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Critique de pupucing


Sur dix-huit mille meurtres par an aux États-Unis, seulement deux cents sont le fait de tueurs en série."
John Costello, du haut de ses presque 17 ans, vit sa première histoire d'amour avec Nadia McGowan, l'avenir est devant eux, la vie leur sourit, mais c'est sans compter sur leur rencontre avec le Marteau de Dieu ... Nadia mourra sur le coup, John sera le seul survivant de ce serial-killer, survivant n'est pas un vain mot ...
Vingt-deux ans plus tard, à New York, quatre homicides sont commis en quinze jours, rien ne semble les relier, rien n'indique qu'on a à faire à un tueur en série, les modes opératoires sont différents, et pourtant, un homme va relier ses meurtres les uns aux autres, chacun d'eux ayant été commis à la date "anniversaire" d'un meurtre passé, au détail près : âge des victimes, mise en scène, jusqu'aux vêtements !
Cet homme n'est autre que John Costello, devenu documentaliste au City Herald, John qui ne se met jamais en avant, qui vit dans l'ombre, voire comme une ombre, qui jamais ne dévie de ses habitudes ...
Contre toute attente, il va accepter de collaborer avec l'inspecteur Ray Irving !

Pour moi, lire RJ Ellory, c'est toujours l'assurance de passer un très bon moment, de prendre véritablement mon pied, et de souffrir, beaucoup souffrir ;)
Roger a cette plume qui n'appartient qu'à lui, quand je le lis, je sais que c'est lui, il a sa voix propre, à l'instar du Maître King, ce sont les deux seuls auteurs à avoir leur voix si particulière et reconnaissable entre toutes.
Une fois encore Roger m'a embarquée dans son monde, cruel, pessimiste, où tout espoir de beauté et de bonté semble vain, notre monde actuel en quelque sorte !
Plus qu'un roman, une fois encore on en apprend énormément , ici sur les serial-killers, on sent les connaissances de l'auteur, le travail de recherche qui rendent ce roman encore plus prenant et addictif.
J'ai adoré le duo Irving/Costello, avec un immense coup de coeur pour ce dernier, un personnage qui m'a touchée, qui m'a émue et me hantera longtemps !!
Je ne sors jamais indemne d'un roman de Roger, mais, fuck, j'adore ça
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