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EAN : 9782081264472
400 pages
Flammarion (21/11/2012)
2.91/5   82 notes
Résumé :
Ancien sélectionneur de l'équipe de France, Raymond Domenech se reconverti dans l'écriture, du moins le temps d'un livre, avec son ouvrage "Tout seul" à paraître chez Flammarion le 21 novembre.

"Tout seul" retrace les six années (de 2004 à 2010) de la vie du sélectionneur et entraîneur de l'équipe de France Raymond Domenech. Sur 450 pages, le compagnon d'Estelle Denis revient sur les hauts et les bas qu'il a rencontrés avec un cahier central de photos... >Voir plus
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Raymond Domenech s'appuie sur ses carnets de bord pour raconter les coulisses de son passage à la tête de l'équipe de France en tant que sélectionneur, de 2004 à 2010. L'absence de reconnaissance de ses erreurs, après les échecs de 2008 et 2010, lui a souvent été reprochée. Cette fois il reconnaît certaines erreurs, notamment sa mauvaise communication, et semble faire preuve de sincérité en évoquant ses doutes et hésitations, et en dévoilant en partie les relations qu'il entretenait avec les joueurs.

Soucieux de son image, et désirant se justifier, Raymond Domenech règle ses comptes. Son carnet de bord montre qu'il a été dépassé par les évènements et par des joueurs pour la plupart immatures et égoïstes.

Raymond Domenech raconte sa vérité sans faire de révélations réellement surprenantes, ses supporters y trouveront un compte-rendu de ses 6 années à la tête de l'équipe de France, les autres s'accrocheront à l'image désastreuse de la coupe du monde 2010.
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Tout seul/Raymond Domenech (Lu en 2012)
Cette confession deux ans après le fiasco de l'équipe de France en Afrique du Sud, ne pourra que ravir les amateurs de football. Elle apporte en plus des révélations nombreuses et des rectifications, un éclairage sans concession sur le mauvais état d'esprit qui a régné tout au long de cette période précédant le mondial 2010.
Dans un style net et direct, sans langue de bois, l'entraineur retrace sa vie de sélectionneur de l'équipe de France. Les accents de sincérité concernant les erreurs psychologiques et stratégiques commises par lui-même font place de-ci de-là à des critiques acerbes à l'encontre non seulement de certains joueurs mais encore du président de la FFF dont l'incurie n'a d'égale que la maladresse et l'indécision qui ont fragilisé la position du sélectionneur. (« Je comprenais que le président (Escalettes) me soutenait comme une corde le pendu. »
Il apparaît bien que nombres de nos joueurs au talent « incertain » se sont comportés et se comportent encore comme des enfants gâtés et capricieux.
Ce livre bien construit nous apporte un éclairage tout à fait intéressant sur un monde dont les coulisses s'avèrent être peu fréquentables. En tout cas, Domenech n'était pas préparé à un tel combat dont les coups sont venus de toutes parts.
Domenech a laissé parler l'affectif et cela lui a été fatal dans un monde où l'on ne fait pas de sentiment et où il ne faut pas avoir d'état d'âme. La perte d'autorité, l'absence de transmission des valeurs à l'intérieur de l'équipe, l'afflux d'argent, autant de facteurs qui expliquent les dérives perdantes.
J'ai toujours pensé que le matraquage médiatique dont il fut l'objet avait quelque chose d'outrancier. Rappelons-nous que Jacquet en avait aussi fait les frais en son temps, mais que la victoire de 1998 et l'habileté d'Aimé Jacquet en avait estompé les dérives de toutes sortes.
Quelques citations : « La provocation existe sur un terrain ; il faut y résister, c'est tout ; le faible est celui qui craque et réagit. »(au sujet du coup de tête de Zidane)
« Dans le sport de haut niveau, le résultat légitime l'action. »
« J'avais toujours cru à l'éthique, la fierté, la noblesse du foot. »
« Trois ans et demi avant la coupe du monde 2010, le poison était déjà là. » (en parlant d'Anelka)
« Il est toujours difficile de savoir ce que des garçons aussi immatures ont dans la tête. »(à Knysna en 2010)
« Dans le métier d'entraineur, on est souvent content jusqu'au journal du lendemain ! »
« Entre certains journalistes et moi, le climat est donc vite devenu agressif. Je m'en fichais, ce qui constituait une erreur fatale. La force de frappe des médias est supérieure à tout ce que l'on peut imaginer. Si on n'a pas les médias avec soi, on les a contre soi. »
« le temps de la presse n'est ni celui de la réflexion ni celui de la gestion ; il hâte les événements, les dramatise. »
« Malheureusement les journalistes ne se limitent pas au rôle de messager, de lien entre le public et nous. Beaucoup s'érigent en experts et en juges. Rien ne leur échappe, tout les mobilise. Ils sont là pour intéresser, surprendre et vendre. »
« Je me sens réellement fautif d'avoir idéalisé les capacités des joueurs de l'équipe de France. »( juste avant le mondial 2010)
« Cette équipe avait des étincelles, mais pas vraiment de flamme. » (Celle de 2010)
In fine, il apparaît que Domenech, en dépit de toutes ses qualités et du succès de 2006, n'était pas vraiment fait pour ce métier qui requiert une poigne de fer dans un gant de velours. Une certaine usure aussi a fait son oeuvre au fil des mois.
Les règlements de compte entre joueurs notamment ont miné ce mondial et Domenech n'a su y remédier. Mais le pouvait-il vraiment avec des joueurs aux ego aussi démesurés ?
Puisse être instructive cette confession pour Didier Deschamps qui l'aura certainement lue ! Que de leçons à tirer !!
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It's a shame about Ray

