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EAN : 978B004UIXZCS
(30/03/2011)
3.73/5   15 notes
Résumé :
Intrigues, complots, vie et amours à la cour d’Henri III, au moment où le duc de Guise créé la Ligue pour accéder au trône de France.
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
Après avoir découvert Dumas à travers son magnifique « la Reine Margot », me voilà embarqué dans la visite de son oeuvre théâtrale, dans le même cadre historique.
Du coup on rajeunit d'une quinzaine d'années, car au moment où Dumas remporte un franc succès avec « Henri III et sa Cour », son activité de romancier appartient encore au monde des Idées accessibles seulement à de petits malins comme Nostradamus ou le Ruggieri de la pièce.

Qu'est-ce que ça raconte ? Eh bien plusieurs choses qui mêlent quête du pouvoir et passion amoureuse parfaitement romantique ; une façon de dire que ça part dans trop de directions différentes pour une oeuvre aussi courte. C'est finalement le contexte le plus important : été 1578, Henri III règne… enfin, il est roi. En fait tout un tas d'individus lui attachent des fils aux bras et jambes afin de tenter de le diriger. Sa mère, Catherine de Médicis, qui veut garder le pouvoir effectif ; les mignons qui, s'ils ne cherchent pas à le dominer, sont susceptibles de l'influencer ; et l'odieux duc de Guise qui souhaite simplement usurper le trône. L'occasion lui est donnée de faire un pas vers le trône alors qu'il renforce la Ligue autour de lui et « demande » au roi d'en désigner le chef. L'amour, c'est celui du mignon Saint-Mégrin pour l'épouse du duc, Catherine de Clèves ; amour dont le duc prendra prétexte pour éliminer son rival, chaud partisan d'Henri III.

On le sait, réaliser des portraits véridiques des personnages historiques est secondaire pour Dumas. Ce qui doit primer, c'est leur force, leurs obsessions, pour qu'ils puissent exploser sur scène. Dans ce domaine, Dumas est très fort. Catherine de Médicis est déjà la manipulatrice intelligente de ses futurs romans, les mignons ont des comportements variés – amoureux passionnés comme Saint-Mégrin ou comiques comme Joyeuse –, le duc de Guise est ivre de pouvoir et d'une ignoble cruauté, surtout avec sa femme (G.R.R. Martin aurait pu s'en inspirer).
Mais c'est la complexité avec laquelle il peint Henri III qui j'ai le plus appréciée. Tout à tour, Dumas le féminise, en fait une guimauve malléable, puis un roi courageux qui brave le duc de Guise avec un sens certain du théâtre. Ce roi est très attachant.

Cependant je crois que j'aurais eu du mal à suivre l'intrigue si j'étais allé voir la pièce plutôt que la lire – elle n'est quasiment plus jouée de nos jours d'ailleurs. Dumas parle ou fait intervenir pléthore de personnages qui ont existé mais qui n'évoquent rien au commun des mortels. Il cause d'évènements que la plupart d'entre nous ont oublié ou n'ont jamais su. Dans le livre, cela nécessite des tonnes de notes de bas de page qui finissent parfois par envahir les trois-quarts de la page en question. Sur scène, tout cela me serait passé par-dessus la tête, j'en ai peur. de plus ; l'auteur a tendance à en rajouter dans l'étalage de la connaissance de l'époque, jusqu'à placer le poème de Ronsard sur « la rose » en entier. Cela fait trop de digressions. A jouer à cela, Dumas est obligé d'achever sa pièce à toute vitesse. Une fin rythmée, mais qui sent la précipitation.
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Lorsqu'on pense à l'oeuvre d'Alexandre Dumas, ce n'est pas le théâtre qui vient spontanément à l'esprit. Il est surtout connu pour ses romans historiques, mais c'est au théâtre qu'il a fait ses premières armes, connu ses premiers succès, et il en écrit tout le long de sa carrière (une centaine de pièces), même si le public l'a moins suivi dans la deuxième moitié du siècle. Néanmoins, c'est l'auteur dramatique romantique qui de son temps a été le plus joué, grâce au nombre important de pièces, mais aussi à leur succès ; c'est le théâtre qui l'a fait connaître, le roman ne venant qu'en second, à partir de l'invention du roman feuilleton en 1836.

