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Stéphanie Plum tome 2 sur 26
EAN : 9782266156073
318 pages
Pocket (12/04/2005)
3.99/5   215 notes
Résumé :
Nouvelle mission pour Stéphanie Plum, chasseuse de primes hors pair : mettre la main sur Kenny Mancuso, un vrai coriace impliqué dans une affaire de trafic d'armes. Son passe-temps favori ces temps-ci : envoyer à Stéphanie des colis très spéciaux. Sans compter les cercueils disparus d'une entreprise de pompes funèbres...
Bref, un vrai casse-tête ! Sur ce coup-là, l'aide de mamie Mazur, fine connaisseuse des funérariums, pourrait bien être précieuse...
Que lire après Stéphanie Plum, tome 2 : Jamais deux sans toi (Deux fois n'est pas coutume)Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (41) Voir plus Ajouter une critique
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Stéphanie Plum, qui continue de faire ses armes en tant que chasseuse de primes, profite, cette fois encore, de la présence de Ranger à ses côtés. En effet, à croupetons depuis plus de trois heures, tous les deux surveillent la maison de Julia Cenetta. Suite à un tuyau, il se pourrait que Kenny Mancuso, l'homme recherché qui aurait trempé dans une sombre affaire de trafic d'armes et aurait tiré sur l'un de ses amis, vienne rendre visite à sa petite amie. Lorsque, enfin, un 4x4 flambant neuf pointe le bout de son pare-buffle, qu'un homme en descende et qu'il pénètre chez Julia, Stéphanie et Ranger, tous les deux bien armés, décident d'aller voir de plus près. Mais après avoir frappé, ce n'est pas Mancuso qu'ils ont en face d'eux mais Joe Morelli, policier des Services de police de Trenton habillé en civil. Visiblement, lui aussi est à la recherche de Kenny et pour cause, il s'agit de son cousin. Ce dernier n'étant pas décidé à se montrer, Ranger décide de partir. C'est là que Morelli propose à Stéphanie qu'ils s'associent sur ce coup. Avant d'aller manger chez ses parents, celle-ci bifurque par l'appartement de Kenny, ne trouvant rien de mieux à faire que de lui voler son courrier. le lendemain, l'affaire se corse lorsqu'elle apprend que le pompiste sur qui il a déjà tiré s'est, cette fois, pris une balle dans la tête... Une autre affaire pour le moins bizarre l'occupera également : un vol de 24 cercueils !


Revoilà Stéphanie Plum pour une deuxième enquête et c'est avec un grand plaisir qu'on la suit au cours de ses pérégrinations. Pérégrinations d'autant plus rocambolesques et mouvementées qu'elle est en charge de deux affaires : retrouver Kenny Mancuso et mettre la main sur une vingtaine de cercueils mystérieusement disparus, vides, évidemment, ce à quoi elle s'est assurée avant d'accepter la demande de ce croque-mort. Comme dans le premier épisode, elle sera "aidée" de son "ami", Joe Morelli. Entre eux d'eux, une relation un brin ambigüe où chacun ne manque pas de tacler l'autre. Mais, dans ce deuxième épisode, elle sera aidée, en plus, de mamie Mazur. Un personnage haut en couleurs qui n'a jamais sa langue dans sa poche, fantasque, drôle et plutôt maladroite. Stéphanie Plum, quant à elle, même si elle manque encore un peu de pratique, ne manque ni de courage, ni de verve, ni de punch, ni de répartie. Un personnage toujours aussi pétillant et débrouillard. Janet Evanovich nous offre une deuxième aventure enlevée, fringante et aux dialogues jouissifs.

En route pour la suite !
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Quel bonheur pour moi de retrouver Stéphanie Plum qui est toujours aussi maladroite et drôle souvent à ses dépens, d'ailleurs elle doit enquêter dans ce tome sur un vol de 24 cercueils vides et ramener une sans domicile fixe à son audience devant le juge.

Mamie Mazur est également présente et elle est toujours aussi loufoque elle est ravie d'aider sa petite fille sur cette enquête, ainsi que la famille de Stéphanie qui veut toujours autant lui trouver quelqu'un avec qui vivre.

L'enquête n'est comme toujours qu'un prétexte mais quel bonheur de suivre cette chasseuse de prime hors du commun je rempilerais avec grand plaisir!
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C'est exactement parce qu'il y a des situations telles que celle que j'ai mise en extrait que j'adore cette série. Stéphanie est complètement délurée comme nana et elle l'assume totalement. On ne sait jamais à quoi s'attendre avec cette chasseuse de prime audacieuse, excentrique, qui fait bourde sur bourde mais est super chanceuse et donc attachante !
Elle est capable d'avoir des raisonnements qui lui sont entièrement propre et parfois on peine un peu à suivre ses idées, mais lorsqu'elle énonce des faits, ils nous semblent tout à fait logiques. Bref, vous l'aurez compris, je suis conquise par cette folle dingue !