Curieux objet que cette autobiographie du pire sélectionneur de l'histoire des Bleus. Ses confidences sur la débâcle historique de Knysna amusent toujours autant plus de 10 ans après les faits. Un faux Candide qui se donne un rôle de choix, celui du type trop gentil pour écarter et de trop fidèle pour trahir. Alors trop bon trop con Raymond ? C'est le postulat du livre choc.

Domenech moins ultra

Si les années Domenech furent le fiasco que l'on sait (à l'exception de la finale 2008) c'est sans aucun doute parce qu'il s'est échiné à construire pendant 6 longues années des groupes ingérables (Anelka, Ribéry, Nasri, Abidal, Evra...). L'ancien sosie de Daniel Day Lewis dans Gangs of New-York semble avoir élaboré méthodiquement une poudrière.

Un exemple flagrant nous est livré avec la sélection de Thierry Henry pour la coupe du monde de 2010. L'ancienne gloire des bleus accuse le poids des années, et malgré un net déclin veut absolument participer à ce qui sera sa dernière grande compétition. Domenech refuse dans un premier temps de le sélectionner puis cède devant l'insistance du joueur. Il étale sa faiblesse aux yeux de tous.

Et cette anecdote illustre son comportement dans les rapports de force. Peu de répondant face aux grandes gueules, et une conviction étonnante qu'il est capable de gérer les lascars mi débiles mi caractériels qui le méprisent en se montrant politique.

Astronomy dominé

L'autre climax du livre étant sa demande en mariage à la journaliste Estelle Denis le soir de l'élimination des Bleus à l'Euro 2008. La déclaration télévisuelle la plus improbable jamais vue en France. A-t-il voulu produire une scène poignante où le perdant se révèle humain et transcende par son amour la trivialité du sport ? Un moment qui rappelle plus la trash télé de "Y a que la vérité qui compte" que la fin émouvante de Rocky 1.

Le livre est une gigantesque justification de ses nombreux errements : son refus de serrer la main du sélectionneur brésilien, la grève des joueurs, l'histoire du car, la taupe, les insultes d'Anelka, Ribéry en claquettes à téléfoot, ses inimitiés avec Wenger, Larqué et tout le monde en fait...