Le théâtre était un genre majeur au début du XIXe siècle, presque aussi prestigieux que la poésie, et il s'adressait à un public plus vaste, donc également plus rémunérateur pour un auteur en cas de succès. Deux théâtres cohabitaient pendant la Restauration : le théâtre « officiel » dans le centre de Paris, dont la Comédie Française, le plus prestigieux pour le théâtre sans musique et fréquenté par un public socialement homogène. le classicisme né au XVIIe siècle, continuait à y régner en maître. On l'oublie souvent, mais le classicisme au théâtre a largement survécu au XVIIe siècle, même si c'est en changeant, en s'adaptant au goût de l'époque. Voltaire en a été un grand représentant au XVIIIe, et des épigones ont continué à produire des oeuvres au XIXe, bien oubliés aujourd'hui, comme Casimir Delavigne.

Par ailleurs, un théâtre ouvert à une forme de mixité sociale, existaient en périphérie, dans ce qu'on appelait le boulevard, à la limite voir en dehors de la ville. Beaucoup plus spectaculaire, guère ambitieux sur le plan littéraire, il cherchait le plaisir immédiat du spectateur. le mime, le mélodrame, le vaudeville (à la base tous les deux chantés) étaient les genres pratiqués. C'est là que seront créées les premières pièces romantiques.

Mais les auteurs romantiques ont l'ambition de concilier dans leurs spectacles une ambition littéraire et un art de plaire, de séduire le public, par l'émotion, la sensibilité. Sans oublier la dimension politique de ce théâtre. Dans un régime de droit divin, sans liberté d'expression, le théâtre est un des rares lieux où un public se rassemble et où un auteur peut s'adresser directement à lui. le théâtre est donc strictement encadré, une pièce doit avoir été validée par la censure pour pouvoir être jouée, car une pièce peut avoir une grande portée : n'oublions pas la révolution belge de 1830 déclenchée suite aux représentations de la muette de Portici. Un certain nombre de pièces romantiques jugées trop sensibles vont être ainsi interdites, et le fait de déplacer l'action à des époques passées est un des subterfuges que les romantiques utilisent pour pouvoir aborder des questions politiques qu'il ne serait pas possible de traiter autrement, d'où l'abondance de sujets historiques.

Après quelques essais voire succès en périphérie, les romantiques tentent donc d'investir la Comédie Française, pour donner à leurs oeuvre une audience plus importante et une légitimité plus forte. L'arrivée à la tête de l'institution du baron Isidore Taylor, va leur en donner l'opportunité. Et c'est ainsi que la pièce de Dumas, Henri III et sa cour, sera la première pièce romantique à entrer au répertoire du vénérable théâtre en 1829. On l'a quelque peu oublié, compte tenu de la place qu'occupe ce qu' on a appelé « La bataille d'Hernani » dans la mythologie littéraire. Les premières représentations de la pièce de Hugo, ont certes été un événement très important, mais les romantiques ont sans doute quelque peu réécrit l'histoire, et amplifié la portée réelle de ce qui s'est passé, en gommant quelque peu d'autres événements, comme cette pièce de Dumas, qui a connue un beau succès, peut-être avec insuffisamment de scandale, et qui a, en quelque sorte préparé l'entrée de Hugo dans la place.

La pièce n'est plus jouée maintenant et on le comprend à la lecture. Nous sommes donc au XVIe siècle, à la cour d'Henri III. le roi subit la pression du duc de Guise, qui cherche à de le détrôner, et pour se faire, crée la Ligue, qui doit être un instrument de son ascension au pouvoir. le roi ruse, et essaie de se défendre, conseillé par Catherine de Médicis, sa mère, manipulatrice au possible. A la grande histoire se superpose une histoire inventée : un des favoris d'Henri III, Saint-Mégrin, est amoureux de la femme du duc de Guise, amour partagé, même si non avoué. le duc est maladivement jaloux, et un mouchoir perdu va le convaincre de l'infidélité de son épouse, et le pousser à se venger (rappelons que les romantiques adoraient Shakespeare).

Tout cela est un peu confus, et si on ne connaît pas l'histoire de l'époque, on peut être perdu, les personnages étant nombreux. L'intrigue amoureuse n'occupe au final qu'une place réduite, beaucoup de scènes étant dédiées à la politique, et la conclusion est un peu brusque. La pièce est en fait un peu bancale, entre les scènes de cour, et la marche de la tragédie vers la conclusion inévitable et prévisible. le nombre important de personnages, fait qu'il s'agit surtout de silhouettes, plus que de personnes.