Sachant qu'autour d'elle on retrouve une panoplie de personnages stéréotypés tels que Mamie Mazur, la mamie qui est à la recherche du grand amour et qui raffole des salons funéraires ; Joe Morelli le flic italien dragueur et beau gosse ; son père et sa mère qui sont les petits bourgeois de banlieue qui s'inquiètent trop (dans le cas de la mère) et pas assez (dans le cas du père) pour leur fille... Sans oublier Lula, l'ancienne prostituée devenue secrétaire et apprentie chasseuse de prime, Connie la secrétaire du cousin Vinnie (qui est encore plus dégoutant que dans le premier tome, mais cette fois, il sert un peu à quelque chose).

Impossible d'imaginer des personnages plus hauts en couleurs que ceux-ci ! En plus de cet univers à la fois irréaliste et tellement réel, l'auteur nous gratifie d'enquêtes policières qui sont justement dosées. Elle est suffisemment complexe pour qu'elle soit intéressante et pas trop pour qu'on ne passe pas nos nuits à se demander qui a fait quoi, à relire des passages et à prendre des notes.

Surtout que cette fois Stéphanie est à la recherche d'un méchant, un vrai. Un qui lui envoie des bouts de cadavre par la poste. Rien à voir avec le boxeur du premier tome. Celui-ci fait peur dans le dos. A cette enquête se rajoute le vol de 24 cercueils avec la question principale : Pourquoi ?? et la recherche d'un petit copain par Mamie Mazur. Morelli est toujours collé à ses basques et Stéphanie a la nette impression qu'il ne joue pas tout à fait franc jeu avec elle, mais comment résister à son sourire ?
On ne voit pas trop Ranger, le mentor de Stéphanie, principalement parce qu'elle commence à bien se débrouiller toute seule pour les affaires courantes.
Un peu moins de chasses annexe cela dit, ce qui est un peu dommage, j'avais beaucoup aimé ces intermède où Stéphanie part à la poursuite d'un papi exhibitionniste !

Le livre se lit vite, très vite. On tourne les pages et on en redemande. On veut que ça aille plus vite entre Morelli et Stéphanie, que sa mère lui lâche un peu la grappe et qu'elle mette la main sur les méchants qui lui envoient des cadeaux empoisonnés ! Finalement, quand tout est terminé, on n'a qu'une envie, celle de lire la suite ! En plus on peut se le permettre, on est sur la plage (enfin... j'étais sur la plage !)
Lien : http://plaisirsdelire.blogsp..
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Stéphanie Plum, notre héroïne est une chasseuse de primes encore inexpérimentée. Qu'importe après tout puisqu' elle peut appeler à la rescousse le ténébreux Ranger et le hollywoodien Joe Morelli? sans oublier Mamie Mazur sa grand-mère! le Bourg , un quartier de Trenton New-Jersey, tout le monde se connait , tous ont fréquenté les mêmes bancs d'école , certains sont devenus des voyous , d'autres flics mais la famille c'est la famille .
Un polar sans prétention, un maximum d'humour digne d'un salon funéraire , des personnages désopilants mais attachants, des fripouilles des vraies, une lecture qui fait du bien aux zygomatiques et qui ne vous empêchera pas de dormir , un moment plaisir de qualité même si le côté chick lit est souvent just too much ....
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Ce 2ème opus des aventures de la plus improbable des chasseuses de prime, j'ai nommé Stéphanie Plum, m'a beaucoup amusée.

Comme pour La Prime, le 1er volet, on retrouve avec joie l'ensemble des protagonistes avec leurs défauts, leurs "talents" mais surtout leur facétieuse tendance à compliquer la situation dans la plupart des cas !

Stéphanie, pas loin de ressembler à Mister Bean dans certaines situations, garde tout de même la tête haute aux côtés de son équipe de bras cassés et continue à être la larguée sentimentale tiraillée entre son envie de succomber au charme de son collègue, le très compétent Ranger, et son besoin de damer le pion au sexy flic Morelli qui, bien des années auparavant, a eu l'honneur de lui "voler sa fleur" en jouant au "petit train".

