Je sais pas comment ça se passait dans les années 90 pour traduire une bande dessinée américaine, mais là c'est quand même un peu une grosse blague. Il y a des phrases qui ne se terminent pas, donc on a une bulle surchargée de texte avec une phrase arrêtée en plein milieu, sûrement par manque de place. Ça empêche la fluidité de lecture, c'est tellement énervant !
Au-delà de ça, je me demande vraiment ce que je suis en train de lire.
Garth Ennis a vraiment un don pour écrire (et décrire) le malaise.