Et ce féru de théâtre et d'astrologie n'hésite jamais à s'en prendre à plus faible que lui. Gourcuff, coupable de n'avoir pas le charisme de Zidane ou de Platini en prend pour son grade : "J'avais envie de lui mettre des gifles avec son air de garçon candide, de pauvre petit malheureux à qui on veut du mal, un meneur c'est un guerrier, pas un suiveur, réveille-toi Yoann". Gifles qu'il n'avait jamais eu envie de les coller aux Anelka, Ribéry and co qui lui on pourtant pissé sur la tête.

A nous la défaite

On flirte souvent avec l'auto-parodie et les blogs humoristiques sur le foot. Les gens autour de lui le prennent pour un con et c'est le seul à ne pas s'en apercevoir. Il s'émerveille de banalités, rapporte les limites intellectuelles de ses joueurs et colle des locutions latines dès qu'il en à l'occasion. Si vous me permettez d'essayer un pastiche, le livre entier est un machin comme ça :

"Demain nous jouons la Pologne en match amical, les gars et moi même passons une mise au vert tout simplement magnifique ! Après le déjeuner William, Florent et Zizou ont même joué aux cartes ! Je leur ai dit carpe diem, William m'a répondu "non belote", c'est pas grave, au moins il m'a répondu pour une fois ! Je pense créer un lien spécial avec William, j'aime sentir une cohésion dans mon groupe, et si la saine compétition à travers ces bouts de papiers peut les mener ad victoriam, c'est aussi bien.
J'ai toujours autant de mal à communiquer avec Zizou, nous sommes semblables lui moi, il n'y a pas de casus beli entre nous mais nous ne donnons pas notre confiance comme ça. J'ai amorcé une discussion très enrichissante avec lui pendant 1h25, il a levé la tête à deux reprises, j'ai senti que mes arguments pénétraient la carapace infranchissable de sa pudeur, je lui dit "zizou, tu es le meilleur prend les choses en main", je crois qu'il n'avait jamais vu les choses sous cet angle... j'ai cru bon d'ajouter, Cælum non animum mutant qui trans mare currunt (ceux qui courent par les mers ne changent que le ciel au-dessus de leur tête ; ils ne changent pas leur âme), mais il m'a juste répondu que Robert m'en voulait de rendre obligatoire les protèges tibias à l'entraînement".

Pour autant, Raymond Domenech n'est pas l'unique responsable de cette sombre période du football français. Jean-Pierre Escalette, et les joueurs sont aussi coupables que lui de ces humiliations répétées lors de ces grandes compétitions.

Mais on reprochera surtout à "Ray" de n'avoir jamais faire de choix forts, de s'être toujours conformé aux attentes de la presse en sélectionnant les joueurs les plus populaires quand bien même leur comportement indigne et leur manque d'implication en Bleu aurait du leur interdire l'accès à Clairefontaine.
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J'ai honte d'avoir lu ce bouquin. Il n'y a rien là-dedans qui ai pu m'intéresser, les joueurs de foot ont un qi de poulets, ils sont narcissiques et individualistes et en gros Raymond est la star de la coupe du monde 2006 mais tout le reste c'est pas de sa faute.
Par contre illumination : à chaque match internationaux on nous vend de la ferveur, l'amour du maillot il semblerait que l'on en est loin, c'est juste un boulot / la blague de Dahan qui se fait passer pour le président de la république m'a bien fait rire.
Moi c'est pas ma faute de l'avoir lu ce bouquin on m'a dit que c'était super en plus je crois bien que le mec qui me l'a recommandé joue au foot.

