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EAN : 9782878627237
Editions Thélème (25/04/2012)
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3.67/5   524 notes
Résumé :
En 1672, Guillaume d'Orange prend le pouvoir en Hollande, profitant du massacre par le peuple des frères Jean et Corneille de Witt, accusés de tractations secrètes avec la France. Accusé à tort de trahison et condamné, le jeune Cornélius van Baerle (filleul de Corneille de Witt), continue de se livrer à sa passion des tulipes en essayant de créer une tulipe noire, dont la découverte sera récompensée par un prix de la société horticole de Harlem. Cet épisode tragique... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (52) Voir plus Ajouter une critique
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L'écoute de ce livre audio fut une double surprise.
C'est la première fois que j'écoutais un livre. Je craignais de ne pas apprécier. Ce fut tout le contraire : j'ai adoré ! Au début, il m'a fallu quelques chapitres pour m'y faire. Et rapidement, j'attendais avec impatience de trouver le moment de me laisser emporter dans ce roman les yeux fermés. J'ai pris beaucoup de plaisir. La voix de Mathurin Voltz est chaleureuse et agréable.
Et puis le roman. Je n'avais encore rien lu d'Alexandre Dumas. Et j'ai beaucoup aimé. Alexandre Dumas accompagne littéralement le lecteur dans son histoire. Il nous parle des tulipes et des femmes, toutes deux suscitant l'amour exclusif. Bien sûr il y a aussi une intrigue politique qui vient bousculer la vie de notre tulipier, bien naïf, ou en tout cas à cent lieues des affaires de l'Etat.
Je ne regarde plus les tulipes de la même façon. Et ce beau livre m'a donné envie de continuer la découverte de ce grand auteur.

