On aime ou pas, on est choqué ou pas. Mais les scènes les infos du 20h et leur lot d'horreurs me choquent davantage.
Un jour, un de mes amants m'a dit qu'il y avait en chaque femme une putain qui sommeillait et qui se révélait plus ou moins suivant la nature de chacun. Et bien quand certaines scènes m'excitent je me demande s'il n'avait pas raison.
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La perversité de l'homme, il n'y a pas un personnage qui soit clean ici. Il faut se faire à l'idée que ce livre est un livre purement pornographique où les hommes bien pervers aiment prendre de force les femmes en chaleur qui ne disent pas vraiment non.
C'est malsain surtout pour certaines histoires, on a du viol, de l'inceste et toutes sortes de choses.
Une fois qu'on sait tout ça, on lit ou on ne lit pas.
J'ai dû avoir envie de lui un truc bien malsain car je n'ai pas detesté ce livre et j'ai même trouvé des passages excitants (bordel il faut le faire)
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— Et comme ce qui se passe pendant le sommeil ne compte pas, gloussa Jonas. Nous en profitons, ma chère cousine...
— La chair est si faible », fit Jeremy.
Mary n’en croyait pas ses oreilles. Junior écarquillait les yeux. Leur propre sœur... « Vous ne voulez quand même pas dire que...
— Mais puisqu’elle dort, est-ce que ça compte ? Pour elle, ce n’est pas un péché. Même si elle sent des choses, elle pense qu’elle rêve.
— Nous prenons tout le péché sur nous, ricana Jeremy. C’est bien pratique, avouez, cousine ? Notre sœur a vraiment un très joli corps , vous savez ? Et du tempérament... Nous passons d’excellentes soirées, en sa compagnie. C’est beaucoup plus amusant que la télé !
— Frotte-moi le bouton, Dad... avec le doigt, gémissait-elle, en même temps que tu l’enfonces... et après, quand tu la retires en arrière, retire-la presque toute, pour que je la sente bien glisser quand elle rentre... c’est si bon...
— D’accord, ma chérie... comme ça ?
— Oh oui... voilà, c’est parfait... tu es un as !
— Et le trou du cul ? Il ne te fait pas trop mal... Salaud de Bob Picart !
— Non, ça peut aller. Et même tu pourrais entrer ton doigt dedans quand tu retires la bite... mais doucement hein ?... et mouille-le bien d’abord...
Un cigare éteint pendait de sa bouche, comme un étron sur le point de se détacher.
.../...
j’ai eu tort de vous faire confiance, Ted. Vous m’aviez dit que vous vouliez seulement les voir, que vous ne les toucheriez pas... et vous me les sucez ! Ne dites pas non, je ne suis pas idiote : je le sens bien que vous me les sucez.
.../...
C’est drôlement bon, hein, fit Ptit Jack d’une voix qui tremblait d’extase. Quand elles se donnent, comme ça, de savoir qu’on peut leur faire tout ce qu’on veut... moi, je te dis, des moments pareils, ça vaut le risque d’aller en taule..
.../...
« Il est en train de t’enculer, chérie, murmura Sam, à l’oreille de sa femme. Fais semblant de rien...
— J’avais compris, lui répondit-elle sur le même ton. Je suis pas idiote ! »
.../...
force de se croiser sur les routes, tous ces gaillards avaient fini par lier connaissance, et, partageant les mêmes goûts pour la bonne bouffe, les soûleries organisées et les bad girls, ils avaient constitué une espèce de maffia, un club très fermé, qui s’était intitulé pompeusement « Les fendus de la zigounette ». Willie-les-grandes-mains, le président de ce ramassis d’obsédés sexuels en avait ainsi formulé la devise : « Tous pour un... et toutes pour tous. » Cela disait bien ce que ça voulait dire. Chaque fois qu’un fendu tombait sur une bonne occasion, il était tenu d’en informer illico la collectivité, autrement dit, d’en faire profiter tous les copains.
Interdit, il regarde Betty se trousser. Elle porte de fins bas noirs qui s’arrêtent au-dessus des genoux. Ses cuisses sont beaucoup plus larges qu’il ne l’aurait cru : grasses, blanches , obscènes, de vraies cuisses de putain. Elles sont poudrées de talc pour rendre encore plus blanche leur lividité. Il émane quelque chose de cadavéreux de cette blancheur excessive.
« On dirait des cuisses de morte », pense le pasteur, fasciné, en regardant monter la robe.
RMC - J'ai testé pour vous: Le roman pornographique d'Esparbec: "Les biscuitières" - 04/06