Allez Raymond t'étais pas très bon avec des joueurs pas bons c'est un peu la faute à tout le monde mais vu que tu les as choisis ces joueurs Ben tu portes le chapeau ça s'appelle la responsabilité.
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Eh oui, je viens de lire les mémoires du sélectionneur de l'équipe de France le plus détesté de tous les temps :D Certains vont dire que sortir ce bouquin deux ans après les événements n'était pas opportun, mais avec un peu de recul, je trouve que c'est au contraire une bonne chose. Il ne s'était pas du tout exprimé depuis le fiasco de la coupe du monde, on n'avait entendu que les avis de ses détracteurs (et qui aurait sérieusement pu le défendre après une catastrophe sportive et médiatique pareille ? ), ça m'intéressait aussi de connaître sa version.

Il raconte donc son expérience de sélectionneur entre 2004 et 2010. Donc sans surprises, certains en prennent plein la gueule, en particulier Ribéry et Anelka, bien sûr, mais aussi Nasri, Benzema, Malouda et Gallas. Plus surprenant, il s'en prend régulièrement à Jean-Pierre Escalettes, l'ancien président de la FFF, dont je pensais que c'était son premier soutien. Apparemment c'était juste pour la forme :D Enfin perso, j'ai toujours pris Escalettes pour un guignol et un incompétent, donc ça ne va pas me faire changer d'avis sur son compte!
Il en veut aussi beaucoup à Toulalan (dont l'avocat a rédigé le communiqué de grève) et quelques autres dont il se sentait proche. Evra est plutôt épargné, Domenech lui reproche essentiellement de ne pas avoir joué son rôle de capitaine en ne venant pas le prévenir de ce qui se passait avant la grève du bus, mais il loue son investissement au sein de l'équipe. D'autres sont égratignés de temps à autres, mais pour autant, ça ne donne pas l'impression d'un mec aigri qui ne sort un bouquin que pour régler des comptes. Il dit des choses intéressantes sur la vie d'une équipe, revient sur ses erreurs, reconnaît même qu'il aurait dû arrêter après le catastrophique Euro 2008. Et c'est en fait pendant cet Euro que les merdes auraient commencé, avec l'arrêt définitif des anciens comme Thuram et Makélélé (dont il ne dit que du bien). Thuram l'avait même averti au moment d'arrêter qu'il y avait des cons dans l'équipe, en particulier Ribéry, et qu'il lui souhaitait bien du courage pour la suite... La mentalité de la jeune génération, qui gagne trop de fric trop vite sans y être préparée, est assez inquiétante pour l'avenir du foot français...
Il fait pas mal d'autocritique, reconnait une partie de ses erreurs et ses sorties médiatiques catastrophiques (en particulier sa demande en mariage à Estelle Denis en direct après l'élimination... D'ailleurs ils ne sont toujours pas mariés !).
Par contre il ne s'attarde pas trop sur les mises à l'écart de Pires, Giuly et Trézéguet, même s'il les assume complètement. Pour Trézéguet et Giuly, en tout cas, il ne m'a pas convaincu. Et puis il ne mentionne pas l'histoire du SMS de Giuly à Estelle Denis non plus... Pour Pires, effectivement, il estimait qu'il était cuit et que Malouda ferait mieux l'affaire, et les performances de ces deux joueurs lui ont donné raison.