Je vous conseille vivement si vous voulez vous évader.
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Nous avons tous plus ou moins des souvenirs de bibliothèque verte (je parle surtout pour les gens qui ont passé trente ans et pas encore soixante-dix). Vous savez, les livres aux couvertures kitsch et de mauvaise qualité (tout relatif d'ailleurs) que personne ne lisait jamais plus dans la bibliothèque de l'école car ils avaient tous un peu trop vécu, un peu trop passés de main en main jusqu'à épuisement de la reliure. Pour ma part, moi qui lisais fort peu en mes jeunes années, il n'y en a qu'un qui marque mon souvenir et, oui, vous avez deviné, il s'agissait de la Tulipe Noire.
Je me suis dis récemment qu'il fallait réactiver un peu mes vieilles images et relire, dans sa version non expurgée l'originelle Tulipe Noire.
Ah ! Dumas, Alexandre Dumas, le père s'entend, notre Pouchkine à nous, mais qui à la différence de ce dernier ne s'enorgueillissait pas d'avoir un ancêtre Maure, comme on disait alors. Il faut dire que d'authentiques abrutis, trop gras, trop épais, trop français de bas fondements, trop petits et veules dans l'âme se chargeaient de lui donner des complexes et de lui rappeler les encoignures exotiques de sa généalogie.
Pourtant Alexandre Dumas n'avait pas à rougir, car il offrait un exemple de ce que le mélange des peuples peut offrir de meilleur. Lui, le maître incontestable — incontesté d'ailleurs — du roman historique, avait très prononcé en lui ce souci des origines, cette propension à exhumer le passé pour le rendre vivant.
Cette fois-ci, il nous conduit en Hollande au XVIIème siècle, le siècle que l'on sait être là-bas, celui de la tulipomanie, sorte de frénésie spectaculaire autour d'un type floral du Proche-Orient récemment introduit dans le nord-ouest de l'Europe, la tulipe.
Certains économistes considèrent qu'il s'agit d'une des toutes premières bulles spéculatives de l'histoire. Vers le milieu du XVIIème s., les bulbes de tulipes pouvaient s'échanger à des prix de folie équivalant à des années de travail d'un homme de la classe moyenne.
Dumas surfe donc sur cet épisode et sur celui de la prise du pouvoir par Guillaume III d'Orange-Nassau sur les Provinces-Unies d'alors (plus tard le même Guillaume sera appelé à devenir également roi d'Angleterre, d'Écosse et d'Irlande), quitte à faire de petites entorses à l'histoire pour faire coïncider les deux événements, normalement pas exactement superposables puisque le haut de la bulle spéculative date de 1637 et la prise de pouvoir de 1672.
Le contexte étant posé, encore faut-il préciser que la ville de Harlem se propose de récompenser d'un prix de 100 000 florins (une forte somme, soyez en sûrs) celui qui serait capable de créer une nouvelle variété de tulipe entièrement noire, uniforme et sans tache. Vous vous doutez également que nombreux sont les horticulteurs, amateurs ou confirmés, qui se lancent alors dans les croisements en tout genre afin d'obtenir cette nouvelle fleur.
Cornélius van Baerle, jeune aristocrate érudit féru de botanique, semble le plus à même de faire éclore cette fleur, sachant qu'il n'hésite pas à consacrer une part notable de sa fortune personnelle à cette réalisation.
Néanmoins, son propre voisin, Isaac Boxtel, de condition plus humble et dans la tulipe depuis plus longtemps que son jeune concurrent, lui aussi dans la course à la tulipe noire, ne décolère pas des extensions qu'a fait construire Cornélius van Baerle et qui lui rognent des heures de soleil, si précieuses à la nature capricieuse des tulipes.
Si l'on ajoute à cela que Cornélius est le filleul d'un des plus farouches opposants à Guillaume d'Orange, que si l'on veut trouver des fautes à un homme, on lui en trouve, on comprend aisément que le malheureux Cornélius se retrouve rapidement et manu militari dans de beaux draps, au fond d'un cachot avec pour seule perspective sa tête sur un billot.
Mais Dumas serait-il vraiment Dumas s'il n'était une jeune et jolie frisonne, amoureuse de Cornélius jusqu'au bulbe ?
Cette histoire est vraiment plaisante, se lit en un clin d'oeil et nous donne à jouir de la délicieuse ironie de l'auteur ici ou là. On peut également lui reprocher certaines facilités dans le scénario et probablement aussi que Rosa est un peu trop gentille, un peu trop bonne, un peu trop fidèle, un peu trop tout, tout de suite et sous tous points de vue, pour qu'on adhère totalement, mais franchement, je ne lui en veut pas à notre Alexandre Dumas national.
Il signe là non pas un chef-d'oeuvre, mais un bon livre, divertissant et agréable, comme il sait si bien les faire, du moins c'est mon avis, c'est-à-dire, pas grand-chose.
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Roman historique situé en Hollande en 1673, à l'issue des négociations entre Johan de Witt et Louis XIV par l'intermédiaire du ministre Louvois. Cornélius van Baerle, filleul de de Witt, cultive des tulipes, fleur nationale en Hollande. Il relève le défi lancé par le président de la société horticole pour créer le premier "la tulipe noire". Malheureusement, à Dordrecht, Cornélius a un voisin jaloux qui cultive la tulipe moins bien que lui. Pour le faire tomber, Boxtel signale au stathoudérat Guillaume d'Orange que son voisin détient des secrets d'Etat. Cornélius, qui est sûr d'avoir réussi à générer l'oignon de la fameuse tulipe noire, se retrouve en prison ! Il a juste eu le temps de sauver trois caïeux de sa tulipe...
.
Alexandre Dumas père nous prend à la gorge dès les premières pages. En effet, nous assistons ici à "l'essor" du fameux Guillaume III, dont j'aimerais lire la biographie, et qui osera s'opposer au roi Soleil. La montée du parti de Guillaume s'appuie sur le massacre des frères de Witt par la foule : ils sont considérés comme des traîtres, ayant plus ou moins vendu le brillant commerce hollandais à la France à la suite d'une victoire française en 1672. Après la chute sanglante des frères de Witt, décrite avec minutie et horreur dans ce livre, les Hollandais vont, sous le commandement de Guillaume, résister longtemps aux troupes nombreuses de Louis XIV qui dira : "Le Prince d'Orange fût mon ennemi mortel".
.
Mais dans le récit, on passe rapidement à ce qui nous intéresse : Cornélius ( avec ses trois précieux caïeux cachés ) emprisonné, Gryphus, le geôlier sadique, ... et Rosa, la fille du geôlier...

"Dans les prisons de Nantes
Dans les prisons de Nantes
Y'avait un prisonnier
Y'avait un prisonnier

Personne ne viens le voir
Personne ne vient le voir
Que la fille du geôlier
Que la fille du geôlier..."
.
Bon, je divague, mais c'est ça, sauf qu'on est dans la prison de Loewenstein.
Après, il y a des situations cocasses superbes. Par exemple :
Cornélius, grand savant, fait des "boulettes" et s'exprime tellement mal, ... au point que je me demande si ce n'est pas un autiste Asperger non détecté, et pour cause ( ! ) ; Rosa est en "concurrence amoureuse" avec la tulipe ; Dumas crée des quiproquos qui me font éclater de rire ; et enfin, ce livre devient une sorte de thriller, de course à la vie, à la mort, pour savoir qui va remporter le prix de la Tulipe Noire des mains du président de la société horticole : )
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Voilà un roman, non seulement pour les tulipiers ou autres membres de confréries horticoles, mais aussi pour les passionnés d'histoire et plus précisément de romans à la Walter Scott. A sa suite, Dumas, Balzac, Hugo et quelques autres ont su mêlé histoire et aventures en créant ainsi un genre: le roman historique.

