Lecture agréable et surprenante aussi avec des objets qui prennent une place importante dans le scénario : le révolver nous surprend là où on ne l'attend pas, la montre de Kennedy nous joue des tours de psy délirants.
On rit bien des dentistes, de la charge féroce contre les pontes du milieu médical, on suit toujours ce même type de dépressif, ses jumeaux "abrutis", sa fille pontifiante, sa femme en chaleur. le ton rappelle
Houellebecq avec le regard désabusé et lucide du loser, de notre monde surfait, sans âme, avec les scènes crues de sexe.
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