Dumas va beaucoup mieux se saisir de ce contexte historique dans La dame de Monsoreau, le roman lui donnant mieux la possibilité de développer les intrigues politiques et amoureuses, en prenant le temps de mieux expliciter les choses et construire ses personnages. C'est sans doute le plus grand acquis de ce théâtre, fournir à Dumas un matériau qu'il exploitera bien mieux dans le roman.

Au final, c'est par le roman que le romantisme va vraiment s'imposer en France au grand public, la brève poussée théâtrale, malgré toute la légende de la bataille d'Hernani, n'étant qu'un épiphénomène. Pour Dumas, le roman est incontestablement le genre qui convient à son talent et qui lui a permis d'enchanter des générations de lecteurs. Mais il est encore en gestation en 1829, et personne à l'époque n'imagine qu'il sera le grand genre littéraire par excellence tel que nous le connaissons.
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Une belle pièce, mais pour mieux la comprendre il faut avoir déjà lu La Dame de Monsoreau où il s'agit effectivement du règne de roi Henri III, de sa dépendance totale envers sa mère Catherine de Medicis, d'ailleurs elle le considère comme son fils bien aimé.

Sentant, par des voies mystiques, le pouvoir de son fils menacé, la reine se sert alors des querelles entre les uns et autres de la cour pour inciter son fils à les opposer de plus bel, ainsi, ils passeront leur temps à se mesurer les bravoures plutôt qu'à courir après la couronne...la politique de diviser pour mieux régner...
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C'est rare qu'on écrive cela d'une oeuvre de Dumas,qui avait tendance à rallonger et délayer un brin, mais Henri III et sa cour est trop court d'au moins trois scènes ! L'intrigue se met en place, Henri III se débat, sans bien de poigne d'ailleurs, face aux menées du Duc de Guise, celui-ci complote tandis que sa femme se débat entre sa fidélité et son amour pour un jeune comte...et puis Crac!, l'action d'un coup tombe et la pièce finit, un peu en queue de poisson à mon goût.
Comme toujours, à vrai dire, c'est peut être du aussi au fait de la lire, tout simplement, et une mise en scène appropriée doit probablement aider à frapper le lecteur de la fin, sans le laisser frustré.
En ce qui concerne l'intrigue en elle-même, je n'ai pas assez lu sur l'époque pour avoir la moindre idée de la véracité des personnages que Dumas campe ou l'ambiance de l'époque. On y retrouve la classique, et toujours plaisante combinaison de complots politiques mâtinés d'intrigues amoureuses qui réussira plus tard si bien aux Trois Mousquetaires mais ni Catherine de Médicis ni le duc de Guise n'ont la stature de Richelieu, pas plus que le jeune premier n'est D Artagnan. Cela en fait une lecture sympathique, mais pas indispensable, à réserver aux amateurs de théâtre et d'histoire de France.
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Un soir de février 1829 on donne à la Comédie Française une pièce d'un genre très en vogue, un drame historique, écrit par un jeune inconnu, un certain Alexandre Dumas. "Henri III et sa cour" remportera un beau succès, avant que ne disparaissent de nos scènes les drames romantiques et historiques... Sans doute à cause de leur charme désuet, des machineries nécessaires à la représentation.
Le drame se déroule en 1578, au moment où Henri III doit lutter pied à pied avec le duc de Guise et son ambition forcenée. A l'intrigue politique, Dumas ajoute une intrigue sentimentale qui lie la belle duchesse de Guise au duc de Saint-Mégrin, mignon flamboyant du roi. Rien ne manque ici: ni l'amour interdit, ni les gasconnades, ni les traquenards, ni les quiproquos... C'est parfois facile, cousu de fil blanc mais cela fonctionne à merveille et on est emporté par l'histoire. On frissonne pour les héros et on tremble pour eux... On voudrait une fin différente et pourtant on se régale du coup final...
Petit bémol cependant: Dumas était un auteur qui n'hésitait pas à délayer... et pourtant sa pièce est ici presque trop courte. L'intrigue politiques aurait gagné, selon moi, à être davantage développée, de même que l'intrigue amoureuse, notamment à ses débuts...
Néanmoins, on ne peut s'empêcher de se dire, quand on connait "La Dame de Monsoreau" que l'approfondissement de la pièce se trouve là, tant on e retrouve des idées, l'intrigue même... et "La Dame de Monsoreau" est une vraie merveille!
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Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
La première d'Henri III et sa cour à la Comédie-Française, le 11 février 1829, est un événement théâtral. Organisée habilement par Dumas, cette représentation conquiert le temple du classicisme et prépare l'avénement du drame romantique.
Pour s'assurer un succès, le dramaturge profite de la mode des scènes historiques et transpose un épisode de la Ligue puisé des Mémoires de Pierre de L'Estoile.
Saint-Mégrin, compagnon d'Henri III, est amoureux de la duchesse de Guise. L'époux jaloux et puissant fera assassiner l'amant.
Sans se soucier de l'authenticité des faits, et avec un certain humour, Dumas investit les clichés liés au règne d'Henri III : mignons, sarbacanes, cruauté du duc de Guise, contexte politique instable.
Dès lors, son drame utilise l'histoire comme toile de fond et cède davantage aux séductions de la "couleur locale" qu'aux rigoureuses exigences de l'historien....
(extrait du volume intitulé "le théâtre français du XIX° siècle" paru, en 2008, aux éditions "L'avant scène théâtre")
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CATHERINE.