La passion des fleurs et, en particulier des tulipes, dans la période troublée de l'histoire de la Hollande au XVIIème siècle avec l'arrivée au pouvoir de Guillaume de Hollande, cela peut paraître secondaire. Que nenni! La tulipe noire est aussi improbable que le merle blanc mais ce serait la richesse assurée et un honneur national pour celui ou celle qui créerait la première tulipe couleur d'ébène.

Noire est aussi la période, avec ce peuple de la Haye qui lynche les traitres de la patrie, même supposés affiliées à la France de Louis XIV!

La cruauté se mêle à la beauté des tulipes et le cachot voit naître un amour entre un prisonnier et la fille du geôlier.

Dumas distribue les bons et les mauvais points à des personnages de fiction ou réels, distille ses piques et se venge par l'intermédiaire de son héros en rendant la justice.

La mise en place est ardue, et peut-être un peu tirée par le bulbe et ses caïeux, mais cela finit par un joli bouquet final!
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A cinquante ans passés, je n'avais jamais lu Dumas, persuadée qu'il s'agissait de littérature pour enfant. Or je suis passée vers 12 – 13 ans de la bibliothèque verte, et d'une collection à dos rouge directement aux livres destinés aux adultes. Oh je ne prétendrais pas avoir quitté Les six compagnons pour le rouge et le noir ou Un adolescent d'autrefois. J'ai lu des romans d'anticipation et plus ou moins d'horreur tels La bouche d'ombre (vampirisme), Une lumière entre les arbres (savant fou), ou tout de même L'homme dans le labyrinthe.
Donc je ne connaissais pas directement Dumas, (sauf La dame pâle lu il y a un an ou deux et qui ne m'a laissé aucun souvenir bon ou mauvais). J'ai choisi ce titre pour commencer attendu que le sujet me faisait beaucoup rêver (depuis Semper Augustus d'olivier Bleys).
Beaucoup connaissent le thème, un jeune homme riche s'intéressant aux sciences, s'éprend de la culture de la tulipe et lorsque la société horticole de Harlem propose un prix pour la création d'une tulipe noire, il commence ses essais. Malheureusement pour lui il est le neveu des frères de Witt (personnages historiques), dont l'un Cornélius est condamné injustement pour trahison et tous deux exécutés par la population. Il est dépositaire sans en savoir le contenu d'une correspondance compromettante. Dénoncé par un voisin jaloux, lui aussi passionné de tulipes mais moins apte à réussir, il est arrêté.
Bien sûr en prison, il rencontre l'inévitable fille du geôlier (aussi tendre aux jeunes prisonniers que celle des prisons de Nantes).
Finalement la partie qui m'a plu, c'est celle qui raconte les mésaventures des frères de Witt. Ensuite l'intérêt a baissé pour moi, et encore plus à partir de l'emprisonnement du héros.
Peut-être la grandeur du livre m'a-t-elle échappée, c'est possible, dans ce cas je veux bien qu'on m'éclaire.
Ce serait malhonnête de dire que cette lecture est un pensum. C'est distrayant, pas mal écrit, dans un genre omniscient. Et il avait tout pour plaire aux lecteurs de son époque. Mais si mes prochains essais de Dumas ne sont pas plus enthousiasmants, je reviendrai à ma première opinion : littérature pour les jeunes. Encore que je vois mal les jeunes de 12 - 13 actuels quitter leurs histoires de sorcellerie et de vampirisme pour ce livre.