Un excellent moment de détente et de divertissement. Beaucoup d'humour (notamment dans ce tome 2 où il est question de cercueils, pompes funèbres & Co !), ce qui ne peut pas faire de mal, n'est-ce pas ?
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Citations et extraits (19) Voir plus Ajouter une citation
J'arrachai les bouts de scotch, soulevai le couvercle et eus le souffle coupé. La boîte contenait un pénis. Le membre, tranché proprement à sa base, était embaumé à la perfection et fiché sur un carré de polystyrène par une épingle à chapeau.
Tout le monde fixa la chose avec cette horreur pétrifiée qu'on réserve habituellement aux accidentés de la route et aux grands brûlés. Ce fut mamie Mazur qui parla la première, avec un zeste de mélancolie.
- Ça faisait un bout de temps que je n'en avais plus vu, dit-elle.
Ma mère se mit à hurler, levant les bras au ciel, les yeux hors de la tête.
- Jetez-moi ça dehors ! Mais où va le monde ? Que vont dire les voisins ?
Mon père, assis au salon, se décolla de son fauteuil et vint dans l'entrée pour voir l'origine de ce tohu-bohu.
- Qu'est-ce qui vous arrive ? Demanda-t-il, s'infiltrant dans la mêlée.
- Un pénis, lui répondit ma grand-mère. Stéphanie l'a reçu au courrier. On ne s'est pas fichu d'elle, soit dit en passant.
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Je fis tourner le moteur et démarrai, laissant Morelli au beau milieu de la rue, en chemise, chaussettes, la quéquette en berne.
À l'intersection suivante, je réfléchis. Ce n'était peut-être pas une bonne idée d'abandonner un flic nu comme un ver en pleine rue, en pleine nuit ? Et s'il se faisait agresser par une bande de voyous ? Probable qu'il ne pourrait même pas courir vu son état. Très bien, me dis-je. Je vais le tirer de là. Je fis demi-tour et revins dans la petite rue. Je trouvai Morelli à l'endroit où je l'avais laissé, mains sur les hanches, l'air écœuré.
Je ralentis à sa hauteur, baissai la vitre et lui lançai son révolver.
- Tiens lui dis-je. Ça peut toujours servir.
Sur ce, j'appuyai sur le champignon et repartis pleins gaz.
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Il avait surtout la trouille que je sois sur une piste et que je ne le mette pas au courant. Je baissai la vitre et jetai le bitonio sur le trottoir.
- T'es pas folle ? fit Morelli. Ça vaut quatre cents dollars ce truc.
Il descendit le récupérer. Je refermai la portière et la verrouillai. Qu'il aille au diable ! J'aurais dû réfléchir à deux fois avant d'accepter de faire équipe avec lui. Je repassai par-dessus les sièges et m'installai au volant.
Morelli tenta d'ouvrir la portière côté passager. En vain. Elles étaient toutes verrouillées et elles allaient le rester. Sa bite pouvait bleuir de froid, et je m'en fichais ! Ça lui servirait de leçon. Je fis tourner le moteur et démarrai, laissant Morelli au beau milieu de la rue, en chemise, chaussettes, la quéquette en berne.
A l'intersection suivante, je réfléchis. Ce n'étais peut-être pas une bonne idée d'abandonner un flic nu comme un ver en pleine rue, en pleine nuit ? Et s'il se faisait agresser par une bande de voyous ? Probable qu'il ne pourrait même pas courir vu son état. Très bien, me dis-je. Je vais le tirer de là. Je fis demi-tout et revint dans la petite rue. Je trouvai Morelli à l'endroit où je l'avais laissé, mains sur les hanches, l'air écœuré.
Je ralentis à sa hauteur, baissai la vitre et lui lançai son révolver.
- Tiens lui dis-je. Ça peut toujours servir.
Sur ce, j'appuyai sur le champignon et reparti pleins gaz.
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Je partis pleins gaz pour Vic's Video où je louai la cassette de S.O.S. Fantômes, mon film-culte et ma source d'inspiration préférée. J'en profitai pour faire une provision de pop-corn, des Fingers, un paquet de petits pots de beurre de cacahuètes, une boîte de chocolat instantané et des guimauves. Et après on dira que je ne sais pas m'éclater !
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Je m'attardai encore un moment et en vins à me demander comment Spiro, Kenny et Moogey avaient pu être copains comme cochons à l'école. Kenny, le dégourdi de la bande. Spiro, le gosse pas très malin avec de sales dents et un croque-mort en guise de beau-père. Et Moogey qui, pour autant que je sache, était un brave gars. Marrant comme des amitiés se nouent autour d'un dénominateur commun aussi simple que le désir de ne pas être seul.
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