Il me faut un peu plus qu’un enfant, un peu moins qu’un homme… Aurais-je donc abâtardi son cœur à force de voluptés, éteint sa raison par des pratiques superstitieuses, pour qu’un autre que moi s’emparât de son esprit et le dirigeât à son gré ?… Non, je lui ai donné un caractère factice, pour que ce caractère m’appartint… Tous les calculs de ma politique, toutes les ressources de mon imagination ont tendu là… Il fallait rester régente de la France, quoique la France eût un roi ; il fallait qu’on pût dire un jour : Henri III a régné sous Catherine de Médicis… J’y ai réussi jusqu’à présent…
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Henri ; il n’est fort que parce que vous êtes faible ; sous son énergie apparente, il cache un caractère irrésolu... C’est un roseau peint en fer... Appuyez, il pliera
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JOYEUSE: Vive Dieu !... nous sommes en sentinelle, et on ne passe pas.
LE DUC DE GUISE: Tête-Dieu ! messieurs, prenez garde, en croyant jouer avec un renard, d'éveiller un lion.
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JOYEUSE. – Vous verrez que ce damné d’hérétique nous fera battre pendant l’été... Mettez-vous donc en campagne de cette chaleur-là,... avec cent cinquante livres de fer sur le corps !... pour revenir hâlé comme un Andalou...
SAINT-LUC. – Ce serait un mauvais tour à te faire, Joyeuse...
JOYEUSE. – Je l’avoue ; j’ai plus peur d’un coup de soleil que d’un coup d’épée... et, si je le pouvais, je me battrais toujours, comme Bussy d’Amboise l’a fait dans son dernier duel, au clair de la lune...
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5:35 - Générique
RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE : Jean Delacour, Tout l'esprit français, Paris, Albin Michel, 1974.
IMAGES D'ILLUSTRATION : Jean Cocteau : https://filmforum.org/film/jean-cocteaus-orphic-trilogy-testament-of-orpheus Armand Salacrou : https://lotincorp.biz/creation-affiches-publicitaires-etats-des-lieux-ville-douala-1/ Pierre Reverdy : https://lamediathequepatrimoine.files.wordpress.com/2022/09/p5-pr-jeune.jpg Maurice Chapelan : https://www.cambridgescholars.com/news/item/book-in-focus-the-poems-and-aphorisms-of-maurice-chapelan Félicité de Lamennais : https://en.muzeo.com/art-print/felicite-robert-de-lamennais-ecrivain/ary-scheffer Jules Noriac : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jules_Noriac#/media/Fichier:Jules_Noriac_Nadar.jpg Jean de la Bruyère : https://www.ecured.cu/Jean_de_La_Bruyére#/media/File:Bruyere.jpg Henri Duvernois : https://www.delcampe.net/en_GB/collectables/programs/theatre-des-nouveautes-paris-la-guitare-et-le-jazz-de-henri-duvernois-et-robert-dieudonne-1928-1929-1034826850.html Frédéric II : https://www.calendarz.com/fr/on-this-day/november/18/frederick-ii-of-prussia Saint-Évremond : https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_de_Saint-Évremond#/media/Fichier:Charles_de_Marquetel_de_Saint-Evremond_by_Jacques_Parmentier.jpg Louis-Désiré Véron : https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-Désiré_Véron#/media/Fichier:Louis_Véron_-_engraving_-_Mirecourt_1855-_Google_Books.jpg Romain Coolus : https://picclick.fr/Portrait-Romain-Coolus-René-Max-Weill-Scénariste-Cinéma-225296515824.html#&gid=1&pid=1 Comte de Voisenon : https://www.abebooks.fr/art-affiches/Claude-Henry-Fusée-Voisenon
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