il lui a envoyée. Petit corps pas épais, allongé sur son lit, une main sur le téton. Ça la fait hurler de rire, un mec comme lui, qui pose slip mou sur son lit, les parents probablement dans la pièce à côté à lui dire "Arrête de jouer à ce jeu vidéo on passe à table".
(p. 27-28)
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Login. Mot de passe. Connexion. Elle connait un tas de sites de rencontres, de ceux pour minettes qui cherche le big love, et faut être supra conne pour croire qu'on le trouve dans le catalogue des branleurs asociaux qui se tripotent derrière leur écran d'ordinateur.
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Il l'a gardé six mois au fond de lui, petit diable dans sa boite à l'intérieur du ventre. Juste attendre que l'hameçon soit profond dans mon coeur, bien accroché dans mes chairs, pour faire jaillir le monstre. Patient, pour voir si je n'étais pas le genre de fille cinglée qui s’emballe trop vite. Être sûr que je serai prête à tout. Et je l'étais, clair que je l'étais.
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Sur la vitre du taxi, elle frotte avec le doigt pour effacer la buée. Dessine un rond puis le fait disparaître en passant la main dessus. Elle en est sûre, que l’amour est une maladie dont on crève. Les sentiments commencent et se finissent. Une mort lente qui met des mois, des années pous dévorer la vie, quand ce n’est pas en quelques jours que ça détruit tout. Aimer ce n’est pas être heureux, c’est ce qu’on veut nous faire croire. Aimer c’est finir seul dans un monde dépeuplé. Aimer c’est attendre de ne plus l’être, croire en des choses qui n’existent pas.
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On peut tomber de tout en bas. Pour un coeur comme le sien c'est toujours suffisant, se briser, c'est juste une habitude, y a pas besoin d'élan.
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