Critique faite dans le cadre du challenge ABC 2014 – 2015.
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Citations et extraits (52) Voir plus Ajouter une citation
(N. B. : admirez l'alternance des temps verbaux, j'ai choisi cet extrait surtout pour cela.)
- Oh ! oh ! qu'est-ce que cela ? demanda le geôlier.
- Mes pigeons, répondit Cornélius.
- Mes pigeons ! s'écria le geôlier, mes pigeons ! Est-ce qu'un prisonnier a quelque chose à lui ?
- Alors, dit Cornélius, les pigeons que le bon Dieu m'a prêtés ?
- Voilà déjà une contravention, répliqua Gryphus, des pigeons ! Ah ! jeune homme, jeune homme, je vous préviens d'une chose, c'est que, pas plus tard que demain, ces oiseaux bouilliront dans ma marmite.
- Il faudrait d'abord que vous les tinssiez, maître Gryphus, dit van Baerle. Vous ne voulez pas que ce soient mes pigeons ; ils sont encore bien moins les vôtres, je vous jure, qu'ils ne sont les miens.
- Ce qui est différé n'est pas perdu, maugréa le geôlier, et pas plus tard que demain, je leur tordrai le cou.
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Gryphus entra. Il tenait à la main un énorme bâton, ses yeux étincelaient de mauvaises pensées, un mauvais sourire crispait ses lèvres, un mauvais balancement agitait son corps, et dans sa taciturne personne tout respirait les mauvaises dispositions. (...) Cornélius l'entendit entrer, devina que c'était lui, mais ne se détourna même pas. (...) Rien n'est plus désagréable aux gens qui sont en veine de colère que l'indifférence de ceux à qui cette colère doit s'adresser. On a fait des frais, on ne veut pas les perdre. On s'est monté la tête, on a mis son sang en ébullition. Ce n'est pas la peine si cette ébullition ne donne pas la satisfaction d'un petit éclat. Tout honnête coquin qui a aiguisé son mauvais génie désire au moins faire une bonne blessure à quelqu'un.
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– Oh ! monsieur Jean, avait répondu la jeune fille, ce n’est pas le mal qu’on lui a fait que je crains pour lui : le mal qu’on lui a fait est passé.
– Que crains-tu donc, la belle fille ?
– Je crains le mal qu’on veut lui faire, monsieur Jean.
– Ah ! oui, dit de Witt, ce peuple, n’est-ce pas !
– L’entendez-vous ?
– Il est, en effet, fort ému ; mais quand il nous verra, comme nous ne lui avons jamais fait que du bien, peut-être se calmera-t- il.
– Ce n’est malheureusement pas une raison, murmura la jeune fille en s’éloignant pour obéir à un signe impératif que lui avait fait son père.
– Non, mon enfant, non ; c’est vrai ce que tu dis là.
Puis, continuant son chemin :
– Voilà, murmura-t-il, une petite fille qui ne sait probablement pas lire et qui par conséquent n’a rien lu, et qui vient de résumer l’histoire du monde dans un seul mot.
Et toujours aussi calme, mais plus mélancolique qu’en entrant, l’ex-grand pensionnaire continua de s’acheminer vers la chambre de son frère.
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La vie, bien mieux que la vie, le bonheur de cet homme dépendait du simple caprice d'un autre homme, et cet homme c'était un être d'un esprit inférieur, d'une caste infime ; c'était un geôlier, quelque chose de moins intelligent que la serrure qu'il fermait, de plus dur que le verrou qu'il tirait.
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Cornélius, retenant son haleine, toucha du bout des lèvres la pointe de la fleur, et jamais baiser donné aux lèvres d'une femme, fût-ce aux lèvres de Rosa, ne lui entra si profondément dans le cœur. La tulipe était belle, splendide, magnifique, sa tige avait plus de dix-huit pouces de hauteur, elle s'élançait du sein de quatre feuilles vertes, lisses, droites comme des fers de lance, sa fleur tout entière était noire et brillante comme du jais.
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5:35 - Générique
RÉFÉRENCE BIBLIOGRAPHIQUE : Jean Delacour, Tout l'esprit français, Paris, Albin Michel, 1974.
IMAGES D'ILLUSTRATION : Jean Cocteau : https://filmforum.org/film/jean-cocteaus-orphic-trilogy-testament-of-orpheus Armand Salacrou : https://lotincorp.biz/creation-affiches-publicitaires-etats-des-lieux-ville-douala-1/ Pierre Reverdy : https://lamediathequepatrimoine.files.wordpress.com/2022/09/p5-pr-jeune.jpg Maurice Chapelan : https://www.cambridgescholars.com/news/item/book-in-focus-the-poems-and-aphorisms-of-maurice-chapelan Félicité de Lamennais : https://en.muzeo.com/art-print/felicite-robert-de-lamennais-ecrivain/ary-scheffer Jules Noriac : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jules_Noriac#/media/Fichier:Jules_Noriac_Nadar.jpg Jean de la Bruyère : https://www.ecured.cu/Jean_de_La_Bruyére#/media/File:Bruyere.jpg Henri Duvernois : https://www.delcampe.net/en_GB/collectables/programs/theatre-des-nouveautes-paris-la-guitare-et-le-jazz-de-henri-duvernois-et-robert-dieudonne-1928-1929-1034826850.html Frédéric II : https://www.calendarz.com/fr/on-this-day/november/18/frederick-ii-of-prussia Saint-Évremond : https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_de_Saint-Évremond#/media/Fichier:Charles_de_Marquetel_de_Saint-Evremond_by_Jacques_Parmentier.jpg Louis-Désiré Véron : https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-Désiré_Véron#/media/Fichier:Louis_Véron_-_engraving_-_Mirecourt_1855-_Google_Books.jpg Romain Coolus : https://picclick.fr/Portrait-Romain-Coolus-René-Max-Weill-Scénariste-Cinéma-225296515824.html#&gid=1&pid=1 Comte de Voisenon : https://www.abebooks.fr/art-affiches/Claude-Henry-Fusée-Voisenon
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