Enfin voilà, c'était intéressant, bien écrit, et à lire pour tous ceux qui suivent un peu le foot
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
En sortant, un membre du staff a insisté pour me montrer une séquence tournée aux alentours du stade de Bâle, la veille, pendant le match. J'y découvrais un membre de ma famille aux prises avec des supporters français qui m'insultaient. La colère le rendait si furieux que les choses auraient pu mal tourner. IL se battait tout en criant : « Vous pouvez dire tout ce que vous voulez, bande de connards, mais Domenech, c'est aussi mon nom ! » J'ai craqué en découvrant la séquence, sans pouvoir dire quoi que ce soit, tétanisé par une peur rétrospective autant que par le désespoir. Voir un proche prendre ma défense face à des abrutis a libéré d'un coup l'émotion, la tristesse et la souffrance que je refrénais depuis des heures. Submergé par la rage et le chagrin, j'ai éclaté en sanglots. Aujourd'hui encore, cette scène demeure gravée en moi. A sa seule évocation je sens monter un chagrin intact.
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En ce été 2004, l'état de grâce n'a pas duré. Pas un mois sans harcèlement des médias, sans mauvaise querelle montée en épingle, sans appréhension à l'ouverture des journaux, sans gaspiller mon énergie à résoudre des problèmes inutiles. Tout de suite, j'ai dû avancer par un fort vent de face. Très vite, quoi que je dise ou ne dise pas, quels que soient mes choix ou mes hésitations, les succès et les échecs de l'équipe de France, certains médias ne m'ont plus lâché. Ils ont fabriqué une image largement fausse de moi, cherchant sans cesse à me mettre en porte-à-faux avec l'opinion comme avec mes propres joueurs.
Pendant un long moment, j'ai été plus fort que tout cela, et l'équipe de France aussi. Je ne rejette pas ma part de responsabilité dans la longue suite d'événements qui nous a conduits à l'échec de l'été 2010 ; je souhaite seulement que, comme tout bilan, celui de mon action à la tête des Bleus accorde une place aux acquis positifs à côté des éléments de passif. Et rappeler que je n'ai pas assumé seul la charge de ces six années : d'autres ont apporté leur pierre à l'édifice ou saboté sa construction.
Mais en ce matin du 12 juillet 2004, j'étais loin d'imaginer ce qui m'attendait. Je m'attends toujours au pire, pourtant.
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J'ai essayé de faire passer l'idée de la grandeur de l'équipe de France et de ses exigences, celles qu'avaient montrées les anciens de la génération 1998-2000. Je leur ai dit que ne rien lâcher, une expression aujourd'hui galvaudée, avait alors un sens, et que des anciens allaient partir en nous laissant ce message. « J'espère que vous l'aurez entendu... » J'ai brodé sur ce thème, mais en parlant, je croisais l'ennui de l'un, le vide sidéral dans les yeux de l'autre et le soutien de la plupart. J'ai donné la parole à Lilian Thuram. Il a confirmé, les yeux embués : « Profitez-en bien, cela passe très vite. » Je crois que certains jeunes à qui il s'adressait s'en foutaient complètement. Je l'ai trouvé juste et touchant, exprimant une vraie grandeur. Sachant ce qu'il pense de certains, j'avais un peu peur qu'il se lâche. Et en même temps je l'espérais : cela m'aurait évité d'avoir à le faire un jour, ce qui adviendra inéluctablement si je reste. Des constats fugaces me traversent l'esprit : trop d'individualisme et surtout trop d'inculture. »
Sur tous ces points, j'aurais peut-être dû prévenir le sélectionneur suivant...
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Cette équipe est incapable de se transcender et j'y suis certainement pour quelque chose. Je me suis trompé totalement. Je suis humilié de m'être autant trompé.
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La plupart du temps, l'équipe reste une mosaïque. Tout part en tous sens, dans un désordre fait de coups de génie et d'actes inutiles qu'organise, tant bien que mal, la volonté de donner une leçon au monde entier. On ne monte peut-être pas très haut, mais tout seul - tout en restant convaincu, bien sûr, d'être les meilleurs.
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Dix ans de Sonatine, ça veut aussi dire dix années de travail avec les libraires ! Il n'y aura jamais assez de place pour tous les remercier, mais sans leurs coups de coeur, de gueule, leur investissement et motivation, leur gentillesse et leur énergie, nous n'aurions sans doute pas tenu aussi longtemps. Et des lecteurs comme Estelle DENIS Officiel ou Raymond Domenech auraient pu passer à côté de nos livres !
Un merci tout particulier à Romain et Fred de la Librairie du Tramway, à Caroline de la Fnac et à Antoine du centre culturel de Rennes pour leur participation à la vidéo !
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